Lu sur
le Monde diplomatique : "Quelles étaient les motivations de M. Jérôme Kerviel, trader subalterne et apparemment sans histoire, qui perpétra néanmoins la fraude la plus importante de l’histoire de la finance ? La presse semble avoir retenu qu’« il espérait apparaître comme un trader d’exception, un anticipateur du marché » selon les propos du procureur de la République, M. Jean-Claude Marin, et qu’il ne recherchait pas l’enrichissement personnel. Pour reprendre la formule de M. Daniel Bouton, alors patron de la Société générale, celui qu’il qualifia par ailleurs d’« escroc », de « fraudeur » et de « terroriste » « ne semble pas avoir bénéficié à titre personnel de ces fraudes ».
Lire la suite
ici