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Libération : «Aujourd’hui, on parle peu de la situation des migrants, sauf quand il y a un fait-divers exceptionnel, comme celui de la semaine dernière [une étudiante en journalisme a été violée dans un camp, ndlr]. Je suis allée à un congrès récemment, on a montré des photos de ce qui se passe à Calais, les gens n’en revenaient pas. Ils croyaient que ça n’existait plus.» Nadine et les bénévoles de l’association Belle Etoile, qui vient en aide aux réfugiés à Calais, sont «fatigués. On travaille dans l’urgence. Ça dure et on commence à s’essouffler.»
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