Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

Pour nous contacter : endehors(a)no-log.org



D'où venons-nous ?


Nos références
( archives par thèmes )


Vous pouvez nous soutenir en commandant nos brochures :

Les éditions de L'En Dehors



Index des rubriques

Les collaborateurs et collaboratrices de l'En Dehors

Liens

A noter

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

Contrats aidés, contrats-poubelle. Titularisation sans conditions de tous les précaires !
La CNT-FTE, aux côtés des employés « aidés » de l’éducation nationale depuis de nombreux mois, et aux côtés de tous les précaires, s’indigne des déclarations fantaisistes et insultantes de M. Hirsch, qui feint de ne pas savoir que le gouvernement dans lequel il sévit se nourrit et se délecte de la précarité et de la pauvreté.
M.Hirsch a en effet déclaré : « Parmi les objectifs, nous souhaitons réformer les minima sociaux et les primes diverses, donner l’accès à la formation professionnelle à ceux qui en sont le plus éloignés et faire des contrats aidés non pas des impasses, mais des passerelles vers l’emploi durable. »
C’est parmi les travailleurs paupérisés et précarisés dans leur ensemble que le gouvernement cherche à insérer les plus démunis.
Le gouvernement, le Medef, le patronat ne souhaitent pas la réforme, mais la contre-réforme. Nous savons ce qu’ils entendent par « réformer les minima sociaux ». Ils seront satisfaits lorsque nous serons tous précaires, comme le souhaite Mme Parisot, lorsqu’ils pourront à loisir piocher dans un vivier de travailleurs pauvres éternellement interchangeables.
Nous rappelons que dans l’éducation nationale, les dizaines de milliers de personnes en CAE et CAV embauchés dans le cadre du plan de cohésion sociale de M. Borloo ont servi à truquer les chiffres du chômage en période d’élections, que dans de nombreuses académies, ils n’ont pas reçu les formations promises et qu’ils ont su se rendre indispensables en apprenant seuls et sur le tas, qu’ils doivent se battre pour percevoir les primes qui leur sont dues, et que nombre d’entre eux seront renvoyés aux minima sociaux à partir de juillet 2008.
Nous n’avons pas besoin d’un Grenelle de l’insertion. Nous voulons la titularisation de nos collègues précaires, immédiatement et sans condition.
Ecrit par libertad, à 21:31 dans la rubrique "Social".
Commenter...

Article précédent -- Article suivant



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom