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Commentaires :
samosa |
http://www.lemanlake.com/french/sciences_neurologie.htmCet article est tiré d'une page du site
http://www.lemanlake.com/french/sciences_neurologie.htm Qu'anarchie libertaire a généreusement pompé pour le mettre sur la page ci-dessous. Pas de mal à ça, puisque les pages sont hors copyrights et que l'important est de véhiculer les idées libertaires et non dogmatiques http://www.anarchie.be/AL/19/mecre.htm Mais le minimum de savoir vivre serait tout de même de citer au moins la source et les auteurs, et non pas les enlever du texte. Salut Répondre à ce commentaire
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Anonyme 14-09-03
à 12:26 |
La maladie mentale n'existe pas !Si dans le fond je suis d'accord pour dire que la religion représente un danger pour ceux qui souhaite une société d'hommes libres (dans sa forme organisée et hiérarchisée en tout cas ; la religion d'un Kierkegaard des "miettes philosophiques" ne me paraît pas condamnable), je trouve qu'employer l'argument de la maladie mentale est absurde.
La maladie mentale n'est pas une chose, c'est un rapport social. Elle profite en premier lieu à ceux qui en vivent : la psychiatrie, toujours prompte à en découvrir de nouvelles formes, à toujours agrandir son troupeau avec sa tendance forte à considérer son objet comme une chose objective (c'est d'autant vrai qu'on s'attaque au problème à partir de la biologie comme le fait la neuro-science). L'ancien pouvoir de la religion n'a d'influence notable que sur certaines société "peu développée" en regard de l'occident. (Je précise qu'elle sont peu développée du point de vue de la domination, c'est-à-dire qu'elle employent des formes de domination sociale archaïques n'ayant pas les grands moyens de l'occident. Je ne méprise pas les gens de ces sociétés.) Cette influence va en décroissant au fur et à mesure que ces sociétés s'intègrent dans le modèle dominant marchand et spectaculaire. Une des formes actuelles de la domination est le pouvoir grandissant des experts issus de diverses sciences et de leurs diktats. Son corrolaire est l'impuissance des masses à saisir ce qui se passe dans le monde. Mais ce pouvoir n'est garanti que par le fait que les masses ne s'impliquent pas dans le domaine de ces experts, renforçant ainsi les armes de la séparations. Par exemple je vous invite à aller voir de plus près ces grands ensembles que sont les hôpitaux psychiatriques... Sur les arguments à opposer à la maladie mentale je vous conseille de lire T.S. Szasz qui a véritablement une valeur historique dans l'histoire du concept de maladie mentale : http://noradd.virtualave.net/Textes/idfomythe.htm Répondre à ce commentaire
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libertad 14-09-03
à 15:23 |
Re: http://www.lemanlake.com/french/sciences_neurologie.htmDésolé Samosa L'En Dehors indique toujours la source du document cité en haut à gauche, dans le cas précis Alternative libertaire, malheusement je viens de relire la page incriminée sur AL N° 19-255 Novembre 2002 et effectivement le journal n'y indique pas sa source, et l'En Dehors a bien invontairement fait de même ignorant d'ou venait en réalité le texte.
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Samosa 19-11-03
à 18:48 |
Re: La maladie mentale n'existe pas !Bonjour à tous. Pas de problème pour l'oubli chwer webmaster. J'aimerais répondre au cher correspondant qui affirme que la maladie mentale n'existe pas et que ce serait une conspiration des psychiatres : Tu me rediras cela quand tu toucheras de près à ces choses-là, et tu rediras cela à une fillette de 29 kilos et 13 ans, en sursis, dû à son grave trouble de comportement alimentaire : anorexie. Tu rediras cela à cette autre femme de 32 ans qui lutte pour émerger de sa dépression et ses tendances suicidaires depuis 15 ans. Et tu diras cela à ces enfants qui souffrent de tocs tellement graves qu'ils ne peuvent même pas se nourrir correctement, et s'épuisent pendant le repos... Et tu rediras cela à ces enfants autistes, qui se cognent la tête contre un mur parce qu'ils ont été déplacés de leur univers familier composé des associations de couleurs qui leur sont si familières... Et tu diras cela aux schizophrènes qui entendent des sons leur demandant de balayer la chambre parce qu'elle est sale, alors qu'ils sont seus à la maison... Et qui voient des chinois tous habillés de rouge, descendre et monter à chaque arrêt, et qui leur parlent directement dans leur cerveau... Et ensuite,...., tu viendras me redire ce que tu as compris de tous ces différents troubles, que l'on met tout simplement sous le nom de << maladies mentales >> ...... Samosa, psychiatre
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Samosa 19-11-03
à 18:57 |
Re: La maladie mentale n'existe pas !Le pire mépris que l'on puisse faire à des gens qui ne peuvent s'en sortir seule est de leur dire : "Mais tu n'as rien. Simplement la société n'arrive pas à t'accepter"...., si tu es incapable de discerner parmi les intox de cette poubelle d'internet, ce qui est un texte à relativiser et ce qui et ce qui est un pamphlet bien écrit - et que bien entendu tu prends pour un dogme absolu ...., que veux-tu faire d'autre que te jeter tête baissée contre des impostures intellectuelles d'une certaine intelligentsia de "psychanalystes--naturopathes-chrétiens", et très religieusement politiquement corrects ? C'est ce dont tu viens de faire une magnifique démonstration. Samosa, libre penseuse - contre les imposteurs
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libertad 19-11-03
à 21:56 |
Re: Re: La maladie mentale n'existe pas !Samosa que tu sois fachée par le raisonnement précédent je peux le comprendre mais sur ce site aucune injure n'est acceptée, j'ai donc enlevé quelques passages injurieux de ton post en laissant tes idées.
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Anonyme 20-11-03
à 18:10 |
Re: Re: La maladie mentale n'existe pas !Bonjour,
Je l'ai connu de près, du même coté que toi, et je te le redis : la maladie mentale n'existe pas. Je pense aussi, que plus la psychiatrie aborde son objet sous l'angle du comportement, plus elle se trompe. Cette erreur est lourde de conséquences pour les gens dont elle s'occupe, et pour te dire le fond de ce qui me préoccupe cela non seulement obscurci ce que font les gens de leur vie, mais plus grave cela ajoute de la souffrance à des gens qui en ont déja trop. Que tu m'assimiles à des charlatants, cela te regarde. Mais ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit : je ne nie pas l'existence des comportements dont tu parles et surtout je ne dis pas "tu n'as rien". Tu fabules. J'affirme qu'une profession, qui se réclame de plus en plus de la science (et à vrai dire je ne parle que d'une tendance dominante de la psychiatrie), utilise une arme symbolique, "la maladie mentale", pour assoir son pouvoir sur le dos de malheureux. C'est sur ce terrain symbolique que je me bas en affirmant à mon tour, comme d'autres l'ont fait avant moi, que la "maladie mentale" est une chimère. Est-ce vraiment un hasard, si un professionnel comme toi, ne saisi pas que je parle au plan symbolique et me renvoie le réel (la soufrance de ces gens) pour me contredire ? Est-ce vraiment un hasard si tu ne vois pas que je parles du pouvoir des psychiatres que certains anarchistes aimeraient s'approprier pour justifier leur lutte d'une manière