Joueb.com
Envie de créer un weblog ? |
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web. |
INCAPABLES D'AGIR dans le réel, et sur le réel présent,ils et elles en sont encore à la recherche de leur moi dans les clichés(1) éculés d'un passé ou pourtant nulle égalité ne fut, passé où se trouveraient des valeurs qui ne sont plus, n'ont jamais été. Dans le passé, la liberté était, comme aujourd'hui, le privilège des puissants contre tous les autres, donc nécessairement pas comme nous, anarchistes, pouvons la concevoir, c'est-à dire nécessaire pour tout le monde, sinon le fruit d'un mensonge .(2)
Le mythe de la race celte
S'il est un mensonge qui est entretenu en Bretagne, c'est bien celui du mythe de la race celte, qui présente les actuels descendants vivant sur cette «terre de légendes » (marque déposée) comme les valeureux guerriers celtes ayant résisté à tous les envahisseurs. Or, le peuple qui a donné la langue de nos prédécesseurs, et qui fut parlée pendant mille à mille quatre cents ans selon le contexte, n'est pas né directement en Bretagne. C'est le fruit de tribulations et surtout de métissages.
Les premiers Celtes apparurent en Bretagne et en Grande-Bretagne vers 500 avant (ère chrétienne en provenance du centre de l'Europe (époque laténiène) et se mêlèrent aux autochtones qui étaient eux-mêmes issus de nombreuses origines (nordiques, alpines et même... du bassin parisien). Sur ces terres habitaient, dans le Morbihan et sans doute un peu en Loire-Atlantique, les Vénètes, d'origine indo-européenne, qui avaient combattu avec les Romains contre les Celtes au tJZe siècle avant le crucifié; ce « peuple » s'étant aussi installé sur les côtes adriatiques, et ayant donné le nom de Venise.(3)
Ils furent, au moment de l'invasion romaine en Armorique, leurs plus terribles adversaires, notamment grâce à leurs voiliers plus rapides que _les navires romains. C'est au cours de la première moitié du n~ siècle que les Romains firent appel à des Grands-Bretons (principalement des hommes) pour servir de mercenaires et garder les forts contre la pression des Saxons; ils firent aussi appel à des Maures à Brest et à Vannes, à des Francs pour Rennes.
C'est seulement entre 450 et 550, avec le déclin de l'influence romaine, que les Bretons, venant de Cornouailles ou du pays de Galles, s'installèrent massivement en Bretagne (la petite, donc), en Normandie et sans doute jusqu'en Vendée, poussés par (invasion d'autres conquérants, les Angles et legs Saxes, ainsi que d'autres Celtes, les Irlandais.
Les futurs Bretons s'assimilèrent petit à petit, de gré ou de force, aux peuples vivant sur ces terres pour les faire leurs, changèrent les noms des lieux en leur attribuant les noms de leurs saints chrétiens, de leurs héros et imposèrent leur langue sans pour autant pouvoir empêcher le paysan de patoyer (on dirait aujourd'hui de l'argot). Le parler celte étant le parler du seigneur, il s'imposa et fut le parler courant.
C'est après la fin de l'époque mérovingienne et des guerres saliques que les Bretons sortirent de leur isolement, et qu'un échange commença à émerger avec les voisins germains qui trouvaient une certaine stabilité en mettant fin aux guerres de succession.
C'est avec Anne de Bretagne que fut scellé le sort des seigneurs bretons et français, qui relégua le langage breton hors des Villes et des palais où le commerce et la diplomatie faisaient place au langage du puissant voisin. C'est avec le mariage de la fille d'Anne, Claude, que la Bretagne devient française en 1532.
Durant cinq cents ans, la langue, n'étant utilisée pour aucun échange, sinon local, évolua en cinq dialectes dans les régions que sont la Cornouaille, le Léon, le Trégor, le Vannetais et le Gallo pour tout l'Ouest, où ne fut jamais réellement parlé le langage des seigneurs celtes. Les curés demeuraient alors les derniers vecteurs de cette langue entre les seigneurs et leurs serfs.
