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Lu sur PostÔporno : "PostÔporno est un blog Queer qui a pour finalité la diffusion d'informations, d'idées, de réflexions ayant trait aux sujets suivants : genre, Queer, sexualité, post-porno, transgenre, prostitution, homophobie, racisme, sexisme, post-colonialisme...


_________________________________________Vos commentaires, vos réactions, vos articles sont les bienvenus. Toutefois, si le ton du contenu ne correspond pas à l'esprit de postÔporno ils seront supprimés, particulièrement s'il s'agit de propos haineux et discriminatoires.

_________________________________________Les sources des articles et textes, ainsi que le-s nom de leur-s auteur-e-s sont indiquées dans le contenu, et dans la mesure du possible on trouve un lien général sz la source dans la liste à gauche sur la page principale.

Ecrit par libertad, à 22:37 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  libertad
13-11-05
à 22:44

Voilà un nouveau joueb dont je recommande fortement la lecture et dont nous suivrons la mise à jour avec intérêt dans les colonnes de l'En Dehors.
On y trouve en particulier un texte traduit par les soins de notre cher Mirobir : "Quand nous aurons besoin d'êtres sauvées, nous promettons que nous vous appellerons" et paru sur le site associé à l'En Dehors : Lilith
Mais l'animateur(trice ) de PostÔporno a oublié d'indiquer d'où prevenait la traduction, nous ne lui en tiendrons pas rigueur mais espérons qu'il corrigera cet oubli.
Bonne lecture de PostÔporno !
Répondre à ce commentaire

  gaadjou
14-11-05
à 10:36

Re:

Désolé pour cet oubli et milles excuses à Mirobir, l'erreur est à présent corrigée. Merci pour vos encouragement...

Cordialement

Gaadjou
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  Anonyme
14-11-05
à 15:44

Re: Re:

Une remarque et deux questions betes

remarque : le lien donné pour postoporno ne marche pas

Question bete 1 : les homos se sentent-ils à l'aise dans les organisations anarchistes ?

Question bete 2 : il y a peu de femmes dans le mvt anar, à votre avis pourquoi ?

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
14-11-05
à 15:50

en fait

Il y a peu (moins) de femmes dans les milieux militants tous courts, non ?

Résidus et normes de systèmes patriarcaux ?

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
14-11-05
à 16:13

Re: en fait


Moi j'ai une solution -j'en ai toujours :-) - et je lance ici un appel aux femmes anarchistes de France : l'heure est venue il faut vous révolter !  Comment ? C'est très simple : entrez-en masse dans toutes les organisations anarchistes jusqu'à que les hommes y soient en nette minorité (je recommande personellement 70% de femmes 30% d'hommes, mais on peut discuter)

Vous n'etes pas encore assez nombreuses pour le faire ?  Qu'à cela ne tienne : recrutez le plus vite possible le nombre suffisant.

Ensuite : maintenez dans ces organisations une présence largement majoritaire constante pendant une période d'au moins dix ans.

Vous verrez que cette méthode simple apportera bien des surprises positives et dans les domaines les plus inattendus, et en peu de temps.

Signé : un male bedonnant (en plus c'est vrai)
Répondre à ce commentaire

  gaadjou
14-11-05
à 21:51

Re: Re: Re:

je ne prétend pas parler au nom des pédés, des gouines et autres Queers (oublions le terme médico-psychiatrique "homosexuel-le-s"), mais je peux te dire que moi et quelques autres sommes comme tout autre humain, partie prenante aussi dans les mouvements anars, sans problèmes particuliers en fait... Coté "femmes" et leurs implication, la proposition sur le reliquat de patriarcat me semble pertinent.

ps: le lien semble fonctionner, mais au cas où: post-Ô-porno
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  Anonyme
15-11-05
à 13:24

Et moi, et moi, et moi?

Encore un délire communautariste de plus...

Moi, elles me gonflent les minorités. Autant que la majorité. Dans les deux cas, on oppose de fait un groupe à un ou plusieurs autres. Pourquoi ne pas distinguer plutôt chaque personnes de toutes les autres? Les gens doivent-ils être en meutes pour qu'on s'intéresse à eux?

Chaque individu est unique. Et aucun n'est assimilable à une communauté, qu'elle soit minoritaire ou majoritaire. Il n'y a pas que les "blocs identitaires" ethniques ou religieux qui soient dangereux pour la pensée. Ceux construisant leur analyse du monde sur les identités sexuelles appliquent les mêmes schémas. Alors, pourquoi ce regain de communautarisme chez les "révolutionnaires"? Cette logique devient-elle, comme par magie, "positive" dès lors qu'elle est le fait d'une minorité présupposée "victime"? Rien n'est moins sûr.

Répondre à ce commentaire

  OTONOM
15-11-05
à 17:06

Re: Et moi, et moi, et moi?

Oui !<br />Et on voit où ça mène :<br />la FA signe un appel, tendance "sauvons la République", avec tout ce que l'altermondialisme bon ton compte de Tartuffes ; ça fait mal.<br /><br />C'est une erreur qui sera sans doute lourde de conséquence. Une erreur historique !<br /><br />Feu dedans<br /><br />
Répondre à ce commentaire

  gaadjou
15-11-05
à 18:50

Re: Et moi, et moi, et moi?

