Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

Pour nous contacter : endehors(a)no-log.org



D'où venons-nous ?


Nos références
( archives par thèmes )


Vous pouvez nous soutenir en commandant nos brochures :

Les éditions de L'En Dehors



Index des rubriques

Les collaborateurs et collaboratrices de l'En Dehors

Liens

A noter

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

Quelques définitions : végétarisme, végétalisme, véganisme
Lu sur AVEA : "Le végétarisme exclut la chair des animaux, qu'ils soient terrestres ou marins, ainsi que les sous-produits de l'abattage.On peut distinguer le lacto-ovo-végétarisme, qui comprend donc les produits laitiers et les œufs, du lacto-végétarisme qui ne comporte pas d'oeufs, ou encore de l'ovo-végétarisme qui, à l'inverse, comprend les œufs mais exclut les produits laitiers. On entend souvent dire que les végétariens mangent du jambon, d'autres charcuteries, ou encore de la viande blanche. Est-il besoin de rappeler que le cochon et la volaille font partie du règne animal au même titre que les autres animaux.

De plus, dans la culture occidentale, la chair des poissons a rarement été répertoriée dans la catégorie « viande », faussant ainsi notre rapport aux souffrances de ces derniers. Dans l'ensemble de ces pratiques particulières, incompatibles avec la définition du végétarisme, on parle alors de «semi-végétarisme».

Le végétalisme pousse plus loin le refus de l'exploitation animale. Comme c'est le cas pour le végétarisme, il exclut la chair des animaux, mais il rejette également les dérivés tels que les œufs et les produits laitiers.

Pour ce qui est du végétalisme complété par le boycott de produits autres qu'alimentaires (laine, cuir, fourrure, cosmétiques testés sur les animaux, etc.), on rencontre de plus en plus le mot véganisme emprunté au vocabulaire anglo-saxon.

Cette attitude reste un idéal qui peut paraître inaccessible. Sa radicalité peut effrayer et est moins symbolique que l'arrêt simple de la consommation de viande. Cependant, il reste le mode de vie le plus cohérent avec la volonté de freiner l'exploitation des animaux.





A NE PAS CONFONDRE



Enfin, il ne faut pas confondre le végétarisme avec certains régimes alimentaires qui, bien qu'ayant une certaine coloration végétarienne, sont fort éloignés de la définition que nous en proposons.

La macrobiotique qui s'appuie sur le principe du yin et du yang. Ce système se compose de dix façons de se nourrir classées en niveaux. Certains de ces niveaux ne sont pas végétariens, d'autres sont végétaliens et excluent parfois les salades, crudités, fruits, etc. De plus, un macrobiote peut naviguer entre les différents niveaux.

Le crudivorisme, comme son nom l'indique, implique la consommation d'aliments non cuits mais ne rejette pas nécessairement les produits animaux.

L'instinctothérapie, qui consiste à se « laisser guider par son instinct » en matière alimentaire, vu que lui seul est sensé nous indiquer ce qui est bon pour notre santé. La chair des animaux et les sous-produits de l' abattage ne sont pas écartés de cette recherche.
Ecrit par libertad, à 23:07 dans la rubrique "Le privé est politique".



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom