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Quartiers libres : "Un matin comme les autres dans l’État d’urgence françoishollandiste.
Hier 317 personnes convaincues du crime contre l’État de manifestation
interdite ont été embarquées par les glorieux bataillons des forces de
l’ordre, qui font un travail remarquable : le danger, c’est l’hydre
anarcho-autonome des « divers groupes anarchistes », « des militants
d’extrême gauche, écolos, anarchistes et libertaires (sic) », pour
reprendre les gazettes préférées de la préfecture de Police de Paris,
également connues sous le nom de Libération ou Le Figaro
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