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L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





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Publications de l'En Dehors

                    Publications de l'En Dehors



N°1 1881-1910 Syndicalistes révolutionnaires et libertaires dans le mouvement ouvrier ardennais ( 5,70 E franco, 95 p )

Monthermé, Revin, Sedan, Charleville...L’atmosphère en Ardennes, il y a 80 ou 100 ans, n’était pas celle d’aujourd’hui. Là où règnent résignation et consensus, s’exprimaient alors la rage et la hargne. Rage de vivre malgré les 12 ou 14 heures de bagne salarial ! Hargne contre les riches, les repus et leurs valets !

Des femmes et des hommes ( surtout des hommes d’ailleurs, c’est l’époque qui, hélas, voulait cela ) qui luttent pour changer la vie, pour transformer le monde, et qui en prennent les moyens, tels sont les acteurs des « histoires ».


N°2 1911 Emeutes et manifestations contre la vie chère dans les Ardennes ( 5,70 E franco, 88 p )

1911, la fin de l’été est chaude, très chaude… Depuis plus d’un an, les prix montent plus vite que les salaires. Dans les foyers ouvriers, les ménagères ont du mal à joindre les deux bouts. La colère gronde… et la révolte éclate, dans le Nord d’abord, puis elle gagne rapidement les Ardennes. Les femmes sont à la pointe du mouvement, mais les hommes ( et la CGT ) leur emboîtent le pas. Toute la vallée de la Meuse est en ébullition. Grèves et manifestations se succèdent; à Braux c’est l’émeute.

La réaction de la bourgeoisie, alarmée par cette agitation révolutionnaire, ne se fait pas attendre : répression par la gendarmerie et l’armée, quadrillage de villes et de villages; arrestations et condamnations tombent dru.


N°3 Crise écologique et capitalisme ( 6,40 E franco, 102 p )

Le capitalisme étend toujours plus ses ravages. En plus de générer exploitation, misère et abrutissement, il provoque une crise écologique chaque jour plus évidente.

Face à la perception de la gravité du problème, marchands et politiciens répondent par des contre-feux dérisoires : mesures-gadgets et déclarations d’intention dans les programmes et discours politiques, foisonnements de produits « verts », aménagements partiels et mensonges éhontés. Pendant le replâtrage, la destruction continue, s’accélère même.

Aidés, volontairement ou non, par les analyses insuffisantes de nombre d’écologistes électoralistes et environnementalistes ), la classe dominante et ses alliés sont en passe de réussir à occulter les causes réelles du désastre et, par là, à en évacuer la solution, sinon la facile du moins la plus réaliste : la remise en cause d’un système mortifère.


N°4 Déshérités de Nouzon, syndicalistes révolutionnaires… et autres anarchistes ( 5,70 E franco, 104 p )

Des premiers pas de la CGT ardennaise aux « Déshérités » de Nouzon, de Taffet à Roger et Bouillard ( parmi bien d’autres… ), une conscience de classe aigüe et l’ardeur révolutionnaire imprègnent les luttes du prolétariat ardennais de ces « 20 glorieuses », 1890-1910.

On n’y va pas par quatre chemins : grèves âpres, sabotages, heurts avec la gendarmerie et l’armée, agitation vigoureuse par la presse et l’affiche et, au besoin, un peu de dynamite pour effrayer les bourgeois… (Presque) tous les moyens sont bons pour propager l’esprit révolutionnaire. Anarchistes, syndicalistes révolutionnaires, socialistes insurrectionnalistes ou communistes ( avant l’appropriation et la falsification du terme par le PCF ), c’est au coude à coude que des prolétaires se retrouvent pour combattre les patrons, affronter l’Etat et son armée, la bourgeoisie et l’Eglise… et dénoncer les notables carriéristes qui parlent au nom du socialisme ( Poulain et autres Boutet ).

C’est ensemble aussi que s’organisent les soupes communistes pour nourrir les familles des grévistes, les collectes pour venir en aide aux victimes de la répression, les fêtes pour célébrer la libération d’un camarade ou l’anniversaire de la Commune…

Prenons-en un peu de la graine et semons-la aux quatre vents.


