Joueb.com
Envie de créer un weblog ? |
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web. |
Nathalie s’est faite la porte-parole de ses camarades.
Devant les provocations d’une surveillante connue pour son comportement agressif et méprisant, Nathalie aurait bousculé celle-ci, légèrement selon les témoignages
La surveillante s’est laissé tomber. Elle a depuis déposé une plainte contre Nathalie.
Cherche-t-elle ainsi à obtenir une prime de Noël sous forme de dommages et intérêts ?
Après cette plainte, la police est venue « enquêter » à la prison.
Cet épisode n’est pas fortuit.
C’est un nouvel exemple de l’acharnement de l’Administration pénitentiaire contre Nathalie Ménigon.
Après la censure politique du courrier, les restrictions de correspondance, les refus systématiques d’attribution de nouveaux parloirs (cf. notre communiqué ci-joint), cherche-t-on à justifier de futurs refus de libération conditionnelle ou de suspension de peine ?
Aujourd’hui, après 19 ans de détention, Nathalie risque 45 jours de mitard, renouvelables, plus une procédure judiciaire qui arrangerait bien l’Administration pénitentiaire et la Chancellerie.
Prendra-t-il seul, en la mettant au mitard, en toute connaissance de la gravité de son état de santé, la responsabilité d’un nouvel accident vasculaire cérébral et de ses conséquences ?
L’appel que nous avions lancé à manifester jeudi 5 janvier devant le siège de l’Administration pénitentiaire est plus que jamais d’actualité et n’en prend que plus d’importance.
Collectif « Ne laissons pas faire ! » Le 31 décembre 2005
Lire également : Nathalie Ménigon : Le voyeurisme en otage
Publié le 31 décembre 2005 par torpedoCommentaires :
patrick83 |
JE m'associe au mouvement exigeant la libération immédiate et sans condition des militant(e)s d'Action Directe emprisonné(e)s: Nathalie Ménigon, Georges Cipriani, Jean-Marc Rouillan et Régis Schleicher. patrick83 FA pour info: RASSEMBLEMENT DE PROTESTATION, JEUDI 5 JANVIER 2006, Malgré son état de santé et la fin de la peine de prison dite de « sûreté », après plus de 18 ans d'incarcération, Nathalie Ménigon, militante d'Action directe, continue à subir des conditions de détention intolérables. Son état de santé précaire, suite à deux accidents vasculaires cérébraux, est bien connu de la Chancellerie, de la direction de l'Administration pénitentiaire et des experts médicaux. Malgré cela, elle n'a droit à aucun soin sérieux, par contre elle subit les brimades et les violences administratives. En un an, sept demandes de parloir déposées pour Nathalie ont été refusées ou ignorées. Ainsi une demande effectuée en août 2005 est à ce jour, cinq mois après, toujours sans réponse malgré de nombreuses relances. Nathalie est maintenue dans un isolement de fait : elle ne reçoit aujourd'hui de visites mensuelles que de trois personnes. La direction du CD de Bapaume exerce une censure politique discriminatoire : Nathalie n'a droit qu'à deux communications téléphoniques par mois, alors que par exemple les détenus hommes de Bapaume peuvent téléphoner tous les jours. Nous demandons que toutes les demandes de visite à Nathalie soient accordées dans de brefs délais. Fin des brimades et des discriminations, suivi médical réel ! Solidarité avec Nathalie et ses camarades pour leur libération ! Toutes et tous le jeudi 5 janvier 2006 à 18h00 devant la direction de l'Administration pénitentiaire (carrefour rue de la Verrerie-rue du Renard, métro Hôtel-de-Ville) Collectif « Ne laissons pas faire ! » Le 30 décembre 2005 --------------------- Collectif Nlpf ! http://nlpf.samizdat.net nlpf@samizdat.net Abonnez-vous à notre lettre d'info : http://listes.samizdat.net/wws/subrequest/nlpf-infos Campagne internationale : http://www.action-directe.net Agence de Presse Associative : http://apa.online.free.fr Répondre à ce commentaire
|
à 23:56