Cette langue ne fit renaissance qu'avec des nobles férus des théories racistes du XIXe siècle, tel Hersart de la Villemarqué et son fameux recueil de légendes bretonnes rehaussé de panceltisme (la Barzaz breiz), les traditions étant réinventées avec ferveur par la curaille qui renoua volontiers avec ces grands élans de chouannerie. Puis la guerre de 19141918 exacerbe la haine de l'autre et, si le soldat-ouvrier-paysan n'est pas dupe, il l'apprendra une balle dans le coeur sur le champ d'exécution ou sur le front des batailles; c'est la grande boucherie nationale. Pourtant, chose étrange, comme on manque de paysans, ce sont parfois des étrangers des colonies qui servent de main-d'oeuvre et contribuent à l'occasion à l'enrichissement du capital génétique breton.
Dans les années 1920 et 1930, les théories racistes se trouvent réconfortées avec l'arrivée sur la scène politique du nationalisme (en Italie, en Espagne, en Allemagne et un peu partout en Europe). Les milieux nationalistes voient alors dans la langue bretonne la réaffirmation de l'identité celte du Breton.
En 1925, le vieux drapeau blanc et noir (une croix noire sur fond blanc) est même remplacé par l'emblème que l'on connaît aujourd'hui, le Gwen-a-du, qui fait hommage au clergé (les bandes représentent les évêchés) et à la noblesse (les hermines sont les baronnies). Ce milieu est en amitié avec son équivalent pangermaniste qui à cette époque sévit en Bavière (un pacte sera même signé assurant le gouvernement indépendant de la Bretagne en cas de victoire des Allemands) .(4)
En 1942, la langue est réformée par l'auteur et collaborateur Rozparz Hemon de la revue Gwalarn (« vent de nord-ouest », référence aux origines de la race celte). C'est le KLT (pour Cornouaille, Léon, Trégor) qui est enseigné aujourd'hui et qui est malheureusement présenté comme la langue de « nos ancêtres » qui ne la parlèrent jamais et dont la culture orale va disparaître, remplacée par cet ersatz. Certains disent que c'est le seul moyen de préserver cette culture...
Il faut savoir que, immédiatement après là guerre, personne n'aurait parlé le KLT car tout le monde savait ce qu'était la langue des Breiz Atao, et ce n'est que dans les années 1960, à la faveur des luttes de libération nationale dans les anciennes colonies, que d'anciens nazis de la Bezen-Perrot exilés pour indignité nationale réapparurent(5) pour remettre cette langue sur la scène du nationalisme. Elle porte aujourd'hui les habits d'une culture travestie faite de rites et de traditions montés de toutes pièces où seul le soc de la charrue du paysan d'avant le tracteur conserve quelque chose d'authentique, puisque même les poèmes de certains de nos grands parents ne riment plus de la même façon.
L'inconvénient d'être né quelque part
Il est évident, à la lumière de l'histoire de ce cas particulier, que le mythe de la race n'est qu'un mensonge, une fable qui nous berce d'illusions, que cette culture a déjà été anéantie comme beaucoup d'autres par la culture du pouvoir, de l'État, de l'Église et du capitalisme qui fabrique des effets de mode pour mieux vendre ce désarroi que la précarisation et la mainmise faite sur nos existences peuvent provoquer.
Notre culture, ayons l'intelligence de la fonder sur nos valeurs, telles l'entraide, la solidarité et la liberté, pour faire émerger l'égalité économique et sociale, seule garante de l'égalité politique; puisons notre culture partout où l'on trouve du bon sens et ce qui fait résonance avec nos principes émancipateurs.
C'est ainsi seulement, en refusant toute forme de domination que ce soit par une race, une culture ou une langue qui se voudraient supérieures, que nous pourrons nous épanouir, dans l'égalité, hors de tout nationalisme ou identitarisme, grâce à la libre association et au fédéralisme.
