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Lu sur : Indymedia Lille « Depuis 2 semaines a paris sur ordre du préfet de paris les milices villepistes s’en prennent systématiquement aux concerts dans les lieux non marchands bars , cafés , squatts et petites salles particuliérement dans les quartiers de l’est paris comme nous l’on prouvé de nombreux et récents témoignages paris sur nombres de nos forum comme sur indy média paris.
comme a rennes avec les ratonades policiéres des Jeudi soir c’est la une volonté délibérée de la prefecture de paris de vouloir nous faire taire et de vouloir " nous faire marcher au pas "
Cette fois ci ils s’en prennent au vignolles et a son local
Source
http://paris.indymedia.org/article_propose.php3?id_article=32428
Intervention policière au local de la CNT :
Ce soir un concert se déroulait au siège de la CNT, 33 rue des Vignoles, à Paris 20e. Trois groupes antifascistes (Brixton Cats, Brigada Flores Magon et les Catalans de Opcio 95) ont joué devant un public conquis. Malheureusement vers 22h la police est intervenue violemment.
L’INTIMIDATION REPREND, NOUS NE CEDERONS PAS
Et liberté sans condition pour notre camarade interpellée
Jimmy Gladiator
Ce soir un concert se déroulait au siège de la CNT, 33 rue des Vignoles, à Paris 20e. Trois groupes antifascistes (Brixton Cats, Brigada Flores Magon et les Catalans de Opcio 95) ont joué devant un public conquis. Malheureusement vers 22h la police est intervenue violemment, essayant de rentrer de force dans l’impasse. La police a donné des coups de matraques, de tonfas et ont gazé (gaz lacrymogènes et gel au poivre) les gens qui se trouvaient là. L’air a été saturé de gaz durant des dizaines de minutes. De nombreuses personnes se sont trouvées mal, intoxiquées par les lacrymogènes (dont de nombreux mineurs). Les policiers (casqués, avec boucliers et matraques) ont entamé un face à face devant l’entrée des Vignoles. Grâce aux militants de la CNT présents, les policiers n’ont pas pu investir l’impasse et ont décidé de quitter les lieux.
Le concert a pu se terminer dans le calme. Cette intervention policière s’intègre à une politique de la préfecture en ce qui concerne les petits concerts qui se développent dans les petits bars populaires et les lieux associatifs et de création. En effet, depuis près de deux semaines, les interventions policières se sont multipliées contre les concerts non marchands dans les quartiers de Paris.
Pour justifier leur intervention de ce soir aux Vignoles, les policiers ont pris le prétexte de l’interpellation d’une jeune fille qui les aurait insultés. Nous n’avons pas de nouvelles d’elle pour l’instant. Un des avocats de la CNT a été prévenu.
Contre la répression policière et pour le droit de sortir le soir !
Jimmy Gladiator
Le 13/02/2005 à 01h42
a vous de relayer ce message le plus largement possible
Autres témoignages de gens de l’est parisien
Les villepistes ne nous aiment pas on le savait mais en plus ils detestent nos musiques surtout quand celles ci ne sortent pas de salles pompes a fric ou des sphéres de la musique formatée et marchandisée
Deux témoignages
Violence les milices villepistes descendent au café de la plage
Hier soir, petit concert au café de la plage, rue de Charonne. deux groupes Punks étaient prévus :Propaganda por el Hecho (Chili) et Terror y Miseria (Argentine). L’un des groupe avait annulé. Le concert n’avait pas commencé et une vingtaine de personnes sympathiques se massaient devant le comptoir du bar, pinte à la main.
Mais v’la t’y pas une descente de police qui vient enquiquiner tout ces joyeux olibrius et qui prend les papelars de tous le monde. Nous on dit en rigolant "ça va, y’a pas d’mineur ? vous avez finit ?" ben non, ils n’avaient pas finit ! ils nous ont demandé d’éteindre nos clopes et ont rammené les chiens ! Moi, j’allucine ! N’importe quoi. Alors j’ai chantonnée la java des bons enfants, mais ils n’ont pas réagit, je crois qu’ils n’avaient pas la référence, les incultes. (dans la rue des bons enfants, viande à vendre aux plus offrants, y’avait un commissariat et maintenant il n’est... plus là ) comme ils laissaient les gens aller aux toilettes, ils n’ont rien trouvé, les gros malins ! ils étaient déçus. (mais vraiment, fallait voir leur petites têtes dépitées, ho zut )
Un type un peu bruyant attirait particulièrement leur attention et 4 flics restaient à coté de sa table. Mon ami ayant fait quelques commentaire à voix haute, les voila qui forment un joli éventail autour de lui. j’me suis dit que ça valait bien une photos, alors j’ai sortis mon appareil, ça n’a pas plu du tout aux agents qui m’ont menacé : "si j’étais toi, je rentrerais ça tout de suite" Arguant que j’ai quand même bien le droit de prendre une photo, ils me parlent de leur droit à l’image ! haha ! En voilà qui se souviennent du droit quand ça les arrange ! De toute façon, il me semble bien que ça ne concerne pas les policiers en uniforme (quelqu’un peut confirmer ) car ils représentent une fonction, et non une personne, et ouaip ! mais bon, ma photo a raté car ils se sont enfin poussé de notre table et de celle de ce sympathique "type un peu bruyant". Comme du coup, ils étaient derrière moi, on a recommencé pour qu’ils s’éloignent encore un peu, c’était amusant, je ne savait pas que mon numérique était un "chasse flicaille" ! Mais les journaleux ne le disent-ils pas ? LA PHOTO EST UNE ARME Bon, avec tout ça, le concert à été annulé, et pendant une heure, on a été coincé, et on pouvait même pas recommander de bières ! (c’est surtout ça qui nous a énervé ! c’est scandaleux d’être coincé dans un café et de pas pouvoir picoler) pour la peine on a réclammé une tournée générale, offerte par le préfet (le nouveaux, celui qui a décidé de sévir avec les "militants" !) Mais, ça n’a pas marché du tout, snif. Quand on nous a annoncé que le bar allait fermé (il était 22h15) on s’est levé pour partir, (logique, non ?) ben voila-t-y pas qu’on a tous été fouillés et palpés ! On leur a conseillé d’aller au Flore, la prochaine fois, mais ils ne connaissaient pas ce haut lieu culturel de st Germain des prés, les incultes ! bon après avoir sortis mes tampax de mes poches, etc... (qui étaient le plus génés ? hum ?) on s’est cassés, un brin énervés.
Il semble que ces temps ci, la flicaille se croit tout permis : vendredi des copines ont eu le même genre d’histoire dans un café de ménilmontant. et la dernière vélorution s’est mal passée à cause des flics, et du nouveau préfet... va y avoir la révolution, si ça continue...
Qui sème le vent, récolte la tempête
Deuxiéme témoignage sur menilmontant maintenant
A la lecture de la contribution http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=32213
Je n’ai pas pu m’empecher de faire le rapprochement avec une autre affaire dont on m’a causé... Je vous laisse lire ce temoignage assez affligeant !
Les evenements se sont déroulés le vendredi 4 fevrier Au Petit Balcon dans le 20em alors qu’avait lieu un concert...
"L’histoire, c’est que la police nationale a débarqué. Ils devaient être une bonne vingtaine, ce qui, tu t’en doutes, était parfaitement justifié, rapport aux 1500 personnes qu’étaient agglutinés dans ce sympathique bar de quartier. Quelques coups de matraque, notre set stoppé à la 5ème chanson (répondant au doux nom de "Le Petit Nicolas", faut croire qu’ils ont reconnu le nom de leur père spirituel). C’est donc le jus coupé que nous avons entonné a capella quelques chants révolutionnaires. Ils n’ont pas trop osé rentrer dans la cave, trop de camescopes...Ils ont d’ailleurs visualisé les cassettes, manière, on sait jamais... En résumé, un concert interrompu par la police, sans qu’il n’y ait eu aucune plainte. Ils ont simplement constaté 2/3 mineurs qui buvaient des bières. Fouilles, lampes de poche dans la gueule, et zou, une insulte envers les flics, et voilà, ils avaient ce qu’ils voulaient. Je me plaignais de la situation à Toulouse, faut croire cette bonne vieille chanson des 100% Collègues : Dites moi les amis, qu’est-ce que je vais faire à Paris, c’est meilleur dans mon pays, je vous le jure. »
Commentaires :
Anonym3 |
rv 18 hRV aujourd'hui 18 h, au 6 rue des Orteaux dans le Paris 20 eme (c'est devant le comissariat) pour soutenir la jeune femme interpellée. Répondre à ce commentaire
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à 16:48