N°5 « Non Dieu n’est pas ! » Etude sur le curé Meslier ( 3,20 E franco, 37 p )

Vers 1725, le curé Meslier rédigeait son fameux « testament ». Tonnant du fond de son presbytère contre les puissants et les parasites, il démasquait la religion et la monarchie pour révéler ce qu’elles sont : les instruments de domination de son époque.

Son testament a conservé toute sa force. En ce retour du religieux, sa dénonciation des mystifications reste actuelle, même si plus massivement, le spectacle supplante la religion. Tout comme ces attaques contre l’ordre social peuvent frapper encore; nation et bourgeoisie ont seulement remplacé monarchie et noblesse. Et que dire de son exigence de sociétés et de vies libres et heureuses dans notre époque dominée par la puissance de l’économie capitaliste ?

Ce court texte restitue quelques éléments de la vie et de la pensée de Jean Meslier. Ecrit par des anonymes, il fut édité en 1906 par la colonie d’Aiglemont.


N°6 La colonie libertaire d’Aiglemont ( 5,70 E franco, 65 p ) Epuisé

De 1903 à 1909 dans la forêt des Ardennes à Aiglemont des hommes tentèrent de créer une « Expérience » de société libertaire afin de démontrer la viabilité de leur projet politique. C’est cet « Essai » que G. NARRAT nous fait découvrir : le travail de ces hommes pour défricher la forêt, cultiver, construire des maisons.

La colonie libertaire d’Aiglemont devint bientôt un pôle rayonnant sur tout le département des Ardennes et au-delà. Son influence sur le syndicalisme fut considérable, grâce à son journal, le Cubilot.

G. NARRAT nous fait vivre au jour le jour, les difficultés de ces hommes et femmes à vivre en commun, l’autoritarisme qui finit par gangréner les idéaux libertaires. « L’Essai » dura 6 ans puis se dispersa aux quatre vents… la forêt reprit le dessus mais l’idée, elle, n’est pas morte.


N°7 L’amour libre ( 5,70 E franco, 54 p )

L’amour est un des aspects de la vie, peut-être est-il le principe même de la vie ? C’est sans doute le plus difficile à définir, tant sont divers les points de vue dont on peut le considérer. Tantôt on appelle amour la satisfaction du besoin sexuel, une émotion, une sensation échappant à la réflexion; tantôt c’est un sentiment qui prend sa source dans un besoin moral de camaraderie intime et affectueuse, dans un besoin d’amitié profonde et persistante. Parfois encore c’est, outre tout cela, un acte réfléchi de volonté, dont on doit avoir pesé mûrement les conséquences et les développements. L’amour est aussi une expérience de la vie personnelle, ici expérience impulsive, pur caprice; là, expérience pouvant se prolonger plusieurs années, toute une vie.

Si l’amour n’échappe pas plus à l’analyse que les autres domaines de l’activité humaine, son analyse présente des périls. Il se situe « par delà le bien et le mal ». ( E. Armand Amour libre et liberté sexuelle )

Dans cette brochure, quatre femmes appartenant au courant anarchiste individualiste du début de ce siècle donnent leur point de vue sur la liberté de l’amour. Une militante anarchiste d’aujourd’hui parle de sa propre expérience.


N°8 Libertad et le mouvement des causeries populaires ( 5,70 E franco, 70 p )

Albert dit « Libertad », anarchiste individualiste fut le fondateur du journal L’anarchie et des Causeries populaires de Montmartre.

Infirme des jambes, il marchait en s’appuyant sur des béquilles, dont il se servait comme arme dans les bagarres contre la police.

Partisan de vivre l’anarchie dès maintenant, sans concession avec le système en place, il déploya une formidable énergie, jusqu’à sa mort prématurée.


N°9 Un récit de lutte de Chooz ( 5,70 E franco, 58 p )

En 1977, quand arrive à Chooz la rumeur de projet d’une nouvelle centrale nucléaire, c’est dans l’optimisme que s’organisent les opposants.

2 ans plus tard, un référendum local exprime un « non » clair et net à ce projet. Mais d’impérieuses raisons politiques et économiques exigent qu’un « petit village des Ardennes n’arrête pas la marche de la France »…

Par la persuasion et la force, EDF et l’Etat vont donc imposer la construction de Chooz-B. Par delà alternance virtuelle et fausses promesses, le giscardisme et le « socialisme de gouvernement » montreront le vrai visage de la démocratie nucléaire : propagande, matraques, gaz et blindés.

Des affrontements de l’enquête d’utilité publique à la liaison avec les ouvriers de la Chiers, ce récit évoque les péripéties d’une lutte qui marqua la Pointe des Ardennes et de nombreux ardennais.


N°10 Y’en a marre du goudron, du béton et des patrons et autres textes ( 5,70 E franco, 64 p )

Ainsi, les Ardennes seraient à la traîne… « Désenclavement ! Flexibilité ! » : le chœur ardennais des pleureuses patronales gémit des retards de la réalisation de son autoroute et, plus généralement, des archaïques rigidités du droit du travail. Car ces belles âmes veulent notre bien; avec les « décideurs » politiques, ils bavent d’aise devant les signes d’une reprise économique qui réglera - c’est sûr ! - tous les problèmes : chômage, pauvreté, morosité… La panacée ! Grâce à la croissance, alliée aux progrès technologiques ( dont l’étron nucléaire de Chooz, à l’arrêt depuis un an, est le radieux fleuron local ), le bonheur nous est promis à l’aube du XXIème siècle !

Pourtant, à contre-courant des bêlements du blanc troupeau de Panurge qui nous invitent à presser le pas vers l’abîme, quelques moutons noirs disent « Y’en a marre !… » et voient différemment le sens de l’activité humaine et ce que pourrait être le bien-être.

 


N°11 L’amour libre. Points de vue masculins ( 5,70 E franco, 55 p ) Epuisé

Le discours sur la sexualité, contrairement aux autres formes de langage et de jouissance du corps, est quotidiennement écrasé sous le poids du tabou. L’amour, quant à lui, fait couler beaucoup d’encre romanesque. Et l’intérêt que porte les médias pour les deux thèmes n’est pas le signe d’une libération imminente et en sera encore moins le déclencheur.

La présente brochure se propose d’ouvrir la discussion sur ces deux questions de l’amour libre et de la sexualité, en proposant un texte de E. Armand publié en 1925 et un autre d’un militant libertaire d’aujourd’hui lui répondant et présentant un point de vue d’un homme d’aujourd’hui.


N°12 Immoralité du mariage par René Chaughi ( 5,70 Euros, 62 pages )

Publié pour la première fois en 1898, ce texte de l'anarchiste René Chaughi apporte un éclairage particulier à cette institution du mariage qui a perduré à travers les siècles.

Un texte savoureux et critique qui n'a pas pris de rides et pose aujourd'hui encore les vrais questions : "De quel front l'Etat ose-t-il bien intervenir dans ces sortes de choses, de sa patte lourde et sale, écarter les draps ?"


N°13 Anarchisme et naturisme ( 3,20 Euros franco, 37 pages )

Naturisme et anarchisme, voilà deux termes dont le rapprochement peut surprendre !

C'est oublier que les anarchistes furent les pionniers du naturisme. E. Armand, Gérard de Lacaze-Duthiers, Elisée Reclus et bien d'autres, se sont exprimés en leur temps sur ce sujet. Aujourd'hui, la Question sociale remet ces textes en lumière et apporte sa contribution au débat.


N°14 Rencontre avec Pierre-Valentin Berthier. Court récit d’une vie et des rencontres d’un anarchiste individualiste ( 5,70 Euros franco, 65 pages )

Cette brochure se compose d'entretiens réalisés par Céline Beaudet avec P.V. Berthier. Né en 1911, insoumis à ses vingt ans, Pierre-Valentin Berthier rencontre les milieux anarchistes par le pacifisme. D’abord influencé par les idées de Sébastien Faure, la découverte d’E. Armand l’oriente définitivement vers l’individualisme anarchiste. Entre les deux guerres il rencontre donc des anarchistes du 19e siècle comme Faure, Armand, mais aussi Jacob. Après la Libération, ses participations à la presse libertaire ne se comptent plus tant elles sont importantes : Défense de l’homme, Liberté, Le Monde libertaire, Le Libertaire, Le Réfractaire, La Rue, etc. Une vie bien remplie dont il témoigne ici...

