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Pourquoi l’effondrement de la bulle financière n’est pas la faute de "banquiers cupides" et pourquoi il ne peut y avoir de retour à un capitalisme social d’assistance.
Lu et traduit par robin-woodard Une nouvelle version de la légende "du couteau planté dans le dos" des années 1920 et 1930 se propage : "notre" économie est supposée devenue victime de la cupidité sans limite d’une poignée de banquiers et de spéculateurs. Absorbés par la monnaie bon marché de la Réserve Fédérale des USA et soutenu par des politiciens irresponsables, ces banquiers cupides ont - ainsi va la légende - amené le monde au bord de l’abime, pendant que les honnêtes gens sont transformés en idiots du village.

Rien ne pourrait être plus opposé aux faits, au vu de leur proportions démagogiques (...), et aussi dangereusement irrationnel que cette notion - qui est actuellement mise en scène pour tout l’éventail de l’opinion publique. C’est marcher sur la tête. La raison pour la misère actuelle ne doit pas être recherchée dans la vaste surévaluation des marchés financiers : cette dernière n’étant pas une cause en soi mais un effet, un méchanisme orienté pour éviter la véritable crise sous jacente avec laquelle la société capitaliste est confrontée depuis les années 1970.
Les raisons sont à chercher quand le boom de l’après guerre de la seconde guerre mondiale, de la longue période de croissance qui s’auto-finançait par les méthodes de production industrielle et leur expansion dans des secteurs nouveaux comme la construction automobile prirent fin.
La production massive de marchandises dans les années 1950 et 1960 exigeaient des augmentations massives de la puissance du travail, ainsi en position d’attirer les flux des rémunérations et des moyens de subsistance qui à leur tour permettaient de continuer à produire en masse ces marchandises.
Depuis cette période, cependant, la rationalisation répandue des fondamentaux, les secteurs de marchés orientés internationalement ont déplacés encore plus de quantité de la puissance du travail au travers de ce processus d’automation, par conséquent détruisant les bases de ce méchanisme "fordiste" et avec lui les conditions préalable pour toute tendance rénovatrice vers la prospérité dans l’économie réelle. La crise du capitalisme dans sa forme classique ouvre la voie à une crise encore plus fondamentale dans laquelle la viabilité du travail lui même est remis en question.

lire la suite
Ecrit par satya, à 11:10 dans la rubrique "Economie".

Commentaires :

  Achille-Zapata
07-12-08
à 18:17

Le lien vers l'article original

Cet article a été rédigé par le groupe Krisis. Lien vers l'article en anglais:
http://www.krisis.org/2008/crash-course
Répondre à ce commentaire

  satya
07-12-08
à 18:21

Re: Le lien vers l'article original

oui, bien sûr d'ailleurs c'est clairement mentionné dans l'article traduit, en fait sur le site de la traduction en français vous pouvez y trouver aussi bien l'original en allemand que la traduction anglaise de l'article original allemand du groupe krisis :)
aucune traduction française n'avait été faite auparavant.
Répondre à ce commentaire

  Achille-Zapata
07-12-08
à 18:29

Re: Le lien vers l'article original

Merci pour ces précisions. Je mentionnais l'article en anglais, dans la mesure où la traduction française est en fait une traduction de l'anglais, mais bien entendu, tous les articles de Krisis sont en allemand.
Répondre à ce commentaire

  satya
08-12-08
à 12:45

Re: Le lien vers l'article original

bonjour :)
de rien, je considère le site robin-woodard comme une annexe de l'endehors et toutes les références ainsi que les liens y sont bien correctement mentionnés comme il se doit.
mais je suis un peu surprise de voir que le contenu de cet article qui selon moi est important et significatif n'appelle que des commentaires de "formes".
en effet, je pense que dans ces articles, c'est une porte qui est ouverte: la porte de la démonstration de la mise à mort de la "valeur travail" et plus encore (au pire ou au mieux selon que l'on se situe et en tant qu'anars je penserais que ce serait plutôt au mieux ;)); la fin des "travailleurs".
je trouve que nous avons dans ces analyses des liens concrets et compréhensibles, logiques qui donnent de véritables arguments pour abolir vraiment le travail, intégrer et développer l'idée d'activité ainsi que les revenus universels !

il n'y a donc que  moi qui voit tout cela dans leur textes??
j'suis miro??
j'ai ni bu ni fumé, ni rien du tout pourtant :D :D
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