L'En Dehors

Extrait d'un article de l'agence gouvernementale l'agence France presse qui en dis long sur le séjour écourté de l'arriviste de Neuilly aux Antilles

Aux médias gouvernementaux Sarkozy déclare " il fallait le faire on l'a fait "

Extraits de sa propagande sur l'agence France presse

Sarkozy : "Il fallait le faire. On l'a fait"

- A BORD DE L'AVION DE NICOLAS SARKOZY - Nicolas Sarkozy a s'est employé à tirer un bénéfice médiatique de l'évacuation dans la nuit de vendredi à samedi de la Sorbonne, dirigée en direct depuis l'avion qui le ramenait deFort-de-France (Martinique) à Paris après son déplacement aux Antilles

Comme d'habitude le ministre de l'intérieur et le ministre de tout ne peut pas se déplacer sans un aréopage de " journalistes " a sa botte

La démagogie Sarkozyste le retour

-Fort-de-France, 22h45 (3h45 à Paris) : l'Airbus A310 de l'armée de l'air, dans lequel ont pris place le ministre de l'Intérieur, ses collaborateurs et une cinquantaine de journalistes, roule sur le tarmac de l'aéroport du Lamentin. Nicolas Sarkozy a avancé son départ de la Martinique, initialement prévu samedi en début d'après-midi, en raison de l'occupation de la Sorbonne par des étudiants opposés au contrat première embauche (CPE)

- Le ministre de l'Intérieur, en jean et chemise Oxford, laisse entendre à la presse que l'université symbole de mai 1968, occupée depuis mercredi, va être évacuée. "On vous en dira plus après le décollage", lâche-t-il, énigmatique, avant de gagner sa place à l'avant

Et vas y que l'agence France presse lui passe le cirage bientôt on saura même la marque Tm de son after shave

- 22h55 : l'avion vient à peine de décoller que le conseiller en communication du ministre, Franck Louvrier, annonce que les CRS sont entrés dans l'université pour évacuer les 200 étudiants qui s'y trouvaient.

Que monsieur Sarkozy continue a s'inquiéter qu'ils le veuille ou non la jonction entre luttes sont bien faites et elles sont faites pour durer jusqu'à l'abrogation totale de toutes les régressions sociales votées depuis 2001 et même au delà par ses prédécesseurs de la " gauche " sociale libérale nos luttes ne s'arrêterons pas a l'abrogation du simple Cpe nous voulons tout et l'abrogation totales des saloperies et régressions sociales votées depuis les années 1980

- Faut-il faire évacuer les autres universités occupées

"Il faut voir tranquillement les choses", répond M. Sarkozy. Quant à son départ anticipé de Martinique, "à partir du moment où je coordonnais les opérations là-dessus, rester demain matin n'avait pas de sens", explique-t-il.Le ministre de l'Intérieur se montre moins prolixe sur les annonces que pourrait faire Dominique de Villepin sur d'éventuels aménagements du CPE

Nous voila prévenu-es de prochaines facultés universités et lycées investi-es par les milices de l'ump ( uni " red " , jeunesses populaires ) les combines au votes " démocratiques " des recteurs , et les descentes de Crs ne sont pas a exclure

Et Sarkozy de continuer dans sa démagogie et ses menaces a peine cachées

-lors de son intervention dimanche soir sur TF1. "Je ne me hisse pas au-dessus de ma condition : je suis ministre de l'Intérieur", dit-il, faussement modeste. Mais il laisse entendre qu'il avait une autre solution que le CPE, qu'il ne soutient que du bout des lèvres. 23h25 (4h25 heure de Paris) : le ministre revient une dernière fois dans la cabine arrière. "Cela s'est bien passé. Il n'y a pas de blessés. Cela n'a pas été simple. Il fallait faire attention qu'il n'y ait pas de brutalité. Il n'y en a pas eu", assure-t-il. On lui demande s'il va réveiller Dominique de Villepin pour lui annoncer le succès de l'opération. Réponse négative : "il est 4h du matin à Paris. Il dort". Les deux hommes ont rendez-vous dimanche

avant l'intervention télévisée du Premier ministre chez tf 1

Pour le fait qu'il n'y ait soi disant pas eus de " brutalités " on a vu ce que ça a donné contre nos camarades les insugé-es des banlieues en novembre 2005 et les images de la répression qui sont passées hier soir sur l'évacuation de la Sorbonne

Face a ce mépris et cette arrogance , face a cette haine sans limites de la droite ump a l'égard du peuple nous clamons et nous crions Résistance

Nous tous-tes acteurs et actrices du mouvement social n'avons contrairement a cette oligarchie , au service du patronat et du Medef , n'avons rien a perde , d'ailleurs qu'aurions nous tous-tes de plus a perdre vu tout ce qu'ils nous ont volés depuis 2001 et leur retour au pouvoir

La droite ump le Medef et ses serviteurs ne sont que de pitoyables tartuffes pourquoi continuons nous à avoir peur de cette engeance pétocharde

Multiplions les actions, les grèves, les occupations, les blocages (et pas seulement des facs) bloquons la machine économique et spectaculaire, investissons les médias gouvernementaux, dans les luttes actions et manifestations exigeons des caméraman et des suces micros qu'ils ne déforment pas ni censurent notre parole, il faut s'attaquer a ce système a l'endroit ou ça lui fait le plus mal, son portefeuille et goût morbide pour l'argent et les " profits "

Tous et Toutes ensemble contre les canailles gouvernementales nous vaincrons

comités No Sarkozan

no sarkozan le samedi 11 mars 2006 à 14h34

23h (4h heure de Paris) : Nicolas Sarkozy, en liaison toutes les 10 minutes avec le directeur des CRS Christian Lambert, qui dirige l'opération sur les lieux, confirme. "Il fallait le faire, on l'a fait. On a pris la décision cette après-midi à 17 heures (22h à Paris) avec Dominique de Villepin", précise le ministre de l'Intérieur. "On a décidé de l'heure avec Christian Lambert, Michel Gaudin (directeur général de la police nationale) et Claude Guéant (son directeur de cabinet)."

Pourquoi cette nuit "Demain (NDLR : samedi) il y déjà toutes ces manifestations samedi, ce n'était pas la peine qu'il y ait des jonctions", explique le numéro deux du gouvernement