Johan
Johan milite au groupe Jean-Souvenance de la Fédération anarchiste, à Saint-Brieuc. Site du groupe : http://www.fa-souvenance.zaup.org/
1. Racisme positif ou négatif, l'image d'Épinal fait son travail: le Breton est têtu, l'Allemand est ordonné, l'Anglais est flegmatique, le Français est désordonné, et je vous en passe des meilleures que d'autres individus bienveillants se font un plaisir de véhiculer.
2. « L'oppression d'un peuple ou même d'un simple individu est l'oppression de tous et l'on ne peut violer la liberté d'un seul sans violer la liberté de chacun »; « La liberté d'autrui est d'être la mienne à l'infini » (citations de Michel Bakounine).
3. Les Vénètes seraient à l'origine du parler du pays vannetais.
4. Ce fut chose faite, et les miliciens de la BezenPerrot (la milice nazie bretonne) reçurent une belle volée de pierres de la part des gens à qui on annonça la chose une fois que l'occupant nazi tint sa promesse. L'indépendance dura une heure.
5. À 1a libération et au retour des camps, certains miliciens ayant battu en retraite avec les Waffen-SS seraient revenus en usurpant l'identité de déportés, les autres ayant fui en Irlande ne réapparurent qu'à la fin de leur période d'indignité nationale.
Sources
Le monde comme si, de Françoise Morvan, éditions Acte Sud.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bretagne
http://farennes.free.fr/nationalisme.htm
Et, bien sûr, les copines et copains de l'Union Régionale et les amis de la région pour leurs précisions protohistoriques.
Le Monde libertaire #1391 du 24 au 30 mars 2005
Commentaires :
Felip |
J'ai lu cet article quand il est paru dans le ML et j'en étais resté un peu abasourdi.
Je suis tout à fait d'accord pour rejeter l'idée d'Etat-nation. Créer en Bretagne des nouvelles frontières, une nouvelle police, est une idée ridicule. Mais pourquoi tant de haine envers la langue bretonne. Comme les autres langues dites "régionales" de l'Etat français, elle est déjà suffisamment mal en point. Ce n'est pas la peine de s'acharner dessus. Comme la biodiversité, il est souhaitable qu'il continue d'exister une multitude de langues. Elle font partie de la richesse des cultures du monde. On peut défendre une langue sans vouloir créer un nouvel Etat. On peut se battre pour éviter qu'elle ne crève sans pour autant vouloir l'imposer à ceux qui n'ont pas envie de la parler. On peut être anarchiste et ne pas être opposé aux notions d'ethnie, de culture, de langue. Je ne connais pas bien le mouvement breton et il y a sûrement en Bretagne des nationalistes chauvins voulant exclure l'autre. Par contre je connais un peu mieux l'Occitanie. Il y a un tas de gens de Bordeaux à Nice en passant par Toulouse, Clermont-Ferrand et Marseille qui écrivent, chantent en occitan. Parmi eux, il y a pas mal de libertaires à qui ne viendrait jamais l'idée d'imposer leur langue ni de créer de nouvelles frontières... Amistats Felip Répondre à ce commentaire
|
johan 04-04-05
à 13:50 |
Re:Je me permet de répondre, je n'éprouve aucune haine particulière envers la langue bretonne, ça n'aurait pas de sens en soi. Ce qui me pose problème c'est que cette langue comme elle est pratiquée actuellement n'est pas un le moyen de transmission naturel d'une expression classique d'un peuple qui se la serait transmit de génération en génération avec sa dimension culturelle. Au contraire la ou plutôt les langues naturelles ont été squizées par une langue artificielle aux origines plutôt malsaine dans un but de toute évidence tout à fait politique : l'indépendance et construction de frontières physiques, politiques et économiques contre le « colon français et maintenant anglais » autour du concept de celtitude. Ce qui de fait réduit au plus petit dénominateur commun la diversité culturelle préexistante (les musées en Français le faisaient aussi bien) et élimine les vestiges des diverses langues parlées réellement par « nos grands