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« Too Much Pussy! Feminists Sluts, a queer X show »: Interview croisée d’Emilie Jouvet et Wendy Delorme
Lu sur Yagg : "Attention, coup de cœur! J’avais mis un siècle à voir One Night Stand, le premier porno lesbien français, réalisé par Emilie Jouvet, parce que le porno, ce n’est pas mon truc (j’assume, je ne dis pas que le porno c’est mal, juste que je m’ennuie), et j’avais bien aimé, mais sans plus. Le travail photographique d’Emilie Jouvet me touche en revanche beaucoup, son discours m’intéresse aussi vraiment, et j’avais donc vraiment hâte de voir Too Much Pussy! Feminists Sluts, a queer X show,film documentaire sur la tournée du Queer X Show, dont Emilie parlait sur Yagg en juillet dernier, avec Judy Minx, Wendy Delorme, Mad Kate, Madison Young, Sadie Lune, DJ Metzgerei (bande-annonce). Pour la faire courte, j’ai adoré.

À quelques jours de la première parisienne, qui aura lieu le 2 juin au cinéma l’Archipel, en présence de l’équipe du film, Emilie Jouvet et Wendy Delorme, actrice et coproductrice du film, se sont prêtées au jeu de l’interview croisée.

D’où est venue l’idée du road-movie?
Emilie
: J’aime, j’adore cette idée du road-movie. Le road-movie, c’est fuir le quotidien, la routine et les règles, et partir en quête de découvertes. Découverte des autres, mais aussi de soi. Sur la route, demain est un autre jour, tous les jours. C’est très excitant. Les journées sont sublimes ou dures, les horaires du jour et de la nuit sont explosés, la rencontre avec les événements nous transforme, et les dénouements espérés sont incertains.

Wendy
: Le road-movie était une idée en latence dans notre cercles d’amies, et qu’on a décidé de réaliser ensemble. Durant l’été 2008, Emilie était en tournage à Berlin pendant que j’y étais en tournée, entre l’orga du tournage et les spectacles de rue d’un festival et les soirées lesbiennes, c’était une semaine effervescente. On s’est dit qu’il fallait faire la même chose à plus grande échelle. Finalement, ce sont les aventures de sept filles à travers cinq pays européens, durant l’été 2009. L’idée était de montrer des femmes voyageant, créant et travaillant ensemble dans l’autoproduction, sans censure, avec toute la liberté mais aussi l’acharnement que ça suppose. Et la dimension internationale d’un réseau de femmes indépendantes et créatives, inspirées du féminisme sex positif d’Annie Sprinkle, Carol Queen, et consœurs. D’où l’idée du voyage et de la tournée avec des filles de différents pays.

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Ecrit par libertad, à 23:40 dans la rubrique "Le privé est politique".



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