nouvelle et que tu ne vois dans mon propos qu'un déni de l'existence de ces personnes dont tu parles ? Peut-être, après tout car je ne te connais pas. Je dis que le mot n'est pas la chose qu'il désigne. Je dis qu'une "fillette de 29 kilos et 13 ans, en sursis, dû à son grave trouble de comportement alimentaire : anorexie" n'est pas une malade mentale. Et non seulement je le dis ici, mais je l'ai déja dit à une de mes amis qui en souffre. Or elle ne s'est pas senti insultée, ni méprisée. Pourquoi ? Parce que dire que c'est une maladie c'est mettre au premier plan la norme, la bonne santé. Et cette fillette pourra trouver nombre de psychiatres ou autres médecins qui vont s'intéresser en premier lieu à son poids, au péril biologique que son refus de s'alimenter correctement provoque. Et on va peut-être la peser régulièrement, lui prodiguer moults conseils sur ce qu'elle peut avaler, sur la fréquence de ses repas, la qualité des aliments, leur valeur nutritive respective, etc. et il y a fort à parier qu'elle est déja bien au fait de tout cela. Que peut-être, malgrés son jeune âge, elle pourrait en apprendre beaucoup à des adultes sur la nutrition. Mais est-ce par là qu'on va s'interesser à la relation qu'elle entretient avec son corps, à son idéal corporel ? Est-ce par là qu'on va mettre à jour la qualité des relations qu'elle a avec ses proches avec ce corps malingre qu'elle leur présente ? La maladie mentale n'est pas une chose, c'est un rapport social. Je souhaite qu'on cesse d'accorder le primat à la norme, et qu'on en vienne à la souffrance, qu'on accorde au moins autant d'importance à la parole de ces gens. Or de plus en plus il me semble, les psychiatres préfèrent corriger des comportements, dresser les gens et rejettent le subjectif au profit de l'objectivable (et pour cela le DSM et autres CIM ont une utilité certaine). En voila assez je pense pour que tu ne te méprennes pas trop sur mon propos. Enfin quelques mots sur mon expérience : j'ai vu un hopital de jour dans la banlieu nord de Paris où sous prétexte de thérapeutique, on exploitait les "malades" en les faisant trimer pour fabriquer divers objets pour le plus grand profit de grandes entreprises françaises. On appelle cela pompeusement de l'ergothérapie ou thérapie par le travail alors que ce n'est qu'une vulgaire exploitation scandaleuse de gens qui ne pouvaient se défendre et qui ont besoin d'argent. (avant que tu ne remontes sur tes grands chevaux, je précise : il est tout a fait envisageable qu'une activité de production puisse être bénéfique, mais être payé à la pièce pour faire des braguettes ou mettre en paquet des CDROMs pour un provider qu'on reçoit dans nos boîtes à lettre, alors là non.) Faire des catégories sur les gens ce n'est pas la même chose que catégoriser des choses : les mots ont un grand pouvoir sur les hommes. Mais je ne t'apprends rien. Répondre à ce commentaire
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Anonyme 20-11-03
à 19:41 |
Re: Re: La maladie mentale n'existe pas !Bonjour,
Un dernier mot : Les psychiatres ont-ils besoin de conspirer ? Est-il nécessaire de comploter pour profiter de la faiblesse d'autrui ? Les bourgeois conspirent-ils pour avoir les médias à leur botte ? Non, la plus part du temps, le simple fait que ces médias leur appartiennent et aient besoin de faire rentrer de l'argent avec de la publicité suffit à ce que les journalistes s'autocensurent sur certains sujets. Les hommes conspirent-ils pour être machistes ? Non, la force de l'habitude, les valeurs établies suffisent. Les psychiatres conspirent-ils pour profiter de la "maladie mentale" ? Non, mais est-il aisé de se couper d'une grande source de justification et de revoir sa pratique ? Répondre à ce commentaire
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Anonyme 20-05-05
à 04:35 |
