• Au sommaire d'un des derniers numéros de « Rivarol » se trouve une campagne de soutien à des criminels néonazis.
• Le même hebdomadaire d'extrême droite français rend aussi hommage, une nouvelle fois, à un ex-SS.
• « Rivarol » prouve ainsi que l'extrême droite reste fidèle à ses origines idéologiques.
• Extraits d'un canard nauséabond.
Mal dans sa peau, l'extrême droite aime se travestir. Se présenter sous des masques « politiquement corrects ». Afin d'éviter les poursuites judiciaires, elle s'est dotée d’un vocabulaire codé servant à désigner ses multiples ennemis, réels ou fantasmés. Mais le naturel revient toujours au galop. Pour s'en rendre compte, il suffit de se pencher sur les colonnes de sa presse confidentielle, bien loin de ses tracts « grand public ».
Nous avons ainsi consulté l'un des derniers numéros de « Rivarol », un opuscule « fascistoïde » parmi d'autres, nourrissant les obsessions des « hommes de race blanche » paniqués par la perspective de perdre une mythique Europe ancestrale.
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RésistanceS