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Sons en lutte : "Devant le désengagement le l’État à Caen, comme à Toulouse,
Clermont-Ferrand, Bordeaux, Nantes, les premiers concernés avec des
militants se mobilisent pour réquisitionner des logements libres. Les
centres d’hébergements d’urgence via le 115 ferment laissant des
familles ( légalement prisent en charge par l’État) à la rue. Malgré les
difficultés ; braver le légalisme, avec qui s’associer et sur quelles
bases, mettre en place une organisation horizontale, la barrière de la
langue.. Le collectif 14 de Caen continue, après une première expulsion
et l’ouverture d’un nouveau lieu, de lutter pour le respect des droits
des étrangers.
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