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Avec sa politique belliciste, le cartel Bush a réussi en 4 ans à tripler le cours du pétrole. De plus, les carburants fossiles posent de graves problèmes écologiques :
l’extraction et l’acheminement d’un litre de pétrole coûte, en énergie, 1.1 litre de pétrole !
les ressources fossiles ne sont pas renouvelables : en les brûlant bêtement, "on" dilapide le capital des générations futures.
la combustion de carburants fossiles rejette dans l’atmosphère des gaz toxiques : oxydes de carbone, oxydes d’azote (surtout avec l’essence et le gaz), fines particules (surtout avec d’anciens moteurs diesels fonctionnants au gasoil, sans filtre à particules, dans les villes surpeuplées), ...
L’usage des carburants fossiles (pétrole et gaz) pose également de nombreux problèmes politiques :
dépendance vis-à-vis d’états où les droits de l’homme ne sont pas respectés (monarchies du golfe persique, états-unis, Russie, Iran, Myanmar (ex-Birmanie), ...)
domination mondiale par des multinationales criminelles liées au "complexe militaro-industriel" qui financent et cautionnent les violations des droits de l’homme et de la démocratie un peu partout, pillent les ressources des pays pauvres, entretiennent les guerres et la corruption, et cetera.
L’usage de combustibles fossiles n’est pas la seule solution possible : les biocarburants peuvent les remplacer avantageusement !
Différentes filières de biocarburants existent, plus ou moins efficaces, plus ou moins écologiques, plus ou moins citoyennes. Parmis ceux-ci, les les huiles végétales obtenues à partir de tournesol, de colza, de chanvre, d’arachide sont de loin les plus écologiques : peu polluants, ils peuvent s’utiliser mélangés au gasoil dans la plupart des véhicules actuels sans aucune transformation, ou pures avec un kit de bicarburation.
Les membres du Comité scientifique de l’INSTITUT FRANÇAIS DES HUILES VEGETALES PURES sont convaincus :
Note : l’essence traditionnelle et le gaz présentent des bilans écologiques nettement pires que le gasoil[6] : ils ne figurent donc pas dans ce tableau.
Conclusion : les seuls obstacles à l’émergence de cette filière résident dans l’emprise des lobbies pétroliers sur nos économies locales, nationales & européennes. L’IFHVP se donne mission d’informer les décideurs et le grand public sur ces constats.
« L’usage des huiles végétales comme carburant automobile est aujourd’hui insignifiant. Mais à l’avenir, ces huiles pourraient devenir aussi importantes que le pétrole ou le charbon aujourd’hui » (Rudolf Diesel, 1912).
Aujourd’hui, les meilleurs biocarburants possibles sont les huiles végétales pures. Les seuls freins à leur développement sont le lobby pétrolier et les gouvernements réactionnaires.
D’ores et déjà, beaucoup de citoyens ont décidés de passer à l’huile. C’est économique, et c’est écologique ! Est-ce légal ? Selon la loi européenne, oui. Selon la loi française, pas encore : notre gouvernement réactionnaire préfère faire chier les paysans et les écolos qui se préoccupent de l’environnement que de s’attaquer aux profits indécents et aux atteintes aux droits de l’homme perpétrés par les multinationales du pétrole comme ELF ou Total !!!
Cet article est un résumé d’un dossier complet publié par revoltes.free.fr. Le dossier complet comprend d’autres informations et des liens utiles, parmis lesquels les secrets de l’Opération Tournesol
Minga "Parce que le vrai courage est de faire ce qui est juste]
Notes : [1] QEN : Quotient Energétique Net ou coefficient de performance énergétique. C’est le rapport de l’énergie produite sur l’énergie consommée. Ainsi l’HVP multiplie par 6,25 l’énergie utilisée.
[2] Investissement en € : c’est un ordre de grandeur des capitaux minimums nécessaires pour mettre en œuvre la filière de production. Ces investissements ne génèrent pas les mêmes quantités d’énergie. La filière HVP est accessible à tous. C’est la multiplication de ces unités de production artisanales locales qui génère une production équivalente aux autres filières.
[3] nombre d’installations potentielles ou actuelles en France : c’est un problème d’aménagement du territoire qui doit prendre en compte la désertification rurale et la problématique des transports des matières pondéreuses.
[4] Effet de serre : réduction des émissions de CO2 non renouvelable. L’Huile Végétale Pure étant pris pour unité de mesure de cette réduction, l’ester fait 50 % moins bien que l’huile d’où il provient, l’alcool 80 % de moins du fait de la grande quantité de CO2 produite lors de la fermentation alcoolique. Quant au gasoil il produit autant de gaz à effet de serre que l’huile en supprime par les puits de carbone intrinsèques à la filière.
[5] Distances de transport des matières pondéreuses en km : la filière que nous préconisons est à circuit court ; l’effet d’échelle de la filière est obtenu par la multiplication des unités au niveau de chaque canton. Les distances mentionnées sont les rayons de la zone d’approvisionnement et de distribution.
[6] Contrairement à une idée reçue, le gasoil est le "meilleur", ou plutôt le moins mauvais des carburants fossiles : il produit nettement moins de gaz à effet de serre que l’essence et le gaz, et il gaspille moins les ressources en raison du meilleur rendement énergétique du moteur diesel. Il pose néanmoins un sérieux problème de santé publique dans les villes surpeuplées : les moteurs diesels alimentés au gasoil rejettent des fines particules cancérigènes. La meilleure solution à ce problème serait de développer massivement le télétravail, et d’arrêter de construire des villes inhumaines ... A défaut, les filtres à particules sont une bonne solution, et l’usage d’huile végétale pure LA solution, radicalement efficace même avec les vieux diesels.
De : Minga
mardi 22 août 2006
Avec sa politique belliciste, le cartel Bush a réussi en 4 ans à tripler le cours du pétrole. De plus, les carburants fossiles posent de graves problèmes écologiques :
l’extraction et l’acheminement d’un litre de pétrole coûte, en énergie, 1.1 litre de pétrole !
les ressources fossiles ne sont pas renouvelables : en les brûlant bêtement, "on" dilapide le capital des générations futures.
la combustion de carburants fossiles rejette dans l’atmosphère des gaz toxiques : oxydes de carbone, oxydes d’azote (surtout avec l’essence et le gaz), fines particules (surtout avec d’anciens moteurs diesels fonctionnants au gasoil, sans filtre à particules, dans les villes surpeuplées), ...
L’usage des carburants fossiles (pétrole et gaz) pose également de nombreux problèmes politiques :
dépendance vis-à-vis d’états où les droits de l’homme ne sont pas respectés (monarchies du golfe persique, états-unis, Russie, Iran, Myanmar (ex-Birmanie), ...)
domination mondiale par des multinationales criminelles liées au "complexe militaro-industriel" qui financent et cautionnent les violations des droits de l’homme et de la démocratie un peu partout, pillent les ressources des pays pauvres, entretiennent les guerres et la corruption, et cetera.
L’usage de combustibles fossiles n’est pas la seule solution possible : les biocarburants peuvent les remplacer avantageusement !
Différentes filières de biocarburants existent, plus ou moins efficaces, plus ou moins écologiques, plus ou moins citoyennes. Parmis ceux-ci, les les huiles végétales obtenues à partir de tournesol, de colza, de chanvre, d’arachide sont de loin les plus écologiques : peu polluants, ils peuvent s’utiliser mélangés au gasoil dans la plupart des véhicules actuels sans aucune transformation, ou pures avec un kit de bicarburation.
Les membres du Comité scientifique de l’INSTITUT FRANÇAIS DES HUILES VEGETALES PURES sont convaincus :
Note : l’essence traditionnelle et le gaz présentent des bilans écologiques nettement pires que le gasoil[6] : ils ne figurent donc pas dans ce tableau.
Conclusion : les seuls obstacles à l’émergence de cette filière résident dans l’emprise des lobbies pétroliers sur nos économies locales, nationales & européennes. L’IFHVP se donne mission d’informer les décideurs et le grand public sur ces constats.
« L’usage des huiles végétales comme carburant automobile est aujourd’hui insignifiant. Mais à l’avenir, ces huiles pourraient devenir aussi importantes que le pétrole ou le charbon aujourd’hui » (Rudolf Diesel, 1912).