parents » (sauf les non-bretons vivant en Bretagne, ah nos ancêtres les gaulois appris aux enfants d'immigrés quelle leçon d'humanité de tolérance et d'ouverture, pourquoi ne jamais supprimer le NOS par les habitant.e.s de à telle époque... désolé je ne suis pas très porté sur l'ethnisisme, concept un peu flou qui s'accomode bizarement d'un mariage de l'héritage culturel et génétique). Il n'est d 'ailleurs plus interdit de parler breton depuis belle lurette en Bretagne ce qui n'empêche pas certain.e.s de continuer se poser en victimes de l'envahisseur venu de France (depuis 1532 il était temps de se réveiller), enfin comme partout des assimilations se sont faites, entre les différents parlers (français, bretons, gallo, vannetais...) sans que ça ne traumatise plus que ça les populations (plutôt contentes d'élargir leur horizon culturel et plus pragmatiquement, économique), hormis les nationalistes pur et durs qui vont nous pourrir les oreilles à savoir si Nantes est en Bretagne ou pas (évidemment c'est oui et ça demande reconquête que la chouannerie n'avait pas obtenue en 1793). Ça tourne toujours plus autour d'une sorte de chantage affectif envers la langue et le pays qui ont été humiliés que d'un penchant amoureux pour les secrets, les images, les beautés d'une langue, enfin heureusement il y en a et à ceux et celles-ci il faut rendre hommage car il faut avoir bien du mérite de vouloir parler cette langue (réformée ou pas, c'est pas une obligation, et l'héritage culturel demanderait de connaître un peu plus la « vrai » langue dans ces consonances et pas bardée de bzh mutagène qui n'a jamais existé). Enfin c'est un phénomène tout à fait minoritaire, mais qui a sa place dans la culture locale (ils sont extrêmement bien couvert par les médias qui l'allient toujours avec avantage avec l'église et une certaine rectitude morale pour ce qui est des journaux de grand tirage). Ce qui est donc dérangeant c'est toujours l'instrumentalisation politique et donc nationaliste (qui s'accompagne toujours de relents racistes ou chauvinistes) qui portent en étendard des cultures qu'ils dépècent de leur sensibilité et en rejetant les possibilités universelles que celles-ci pourraient véhiculer. Sur les bases du fédéralisme anarchiste, la possibilité de parler une infinité de langues, dans sa commune, dans son quartier, est quelque chose de tout à fait envisageable si on se donne les moyens pour s'ouvrir aux autres facilement dans une optique multiculturaliste et universelle en optant en prime pour un double langage du type de l'esperanto, et pour faire frissonner, au pire l'anglais/sabir qu'on utilise déjà plus ou moins partout. Répondre à ce commentaire
|
Felip 04-04-05
à 20:57 |
Re: Re:Merci de ta réponse Johan.
Je comprends bien quels sont les groupes que tu vises dans ton article. La lecture de cet article peut cependant laisser supposer que ceux qui défendent la langue bretonne sont uniquement des nationalistes passéistes et racistes ... Quelques réflexions supplémentaires. Quand je parle d'ethnie je pense à un groupe d'individus ayant une culture commune, éventuellement une langue commune. Cette ethnie peut se trouver ou non sur un espace géographique déterminé. Je ne pense évidemment pas aux gênes. On peut être né en Afrique et se "sentir" Breton , être né en Algérie et se "sentir" Marseillais... En parlant de culture, je pense à des façons de vivre, de se nourrir, d'écrire, de faire la fête, de parler... Heureusement qu'il existe encore une grande diversité de cultures ! Mais pour combien de temps encore ? La malbouffe et le cinéma hollywoodien sont par exemple des causes de déculturation. Lorsque tu cites les notions libertaires d'entraide, de solidarité, de fédéralisme, je ne sais pas si l'on peut parler de culture mais peut être plutôt de principes que l'on souhaiterait bien sûr universels. A propos de l'histoire des divers peuples, je pense qu'il