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Commentaires :
libertad |
La presse régionale est le lieu du non droit du travail par excellence : à côté des correspondants de presses, soutiers de l'information , on trouve les porteurs de journaux à domicile : travailleurs sans droits (ils ne sont pas salariés : pas de congés payés, pas de complément de salaire en cas de maladie et parfois pas d'indemnité journalières parce qu'ils ne travaillent pas assez ). Les journaux ont trouvé grace à ce statut de porteurs de journaux soi-disant indépendants le moyen de gagner du fric en portant les quotidiens directement chez les abonnés. En fait les porteurs n'ont aucune autonomie et sont sous la coupe complète des quotidiens régionaux qui les emploient, ils reçoivent la liste des abonnés qu'ils doivent porter : absence d'autonomie, un seul "client" le quotidien, tout pour caractériser une relation de salariat qui coûterait bien sur plus cher aux patrons de presse. Donc on les maintien dans ce rapport avec la "complicité" des URSSAF qui empôchent les cotisations, leur accordant elles la qualité de quasi-salariés, cotisations dont les intéressés ne voient souvent pas la couleur en cas de maladie, puisque leurs revenus sont trop faibles pour y avoir droit : du racket en quelque sorte !
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delli 14-03-06
à 09:41 |
soutienen lisant votre appel à la mobilisation ,je me suis dit que tant qu'il ya des voix qui s'élevent contre l'exploitation on peut toujours esperer .je suis correspondant de presse en ALGERIE .j'ai travaillé durant plus de trois années en qualité de pigiste dans un journal à grand tirage et je viens d'etre viré pour la simple raison que j'ai réclamé avec vigueur le reglement de mes piges que je n'ai pas encaissé depuis septembre dernier .ceci est juste pour vous illustrer un tant soit peu le visage caché d'une partie de la presse algerienne qui pourtant ne s'interdit pas de vehiculer ouvertement dans ses colonnes des revendications salariales portées dans le secteur public.les journalistes-negriers n'ont que le chomage en face en algerie , ils acceptent d'etre sous payés quant aux correspondants locaux si ce n'est pas le filet social c'est alors le neant .mobilisons-nous contre la tyranie des editeurs
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delli 14-03-06
à 09:43 |
soutienen lisant votre appel à la mobilisation ,je me suis dit que tant qu'il ya des voix qui s'élevent contre l'exploitation on peut toujours esperer .je suis correspondant de presse en ALGERIE .j'ai travaillé durant plus de trois années en qualité de pigiste dans un journal à grand tirage et je viens d'etre viré pour la simple raison que j'ai réclamé avec vigueur le reglement de mes piges que je n'ai pas encaissé depuis septembre dernier .ceci est juste pour vous illustrer un tant soit peu le visage caché d'une partie de la presse algerienne qui pourtant ne s'interdit pas de vehiculer ouvertement dans ses colonnes des revendications salariales portées dans le secteur public.les journalistes-negriers n'ont que le chomage en face en algerie , ils acceptent d'etre sous payés quant aux correspondants locaux si ce n'est pas le filet social c'est alors le neant .mobilisons-nous contre la tyranie des editeurs
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à 21:22