Lu sur
Myeurop : "Une société à deux vitesses. Pour renforcer sa compétitivité et
exporter, l'Allemagne à libéralisé son marché du travail et précipité
une part croissante des salariés dans la précarité: absence de salaire
minimum, travail à temps partiel, "mini jobs" sans assurance maladie ou
petit boulots payés 1 euro de l'heure. Aujourd’hui, près d’un
travailleur allemands sur cinq est « pauvre ».
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