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Ces démontages font suite à l’attentisme des opérateurs de téléphonie mobile qui ont préféré maintenir les sites incriminés en l’état alors même que des mesures répétées laissaient apparaître des seuils supérieurs à 2 v/m. Tout indique que la totalité des arrondissements sont exposés de la même manière, avec en conséquence environ 400 points chauds sur le territoire parisien dont les champs électromagnétiques dépassent les deux volts par mètre sur 24h.
Agir pour l’Environnement et Priartém demandent à la Mairie de Paris qu’elle fasse pression sur les opérateurs afin que ces derniers éditent une cartographie des points chauds. Cette cartographie aurait le mérite d’améliorer la transparence tout en limitant les expositions chroniques inacceptables.
Les associations Agir pour l’Environnement et Priartém se félicitent de ces deux nouveaux démontages situés au 5 cité de Gênes et au 294 rue de Belleville. Agir pour l’Environnement et Priartém déplorent que certaines mairies d’arrondissement aient délibérément privilégié l’immobilisme en accordant systématiquement des accords pour les nouvelles installations d’antennes relais. La très grande majorité des mairies d’arrondissement, hormis les 12ème, 14ème, 18ème, 19ème et 20ème, n’effectue aucune mesure ciblée de champs électromagnétiques et ne peut, à ce titre, découvrir les expositions élevées dues aux champs électromagnétiques.
A l’instar de la mairie du 20ème arrondissement notamment, Agir pour l’Environnement et Priartém invitent les mairies d’arrondissement à privilégier la principe de précaution en refusant toute installation d’UMTS, troisième génération de téléphonie mobile ainsi que toute proposition de concentration de nouvelles antennes relais.
Contact presse :
Janine Le Calvez - Priartém - Tél. 01.45.34.52.43