Re: Re: Re: La maladie mentale n'existe pas !<< Mais est-ce par là qu'on va s'interesser à la relation qu'elle entretient avec son corps, à son idéal corporel ? Est-ce par là qu'on va mettre à jour la qualité des relations qu'elle a avec ses proches avec ce corps malingre qu'elle leur présente ? >> Tu ferais peut-être mieux de t'informer sur le travail de fond qu'un bon spécialiste fait pour tenter d'améliorer le quotidien d'une boulimique/anorexique ! Les phrases que tu objectes sont au coeur même de la problématique des comportements alimentaires qu'un psychiatre doit poser. Et bien entendu, il doit aussi peser fréquememment le patient. C'est assez surprenant que tu objectes "la pesée" élémentaire en médecine, en la transférant dérivant comme si la psychiatrie en faisait une méthode thérapeutique. Il y a tellement de transferts et dérives de ce genre dans ton texte qu'on se demande s'il n'est pas inspiré de la 4me de couverture d'un mauvais livre << anti-psychiatrie >>... Autres exemples de contradictions dans ton post, - tu écris que : << La maladie mentale n'est pas une chose, c'est un rapport social. >> Fort bien ! Car justement, c'est par rapport à la vie en société et à la souffrance exprimée qu'on peut considérér X, avec l'accord du patient, comme pathologique ou pas. Ici aussi, il est surprenant que tu te serves d'une assez bonne définition médicale du "pathologique" comme argument à tes "objections" contre la psychiatrie. - tu écris que : << Je souhaite qu'on cesse d'accorder le primat à la norme, et qu'on en vienne à la souffrance, qu'on accorde au moins autant d'importance à la parole de ces gens. >> Fort bien ! Je me demande qui a commencé à tergiverser sur le mot maladie... est-ce moi ou toi ? Encore une fois, ce que tu écris ici est contradictoire et avec ton premioer post, et avec d'autres passages de celui-ci. Primo : le "primat "en médecine ce n'est pas la norme, mais plutôt, comme chez tout technicien, de répondre à un "besoin". Ce besoin est formulé ou exprimé par le patient, sous forme de souffrance consatée par lui-même ou par ses proches. Sans ce besopin d'aide, aucun psychiatre ne peut l'aider car il n'en a tout simplement pas le droit. C'est le b à ba de la déontologie médicale. On ne peut aider ou soigner un patient par la contrainte. Seul un tuteur légal peut contraindre. << Est-ce vraiment un hasard, si un professionnel comme toi, ne saisi pas que je parle au plan symbolique et me renvoie le réel (la soufrance de ces gens) pour me contredire ? J'affirme qu'une profession, qui se réclame de plus en plus de la science (et à vrai dire je ne parle que d'une tendance dominante de la psychiatrie), utilise une arme symbolique, "la maladie mentale", pour assoir son pouvoir sur le dos de malheureux. >> Il est normal que je te renvoie le réel : je suis psychiatre, pas un chantre du surnaturel... lol << C'est sur ce terrain symbolique que je me bas en affirmant à mon tour, comme d'autres l'ont fait avant moi, que la "maladie mentale" est une chimère >>. Ce terrain symbolique, je te le laisse volontiers cher ami : c'est le terrain préféré des charlatans, des psychanalystes, des curetons, des illuminés, des gourous et des mystiques... La psychiatrie est bien une discipline scientifique jeune, ce depuis ses débuts, qui n'a que faire de termes comme la symbolique, l'âme, l'esprit, et les chimères. Pour résumer ma pensée et l'inutilité de tes remarques : maladie mentale est tout simplement un terme général, donné à un quelconque processus/comportemental, dont le patient exprime une souffrance. Certainement pas moi. Samosa Répondre à ce commentaire
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Anonyme 20-05-05
à 05:02 |
Re: Re: Re: La maladie mentale n'existe pas !<< Je pense aussi, que plus la psychiatrie aborde son objet sous l'angle du comportement, plus elle se trompe. >> Mes excuses, je n'avais pas relevé cette perle parmi tant d'autres. Je ne voudrais surtout pas abuser, mais j'ai un peu de peine à cerner ces mystérieux angles dont tu n'as soufflé mot nulle part, et qui devraient nous empêcher de nous tromper. Pourrais-tu expliciter un peu ? Répondre à ce commentaire
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Rakshasa 20-05-05
à 16:31 |
La maladie mentale n'existe pas toujours où on pense la voir !Vous avez évoqué la tutelle, et je pense qu'un des réels problême de la psychiatrie, c'est bien cette possibilité de tutelle qui ouvre la porte à des prises en charge médicales injustes, excessives ou erronées. J'ai pour ma part une histoire personnelle pas piquée des vers qui va dans ce sens.
