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Soutien à Aubin : Action
Lu sur A toutes les victimes :"Aujourd’hui l’heure n’est plus aux palabres mais à l’action, c’est dès maintenant qu’il nous faut réagir collectivement ou individuellement pour pouvoir contrer l’expulsion d’Aubin. La situation est grave mais pas désespérée et elle ne pourra s’inverser que si la préfecture prend conscience qu’Aubin est soutenu
Concrètement, voici les actions en cours auquelles vous pouvez vous associer :
- Rassemblement tous les lundi à 13H30 devant la sous-préfecture de Reims.
- Une pétition papier téléchargeable ici (lien à venir)
- Ci-dessous le tract/communiqué.
- Envoyer le plus grand nombre de fax possibles à la Préfecture adressés à Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture, M. Le Deun en exigeant que ses services renouvellent sa carte de séjour étudiant (numéro du fax :
0326261253) - voir article ici.
- Laisser un contact téléphonique ou mail à l’adresse suivante soutien.aubin@aliceadsl.fr si vous désirez vous impliquer davantage (distribution de tracts, manifestations.)
- Relayer ces informations autour de vous
- Soutien financier à : Soutien Aubin c/o Egregore BP 1213, 51058 Reims cedex, chèques à l’ordre de la Galère-Le chat noir (indiquez soutien Aubin au dos)

Comité de Soutien à Aubin c/o Egregore B.P 1213
51058 Reims Cedex Telephone : 03 26 40 27 08.
soutien.aubin@aliceadsl.fr

COMMUNIQUE :

——————————–
SOLIDARITE AVEC AUBIN
Après trois semaines d’Etat d’urgence, les banlieues se réveillent avec la gueule de bois. La nouvelle année commence par la levée de l’état d’urgence dont les évènements du 31 décembre ont achevé de montrer l’inutilité. Le climat d’angoisse entretenu fin 2005 a justifié tous les excès en termes de répression et de mensonges politiques. La justice, a puni pour l’exemple ceux qui, mis à l’écart depuis des années, ont commis l’affront de se révolter.

La révolte a parlé, certains voudraient déjà l’oublier. Les témoignages des révoltés font cruellement défaut au débat public. Seuls les flashballs restent braqués sur les banlieues. Chiffres et témoignages a l’appui, il est indéniable que les personnes inculpées et jugées pendant les révoltes d’octobre novembre ont subi une justice d’exception.
Aujourd’hui enfin, des voix se lèvent, et commencent a être entendues, pour rétablir que ces révoltes étaient bien des révoltes populaires, loin des clichés, que ni le rap, ni l’islam, ni les caïds, ni la mafia, ni les immigrés n’ont fomentés. Que ces révoltes sont le fruit de conditions sociales indignes. Que rien ne justifie l’état d’urgence a part imposer
le silence. Que rien ne justifie une justice d’abattage a part punir pour l’exemple. Le bilan du Ministère de l’Intérieur au 30 novembre : 4 770 interpellations, dont la moitié après la fin des incidents, 4 402 gardes à vue. 763 individus écroués, dont plus d’une centaine de mineurs., 422 majeurs ont été condamnés en comparution immédiate. 152 personnes ont fait l’objet d’une convocation dans un délai de dix jours à deux mois. Sur les faits les plus graves, 135 informations judiciaires ont été ouvertes. Environ 75% des procès ont débouché sur de la prison ferme. Dans notre
ville quasiment rien ne s’est passé pourtant la préfecture de la Marne semble vouloir se distinguer en transformant un jeune étudiant étranger en otage de débats politiciens aux relents nauséabonds. A Reims les poubelles sont plus importantes que la vie des etres humains.

Aubin, né en 1985, est de nationalité béninoise. Il est étudiant à la Faculté de Reims.
Le 11 novembre, il est arrêté avec un petit groupe de jeunes à proximité d’un feu de poubelles.
Le 14 novembre, il est condamné en comparution immédiate à deux mois de prison dont 15 jours fermes pour avoir « détérioré en réunion, volontairement, deux poubelles ». Ces 15 jours fermes ont été effectués dans la foulée.
Cette histoire somme toute banale en cette période de « crise des banlieues » aurait pu s’arrêté là. Mais Aubin est étranger et Sarkozy a clamé haut et fort qu’il expulserait tout étranger condamné. Le 12 décembre, la Préfecture de la Marne refuse le renouvellement de son titre de séjour (il en avait fait la demande avant les faits) et lui donne un mois pour quitter le territoire français. Un arrêté de reconduite à la frontière peut donc être pris par la Préfecture à partir du 12 janvier !
Aujourd’hui l’heure n’est plus aux palabres mais à l’action, c’est dès maintenant qu’il nous faut réagir collectivement ou individuellement pour pouvoir contrer cette infamie. La situation est grave mais pas désespérée et elle ne pourra s’inverser que si la préfecture prend conscience qu’Aubin est soutenu et qu’un rapport de force se dessine.

Ecrit par libertad, à 21:53 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  VAIROIS
13-01-06
à 00:26

ISLAME HORS D'EUROPE

Pourquoi non a l'expultions puisque c'est la seul solutions face a l'immigrations de masse et a l'islamisation qui détruit notre culture. Mais vu le nivaux pourris de ce site je doute beaucoup que culture FRANCAISE vueille dire quelque chose sur ce truq (dit site)
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