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Lu sur Survival : "Le film ‘Mine : story of a sacred mountain’ (Mine : histoire d'une montage sacrée) sera lancé demain au Royaume-Uni par l'organisation de défense des droits des peuples indigènes Survival International. Il retrace le destin tragique de la tribu dongria kondh et sa lutte pour empêcher une mine à ciel ouvert de détruire ses terres et son mode de vie.
La compagnie Vedanta Resources projette d’installer une vaste mine à ciel ouvert sur l’une des montagnes de Niyamgiri
dans l'Etat d'Orissa en Inde pour y extraire la bauxite. La mine
détruira les forêts des 8 000 Dongria Kondh qui en dépendent
étroitement. Ils vénèrent cette montagne comme un dieu vivant et sont
déterminés à empêcher qu’elle se transforme en décharge industrielle.
Plusieurs chargés de campagne de Survival International se sont
récemment rendus chez les Dongria Kondh. ‘Les Dongria tirent tout ce
dont ils ont besoin pour leur subsistance de ces collines et de leurs
cours d'eau’, témoignent-ils. ‘Tous les gens que nous avons rencontrés
disent la même chose : Vedanta ne peut pas nous ôter notre montagne
sacrée, nous ne les laisserons pas la détruire.’
Le film dont la narratrice est Joanna Lumley, la célèbre actrice
anglaise des séries "Absolutely Fabulous" et "Chapeau melon et bottes
de cuir", sera diffusé en avant-première à la Chambre des Communes de
Londres, mercredi 1er avril.
Stephen Corry, directeur de Survival International, a déclaré
aujourd'hui : ‘Pour la survie des Dongria Kondh, Vedanta doit renoncer
à son projet d'exploitation minière sur les collines de Niyamgiri. Il
sera extrêmement dévastateur et fait déjà l’objet d’une forte
opposition. Les actionnaires de Vedanta doivent prendre conscience que
leur argent servira à la destruction des Dongria Kondh."
Le film sera prochainement diffusé en français
Commentaires :
dadane |
Sur le site de survivalfrance on explique très bien la situation, et il y a un modèle de lettre de protestation contre ce projet. J'encourage donc tout le monde à adresser cette lettre aux autorités indiennes, même si je me doute un peu de l'issue de ces appels. Répondre à ce commentaire
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à 17:11