Lu sur
Basta ! : "En France, il est toujours difficile de faire la lumière sur les
affaires de violences policières, même quand celles-ci provoquent la
mort. Dans plus d’un homicide sur deux, la Justice n’a tout simplement
pas été saisie ou les poursuites sont abandonnées sans conclusion
claire. La mort d’un militant antinucléaire, à Creys-Malville, en 1977,
s’était d’ailleurs conclue par un non-lieu. Les suites qui seront
données au décès de Rémi Fraisse, le jeune militant écologiste tué dans
le Tarn par l’explosion d’une grenade, feront-elles exception ?
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