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le blog de Jean-Christophe Marti : "Bref rappel au-dessus du maelström : Marcela Iacub, depuis ses premières
publications il y a environ 10 ans, est une intellectuelle des plus
intéressantes dont les travaux, pour résumer, traitent des rapports
entre le corps et le droit, dans la lignée de Michel Foucault. Mais
plutôt que de ressasser dévotement cet héritage, elle ne cesse de
problématiser de manière très argumentée, souvent virtuose et
amusante — à la manière anglo-saxonne, ce qui rajoute à
l'incompréhension rencontrée en France où l'on a peu lu ses ouvrages de
fond — les questions du bio-pouvoir, avec l'interventionnisme croissant
du juridique dans la définition, la répression, le contrôle de ce qu'est
un corps —vivant, sexuel, mort, fœtal, animal, humain, anonyme, personnel, prostitué, violé, etc.
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iciPour mémoire on pourra relire un article publié le 10 avril 2003 sur l'En Dehors :
Marcella IACUB et le féminisme libertaire