est important de la faire connaître. Les Etats-nations ne présentent dans leurs médias et leurs écoles qu'une seule version. Il n'y a bien sûr aucun intérêt à s'intéresser aux reines, ducs ou autres baronnets locaux. Par contre, il est souhaitable de s'intéresser aux luttes populaires ignorées par les manuels. Qui connaît les révoltes des vignerons de 1907 ou de 1976 dans le Languedoc, la résistance au coup d'Etat de Louis-Napoléon Bonaparte en Provence et en Dauphiné, la Commune de Marseille et la figure de Gaston Crémieux ? ... A propos des langues qui étaient seulement orales, lorsqu'elles passent au stade écrit, il y a forcément une certaine standardisation. Tout dépend à quel niveau cette standardisation s'effectue. Je suis étonné qu'il n'y ait qu'un seul breton enseigné en Bretagne. Pour l'occitan, les divers dialectes sont enseignés : gascon, auvergnat, limousin, languedocien, gavot, provençal, nissart. Chacun écrit, parle son dialecte et il y a en principe une certaine intercompréhension. Je suis d'accord avec toi pour condamner des groupes qui utiliseraient une langue pour imposer l'idée de nation. Je suis en effet étonné de voir des cartes géographiques où les noms des villes et villages des régions de Rennes et Nantes sont écrits en breton alors que cette langue n'y a été peu ou jamais parlé. Défendre la multiplicité des langues ne doit pas être un obstacle à la communication. En France, il y a le français qu'il serait ridicule d'abandonner. Il ne faut pas suivre l'exemple de certains Catalans et Basques qui refusent de vous parler en castillan. Et pour l'international, comme tu le dis, les possibilités sont nombreuses : anglais, espéranto... Répondre à ce commentaire
|
Anonyme 10-05-05
à 18:53 |
Re: Re: Re:$ùù
Répondre à ce commentaire
|
Anonyme 10-05-05
à 20:56 |
Re: Re: Re: Re:Mais les libertaires occitans dont tu parles, quelle est leur perspective exactement ? S'agit-il simplement d'écrire et chanter en Occitan ? Il y a-t-il des textes exposant leurs vues ? Leurs équivalents bretons en ont très peu et très courts, impossible d'en dégager une vision claire, comme si l'ambiguïté était voulue. Je ne suis pas certain qu'en fait le rêve de quelques frontières supplémentaires ne soit pas à l'arrière plan. Le dialogue aussi est parfois malaisé car on observe de temps à autres des tendances à placer rapidement l'interlocuteur dans une position de bourreau/complice des bourreaux dès lors que l'interlocuteur en question émet des doutes. D'un autre coté les libertaires "de ce style" sont peut-être plus au coeur de certaines problématiques fondamentales que d'autres, ils tentent en pratique de réaliser ce que presque tous les anarchistes prétendent vouloir faire alors que dans les faits c'est souvent un universalisme un peu trop réducteur qui domine. La diversité culturelle survivrait-elle à l'anarchisme ? Certains anarchistes répondent oui un peu hâtivement. L'anarchiste "régional" est plus prudent.
Répondre à ce commentaire
|
blance 04-01-06
à 19:40 |
Re:oh la la il y a tout cela a lire ! Les bretons les basques les corses tous veulent autonomie. Mais si la république n'était pas la, alors qu'y payeraie leurs assedics tant qu'allocs il y a. Vive l'enfant unique français et pas chinois car on est pas en chine en france. mort aux vaches ! Répondre à ce commentaire
|
steph 07-02-07
à 18:03 |
Cet article est navrant! Comment peut-on baser sa réflexion sur un seul livre? celui de francoise morvan en plus! Il est temps d'en finir avec ces préjugés et ces histoires d'après guerre qui ont concerné une dizaine de personnes tout au plus. Les Bretons sont tolérants, être bilingue nous rend certainement bien plus tolérants que les autres, ça ouvre l'esprit, et surtout donne l'esprit critique. Je vous conseille d'en faire autant et de ne pas écrire autant de lignes sur un sujet que l'on ne maitrise absolument pas.
Répondre à ce commentaire
|
à 11:39