Bienvenu dans les théories "Queer", qui justement rejete toute idée de catégorisation, et qui prône un brouillage des identités, de genre de sexe, d'orientation sexuelle, de "race"; être Queer consiste (non pas a etre un homo de bon goût comme le sous-entend la réccupération du terme par tf1!) à rejeter les identités qui sont catégorisantes et excluantes. Par conséquent, il n'existe pas de communauté Queer, donc pas de communautarisme Queer, mais bien plutot des stratégies de résistance à l'ordre établi (hétéro-patriarcal hiérarchisé et racialisé)....

Gaadjou
Répondre à ce commentaire

  leon
16-11-05
à 18:07

Re: Re: Et moi, et moi, et moi?

Un bon livre sur le sujet: trouble dans le genre de judith buttler, qui date d'il y a 10 ans mais qui a été traduit cette année en français. C'est une reflexion qui part de la question du sujet du feminisme.
Par contre, l'argument de l'individu face au groupe, je le trouve bateau, et c'est souvent une excuse de mec pour eviter de mettre en cause leur domination de fait dans les débats. Buttler pense, je crois, que le sujet des luttes se forme dans les luttes et que sa forme peut s'adapter aux conditions changeantes de ces luttes. Personnellement, je trouve vital que les mecs arrêtent de s'impliquer dans certaines luttes de femmes tant qu'ils n'ont pas mis en route des réflexions sur leur propre condition masculine dans des groupes non-mixtes masculins. On a trop donné de leçons, et trop peu critiqué notre virilité. Ce n'est pas du communautarisme que d'exclure les femmes de certaines de nos réunions, c'est un outil pratique dans le contexte actuel. De même, la tradition des luttes libertaires est basée sur l'auto-organisation dans les luttes, et ce n'est pas du communautarisme si les gay/lesbiennes s'organisent entre elles/eux, mais bel et bien la prise en main de cette lutte par les gens concernés. Pour ma part, je n'ai jamais senti de volonté d'exclusion en 10 ans de fréquentation de groupes gay/lesbiens/transgenres en allemagne, en france ou en suisse, pareil  pour les groupes feministes ou non-mixtes masculins.  Le communautarisme ou le politiquement correcte, ça vient des méchantEs américainEs, et les bonNes françaiSEs ont vite fait de tout  mettre dans le même panier  au nom d'une  "convivialité gauloise" qui est pour eux le summum de la liberté alcoolisée et érotisée. L'individu se définit par des appartenances à différentes communautés, et je vois mal comment se définir autrement, à moins de croire à l'être humain image d'un dieu absolu. Notre seule liberté tient dans notre rapport dynamique à ces communautés. En définissant nos priorités et nos luttes, on redéfinit les communautés ou on s'en sépare, et on se redéfinit ainsi. L'Unique, s'il se considère comme le résultat absolu et final d'un procéssus de liberation individuel, comme une identité, n'est que l'image du mâle bourgeois dominant de notre société, qui se croit libre en roulant à 200 km/h. Par contre, l'Unique comme sujet se redéfinissant perpétuellement, en se donnant les moyens de choisir, c'est pour moi l'individu libre. Queer, pour moi, c'est avant tout être sujet et conscient de l'artificialité des identités masculines et féminines. En tant que sujet, il s'agit de jouer avec ces identités. L'unité des luttes passe par la fédération de celles-ci et non par la négation de leurs caractéristiques particulières dans la construction d'un sujet abstrait idéal d'une grande révolution monolithique.
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  frederic adam-foucault
20-03-06
à 18:06

Ceinture de Queers

Bonjour !

Vous trouverez sur mon blog (http://ceinture2queers.over-blog.com) quelques uns de mes textes autours de la thématique queers sur laquelle je travaille depuis quelques temps.

Au travers de personnages fictifs, j'aborde différents sujets tels que l'homophobie, le rapport à soi et aux autres, le barebacking et ses conséquences néfastes, les questions de genres... Le tout avec cynisme, humour, poésie… et surtout, à vous d’en juger !

Bref, un panel d'histoires et de personnages aussi variés et stimulants que les gens que je rencontre !

Bien entendu, je ne m'intéresse pas qu'aux questions liées à l'homosexualité. Plus généralement, ce qui touche à la psyché des individus me passionne, m'intrigue et me bouleverse. J'ai écrit mon premier recueil de Nouvelles intitulé "Névrose-Land" pour lequel je rechercherai un éditeur, lorsque j'aurai un peu plus de temps au quotidien...

Car, je ne fais pas qu'écrire. Je travaille en ma qualité de chargé de communication pour une troupe de théâtre, je suis activiste gay, et acteur porno ! (Je tourne sous le pseudo de Thomas Slut).

Je suis aussi réalisateur, et dans quelques semaines, vous pourrez visionner en ligne mon premier court métrage intitulé "Un autre Sexe". Je souhaite par ailleurs réaliser prochainement un clip porno de prévention...

Amateur de bonnes choses, j'assume qui je suis, car je suis fièrE !

Vous trouverez aussi les liens des sites qui m'émeuvent, me bouleversent ou m'excitent !

Si vous souhaitez réagir à mes textes, n'hésitez pas à me contacter par mail à frederic.a-f@myself.com, je vous répondrai avec Plaisir !

 

Je vous souhaite une bonne lecture !

Cordialement,

Frédéric Adam-Foucault

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