Aujourd’hui, les meilleurs biocarburants possibles sont les huiles végétales pures. Les seuls freins à leur développement sont le lobby pétrolier et les gouvernements réactionnaires.
D’ores et déjà, beaucoup de citoyens ont décidés de passer à l’huile. C’est économique, et c’est écologique ! Est-ce légal ? Selon la loi européenne, oui. Selon la loi française, pas encore : notre gouvernement réactionnaire préfère faire chier les paysans et les écolos qui se préoccupent de l’environnement que de s’attaquer aux profits indécents et aux atteintes aux droits de l’homme perpétrés par les multinationales du pétrole comme ELF ou Total !!!
Cet article est un résumé d’un dossier complet publié par revoltes.free.fr. Le dossier complet comprend d’autres informations et des liens utiles, parmis lesquels les secrets de l’Opération Tournesol
Minga "Parce que le vrai courage est de faire ce qui est juste]
Notes : [1] QEN : Quotient Energétique Net ou coefficient de performance énergétique. C’est le rapport de l’énergie produite sur l’énergie consommée. Ainsi l’HVP multiplie par 6,25 l’énergie utilisée.
[2] Investissement en € : c’est un ordre de grandeur des capitaux minimums nécessaires pour mettre en œuvre la filière de production. Ces investissements ne génèrent pas les mêmes quantités d’énergie. La filière HVP est accessible à tous. C’est la multiplication de ces unités de production artisanales locales qui génère une production équivalente aux autres filières.
[3] nombre d’installations potentielles ou actuelles en France : c’est un problème d’aménagement du territoire qui doit prendre en compte la désertification rurale et la problématique des transports des matières pondéreuses.
[4] Effet de serre : réduction des émissions de CO2 non renouvelable. L’Huile Végétale Pure étant pris pour unité de mesure de cette réduction, l’ester fait 50 % moins bien que l’huile d’où il provient, l’alcool 80 % de moins du fait de la grande quantité de CO2 produite lors de la fermentation alcoolique. Quant au gasoil il produit autant de gaz à effet de serre que l’huile en supprime par les puits de carbone intrinsèques à la filière.
[5] Distances de transport des matières pondéreuses en km : la filière que nous préconisons est à circuit court ; l’effet d’échelle de la filière est obtenu par la multiplication des unités au niveau de chaque canton. Les distances mentionnées sont les rayons de la zone d’approvisionnement et de distribution.
[6] Contrairement à une idée reçue, le gasoil est le "meilleur", ou plutôt le moins mauvais des carburants fossiles : il produit nettement moins de gaz à effet de serre que l’essence et le gaz, et il gaspille moins les ressources en raison du meilleur rendement énergétique du moteur diesel. Il pose néanmoins un sérieux problème de santé publique dans les villes surpeuplées : les moteurs diesels alimentés au gasoil rejettent des fines particules cancérigènes. La meilleure solution à ce problème serait de développer massivement le télétravail, et d’arrêter de construire des villes inhumaines ... A défaut, les filtres à particules sont une bonne solution, et l’usage d’huile végétale pure LA solution, radicalement efficace même avec les vieux diesels.
Commentaires :
Anonyme |
Des biocarburants, pour quoi faire ?Un pays, un monde peuplé de nombreuses unités de production de biocarburant...Charmant...! Quelles soient petites et multiples sur le territoire ou concentrées entre les mains de multinationales je pense que je préfère largement qu'on apprenne peu à peu à pouvoir se passer de carburant, à changer nos rapport avec les déplacements, ... pourquoi le tout mécanique ? Peut être voulons nous tout et tout de suite alors nous nous battons pour conserver ce mode de vie. Il y aura toujours une alternative au petrole, les biocarburants, l'eau (et oui), l'energie atomique, ...ne substituons plus, cessons de nous déplacer autant.
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satya 23-08-06
à 01:32 |
Re: Des biocarburants, pour quoi faire ?oui en effet, d'autant plus qu'il a été également calculé que si l'on voulait fournir tous les véhicules en france, c'est pratiquement la totalité du sol qui devrait être cultivé uniquement pour cela, ça signifierait donc un abandon de notre souveraineté alimentaire (qui est d'ailleurs déjà largement remise en cause) et une acceptation de dépendance totale pour nous nourrir d'un ou d'autres pays...
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lou 24-08-06
à 16:02 |
Re: Re: Des biocarburants, pour quoi faire ?Ah,ah! et bien je vous souhaite bon courage! Surtout en France! Si au moins, on pouvait utiliser les transports publics pour se déplacer... mais en France, transport en commun rime avec Paris ou presque! Le reste du pays (et il est grand le reste!), utilisez vos voitures! Vous n'avez pas de véhicules, vous ne pouvez plus vous deplacer ou vous habitez un bled paume genre Flaigne-les -Oliviers? pas de problèmes, le laitier, boucher, boulanger, ... vient à vous... en voiture!!! Avant de vouloir limter les déplacements (dans notre société, entre chômage et consommation, la tâche est ardue!), ne faudrait-il pas commencer par offrir un bon reseau de transports en commun, avec, pourquoi pas, des trains utilisants des biocarburants? Quant à la "souveraineté alimentaire", c est un gag! a l echelle europeenne meme, elle quasi nulle! Répondre à ce commentaire
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satya 24-08-06
à 16:09 |
Re: Re: Re: Des biocarburants, pour quoi faire ?en ce qui me concerne je suis d'accord avec vous.
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Anonyme 25-08-06
à 11:50 |
Re: Re: Re: Des biocarburants, pour quoi faire ?Et oui, désormais on souhaite manger de tout, et surtout ce qu'il n'est pas possible de produire facilement près de chez soi...<br />On veut manger des fruits du sud dans le nord et des produits de la mer en montagne. N'est-ce pas cela l'abbération ?<br />Quand au développement des transports en commun en milieu rural je trouve qu'il y a déjà trop de saignées ouvertes dans des zones magnifiques (j'habite en montagne) et pour faire passer des bus en trains, mêmes "écologiques". C'est un attentat à la quiétude de la nature...et je trouve qu'il y a déjà bien assez de route et de voies de chemins de fer. Par contre développer le train sur les voies existantes je suis tout à fait d'accord...Puis parler des transports en commun pour aller travailler ou autre pour ma part d'accord mais en gardant à l'esprit que ce n'est pas dans la course au développement que l'on trouvera notre compte, je serais plutot dans l'idée de travailler moins, se déplacer moins...bref à regresser un peu à ce niveau...pour moi le transport n'est pas un progrès social mais au contraire une des perversions de notre système actuel et je milite pour une regression du transport à tous les niveaux, même les transports en commun...(pour moi ce n'est pas une regression mais un progrès, il faut reconnaitre qu'on est parti dans la mauvaise direction a vouloir nous déplacer sans cesse et ne pas essayer de vivre avec ce qui nous entoure directement).<br /><br />
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Lou 27-08-06
à 13:56 |
Re: Re: Re: Re: Des biocarburants, pour quoi faire ?Eh oui, l humanite est une abberation, dans sa maniere d etre et d agir! Et meme si l espoir fait vivre, n est ce pas, nous ne changerons pas le genre humain! nous aurons toujours des comportements abberants, non?! alors au lieu de vouloir l impossible, ne faudrait il pas mieux essayer de limiter les degats? un compromis entre economie et nature, cela devrait etre possible, ou bien (j habite aussi en montagne)?!? NB : Sinon, on pourrait utiliser les grands moyens : sucide collectif des (++-) 10mia que nous sommes! Qui commence?!? ( je crois difficilement a la possibilite que les 10mia en question arrivent a vivre en autarcie, quelque soit l echelle...) ou alors il faudrait trouver un moyen de faire "regresser" les facultes du cerveau humain de sorte que seules les fonctions vitales soient opperationnelles (manger,se reproduire et ne pas se faire manger...Ok, ca ressemble un tout petit peu a la situation actuelle, avec la consommation (dans sa globalite) en moins!) Nous serions alors une espece envahissante, comme avant et comme tant d autres ramenees d un voyage exotique lors des conges payes, mais nous n en aurions plus conscience!! MAGIQUE! Répondre à ce commentaire
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à 23:11