Une vingtaine de biographies de militants anarchistes rencontrés par P.V. Berthier font suite à ces entretiens.


N°15 Milieux libres (1890-1914 ) ( 3,20 Euros, 29 pages ) Epuisé

Pas question ici de faire de l'histoire avec un grand H, de faire des portraits anodins d'anarchistes du passé, de palabrer sur leur succès ou leur infortunes, d'en faire de nouvelles icônes. Seulement raconter, au travers des expériences de « milieux libres » ( colonies anarchistes ou communautés ), la vie de quelque uns.

De Vaux à la Pie, autour des plus fervants bâtisseurs de milieux libres, Georges Butaud et Sophia Zaïkovska, en passant par l'Essai et son animateur Fortuné Henry, la brochure explore un lieu plus méconnu de vie libre autour du journal « l'Anarchie ». Les modes de vie et d'expérimentation par l'éducation intégrale, la camaraderie face à l'autorité et le travail pour une vie simple sont exposés.

Quelle influence ont eu ces milieux libres ?

Des individus décidés à vivre immédiatement selon leurs envies et leurs idées, seul moyen pour eux de poursuivre la lutte et la propagande libertaire. Des individus, des manières d'être et de faire qui ne peuvent pas nous être totalement étrangers.



N°16 L'éducation rationnelle de l'enfance. La limitation des naissances, moyens d'éviter les grandes familles. Lettre sur l'amour, la beauté, la vie, l'inconstance et quelques autres sujets par Emilie Lamotte. ( 2,70 Euros, 34 pages )

1877-1909 : Emilie Lamotte, anarchiste, néo-malthusienne, auteure de brochures sur l'éducation et la contraception, d'une pièce de théatre, rédactrice au Libertaire et à l'Anarchie, propagandiste, peintre et dessinatrice, milieu-libriste, nomade en roulotte et volage ... Voici quelques uns de ses textes sur l'éducation, la contraception, l'amour parus entre 1905 et 1911.



N°17 Le déshonneur de Mme Lemoine, pièce inédite en 3 actes par Emilie Lamotte ( 2,70 Euros, 38 pages )

Cette pièce de théatre a été diffusée en 21 épisodes par le journal l'Anarchie en 1911. Est-elle parue dans son intégralité ? A-t-elle été jouée ? ... Le texte pourra sembler daté mais il vaut la peine d'être lu : reprenant le thème classique du mariage forcé face au mariage d'amour, Emilie Lamotte ajoute sa petite touche. Elle met en scène une majorité de femmes. Tout le monde en prend pour son grade : l'aristocratie, la bourgoisie, les curés et les mères qui perpétuent l'enfermement de leurs filles. Et elle conclue en prônant l'amour libre...


N°18 L'antimilitarisme libertaire de Pierre-Valentin Berthier ( 5,70 Euros, 78 pages. ) Epuisé

Né en 1911, insoumis à ses vingt ans, Pierre-Valentin Berthier rencontre les milieux anarchistes par le pacifisme. D'abord influencé par les idées de Sébastien Faure, la découverte d'E. Armand l'oriente définitivement vers l'individualisme anarchiste. Entre les deux guerres il rencontre donc des anarchistes du 19e siècle comme Faure, Armand, mais aussi Jacob. Après la Libération, ses participations à la presse libertaire et pacifiste ne se comptent plus tant elles sont importantes: Défense de l'homme, Liberté, Le Monde libertaire, Le Libertaire, Le Réfractaire; La Rue, Union pacifiste, etc.
Une vie bien remplie dont il témoigne ici
Avant propos de Jean-François Amary


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