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Anonyme 22-05-05
à 04:10 |
Re: La maladie mentale n'existe pas toujours où on pense la voir !<< c'est bien cette possibilité de tutelle qui ouvre la porte à des prises en charge médicales injustes, excessives ou erronées. >> Bien entendu il y a malheureusement des cas où - par exemple - des familles ont profité de cette possibilité pour se débarrasser d'un membre gênant, ou pour différents intérêts. Il faut savoir cependant distinguer les objets lorsque l'on traite de psychiatrie: le problème de la tutelle, ou son corrélatif la déclaration d'irresponsabilité d'un individu, est un problème avant tout juridique et législatif, qui est théoriquement pris en concertation avec les différents partis, pour des cas extrêmes seulement, après évaluation (par exemple les cas où le patient met sa vie en danger ou pourrait mettre celle d'autrui) : un médecin ne met pas en taule les gens ! Tu as sans doute un exemple croustillant et regrettable à avancer, je peux t'en donner plus qu'un si cela peut t'aider... et aussi d'autres qui dénotent de la difficulté administrative qu'un médecin peut rencontrer pour tenter d'empêcher quelque temps un homme de continuer à battre ses enfants... Dans un cas comme dans l'autre, ces problèmes de tutelle sont toujours et regrettables, et difficiles, et discutables. Je ne sais si en France et pays environnants le médecin psychiatre est tout-puissant et capable d'abus de pouvoir quotidiens, mais ce n'est pas le cas dans le pays où j'exerce... Si c'est par clichés et films interposés que les discussions fonctionnent chez les anars de ce forum, et bien j'irai de ce pas discuter avec des gens qui, comme moi, lui préfèrent et le factuel et le vérifiable, et l'argumenté. Cela ne m'intéresse pas trop ni de défendre la psychiatrie sans éthique, ni l'anti-psychiatrie de carte postale. Salutations Samosa Répondre à ce commentaire
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THYS Michel 31-10-06
à 18:25 |
Croire ou ne pas croire, that's the question ! 20 questionsJ'aimerais vous envoyer ce texte de deux pages, si possible en attachement, garanti sans virus, ce qui nécessite une adresse e-mail, pour ne pas devoir le recopier. Merci d'avance de me la communiquer. Cordialement, Michel THYS 1180 Bruxelles mitys@skynet.be Répondre à ce commentaire
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Glazik 01-11-06
à 01:20 |
Re: Re: La maladie mentale n'existe pas toujours où on pense la voir !Désolé de cette réponse tardive, je n'avais pas vu passer ce post…
"un médecin ne met pas en taule les gens !" Ah bon j'avais pourtant cru comprendre qu'à Outreau (et sans doute ailleurs dans bien d'autres cas) Les conclusions des "experts psychiatres" avaient pour le moins "orienté" les décisions et l'acharnement d'un certain petit juge… Il est vrai que dans cet exemple précis, on nous a donné de la "justice" à bouffer, mais quid des responsabilités du délire médiatique et politique (coucou Sargolène!) entretenu par ces mêmes "experts" et autres doctes représentants de la psychiatrie ? Tous les psys ne pratiquent pas de la même façon et certains aident réellement, j'en suis convaincu, mais la façon qu'à Samosa de défendre bec et ongle "sa" science (dont il/elle est évidemment un spécialiste aguerri qui n'a pas à perdre son temps dans des discussions oiseuses) me semble malheureusement bien éloigné du factuel et de l'argumenté dont il/elle se réclame… J'aime vraiment beaucoup ce site (ne le prends pas mal Libertad, c'est du vrai premier degré) où une discussion lancée sur l'athéisme finit par un débat sur psychiatrie et antipsychiatrie : c'est l'un des charmes de l'en dehors. Petit bémol au texte d'introduction : tous les "criminels" ou condamnés comme tels seraient croyants et les athées seraient exclusivement en prison pour des raisons politiques ? Je m'interroge sur cette affirmation : faut-il comprendre criminel dans le sens que lui attribue l'institution judiciaire ou dans un autre sens que lui donne le rédacteur originel du texte ? (Et dans ce cas le débat s'enrichirait, je pense, de connaître ce sens précis). Répondre à ce commentaire
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à 10:27