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Planète sans visa : "C’est un cinglé, mais dans ce monde de tarés, il n’y en aura jamais
assez. J’ai connu Pierre-Emmanuel Neurohr il y a quinze ans, quand il
s’occupait de déchets, et d’ordures, nombreuses on le sait. Après avoir
travaillé pour Greenpeace, il avait créé une petite association, qui
foutait le bordel à propos des incinérateurs, entre autres. Et puis il
était parti à Bruxelles, puis à Prague, puis je ne sais où. Je me
souviens d’une discussion longue avec lui, sur la dioxine, et la
malignité des autorités françaises de l’époque, manipulées comme à
l’ordinaire par les lobbies de l’industrie. Il avait les yeux et la voix
de celui qui ne lâche pas. Il n’est visiblement pas du genre à lâcher.
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