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En 1947, au procès de Nuremberg, 24 dirigeants de IG-Farben, Bayer et Basf furent accusés des crimes contre l’humanité suivants : préparation et conduite de guerres offensives, organisation de la prise du pouvoir par Hitler, massacres collectifs, expériences sur les prisonniers, vols et pillages, asservissement des peuples. Le cartel IG-Farben, géant de l’industrie chimique allemande a été dissous par le tribunal de Nuremberg. Dès leur libération en 1952, grâce à Nelson Rockefeller, leur ami et partenaire commercial pendant la guerre et ministre des affaires étrangères des Etats-Unis, les dirigeants d’IG-Farben infiltrèrent les plus hautes fonctions de l’économie allemande. Jusque dans les années 70, les dirigeants des sociétés Basf, Bayer et Hoechst étaient des anciens membres du parti nazi qui financèrent Helmut Kohl dès 1959. En 1955, l’industrie chimique pharmaceutique mondiale s’est rassemblée sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand, avec en tête les compagnies pharmaceutiques et pétrochimiques américaines du consortium Rockefeller, Standard Oil et IG-Farben. Ce rassemblement aboutit à la création d’une commission du nom de « Codex Alimentarius ». Ce nom trompeur et mensonger signifiant « code alimentaire » ne correspond pas à une organisation bienveillante concernée par les problèmes alimentaires des peuples. Son objectif principal est la protection et le développement par tous les moyens d’un marché pharmaceutique mondial valant des milliards et des milliards.
Le « Codex Alimentarius » oeuvre actuellement pour mettre hors-la-loi toute information alternative de santé en rapport avec les thérapies naturelles, les vitamines, les soins par les plantes, les compléments alimentaires (tous les concurrents potentiels). Cet état d’esprit explique en partie la destruction de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis plus de 50 ans. Les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et non pour traiter les causes des maladies.
Le « Codex Alimentarius » composé soi-disant d’experts a trouvé sa place auprès de l’Organisation mondiale de la Santé et de l’Organisation mondiale sur l’alimentation, ceci pour faire appliquer des lois coercitives dans tous les pays. Le comité central du Codex traite essentiellement de ce sujet : « Arrêter la progression croissante des vitamines, compléments alimentaires et soins par les plantes qui signifient une chute vertigineuse des ventes pharmaceutiques ». Les informations sur les effets de guérison des vitamines, des produits naturels doivent être interdites mondialement et être passibles d’amendes. La classification en médicament ou en aliment ne sera plus effectuée par les gouvernements, mais par l’industrie elle-même.
« privatiser » les vitamines
Le Docteur Rath publie en 1993 ses découvertes sur le rôle des vitamines sur la santé et les causes des principales maladies populaires : hypertension, insuffisance cardiaque, diabète, cancer, infarctus, artériosclérose, ostéoporose, Les carences en vitamine C (à l’origine du scorbut des marins autrefois) sont la cause principale depuis des centaines d’années et surtout dans ce dernier siècle d’un grand nombre de maladies. Une prise de vitamine C des dizaines de fois plus importante que les dosages ridiculement faibles proposés dans le commerce, supprimerait un nombre important de ces maladies modernes. Pour le Dr Rath, l’infarctus et l’attaque cardiaque ne sont pas de véritables maladies, mais tout comme le scorbut, le résultat d’une carence en vitamines sur le long terme. Il a été démontré cliniquement qu’un apport quotidien en vitamines et autres compléments nutritifs pouvait stopper l’affection cardiaque et détruire les dépôts athérosclérotiques 1. Personne n’est obligé d’adhérer totalement aux thèses du Dr Rath, mais les réactions des cartels chimico-pharmaceutiques sont plus que troublantes. Dès la parution et la diffusion extrêmement importante des ouvrages du Dr Rath et la confirmation de ses thèses par de nombreuses études cliniques et de nombreux scientifiques et médecins, le cartel pharmaceutique tente en 1993 de faire classifier par la loi les vitamines en tant que médicaments. Il mène une campagne pour convaincre la population américaine du danger d’un surdosage de vitamines. Il essaie de faire croire que l’approvisionnement personnel en vitamines nous fait revenir au moyen âge. L’absurdité de cette argumentation est évidente, alors que de 1983 à 1990, plus de 100 000 Américains sont morts suite à la prise de médicaments acceptés par l’office de la santé (FDA). Les effets secondaires nocifs des préparations pharmaceutiques se sont transformés en épidémie et sont devenus la 4e cause de mortalité 2. Selon les informations des assurances maladies allemandes, des milliers de préparations pharmaceutiques sont vendues sans effet de guérison 3. Une manifestation populaire aux Etats-Unis a fait appliquer une loi sur la liberté de consommation des vitamines et la distribution libre d’informations sur les procédés de guérison naturelle (avec les puissants moyens de pressions de ces cartels, il a fallu une loi pour pouvoir communiquer sur un tel sujet sans être passible de poursuites). Mais, insidieusement et progressivement, le cartel étend son influence. Il a réussi à imposer en Allemagne que 500 mg de vitamine C sous forme de pilule soient considérés comme médicament et soumis à prescription.
Plantes hors-la-loi
On trouve, entre autres exemples anodins la confiscation en France du millepertuis, plante connue depuis l’Antiquité pour ses propriétés médicinales. Utilisée avec succès par de nombreux médecins homéopathes et phytothérapeutes (ni somnolence, ni abrutissement, aucune accoutumance, plus efficace que le Prozac), le millepertuis était depuis longtemps dans le collimateur des lobbies pharmaceutiques. Et bien, c’est fait : il est interdit à la vente. On lui a trouvé des « dangers » : il semblerait (tous les textes officiels sont au conditionnel), qu’il puisse contrarier l’action de certains médicaments (sic). Résultat : trois descentes de police en six mois dans une herboristerie de Metz (fouille et confiscation du millepertuis à chaque fois). La disparition des herboristeries est programmée depuis un moment. Vous pensez bien : des plantes pas chères, efficaces !
Ces exemples peuvent sembler triviaux, mais il en existe des centaines d’autres, et la confiscation de la santé s’étend de plus en plus. Le Codex Alimentarius a d’autres chevaux de bataille tel qu’un projet de norme fixant des seuils en dessous desquels la contamination radioactive des aliments ne serait plus prise en compte, sans aucune possibilité de recours et autorisant sans réserve le commerce des denrées alimentaires dites « faiblement » contaminées. La norme ne sera plus l’absence de contamination, mais une contamination que les autorités décrèteront acceptable et dont nous ne serons plus protégés. Avec Tchernobyl, le commerce international s’est trouvé brutalement confronté aux diverses limites fixées par chaque pays. Il était donc impératif d’éviter qu’une telle situation se renouvelle. Les écarts entre ces limites entravaient la circulation des produits et suscitaient en outre des interrogations parmi les populations (pourquoi les habitants d’autres pays sont-ils mieux protégés ? Pourquoi ne puis-je être indemnisé ? etc.). La dissémination des produits radioactifs dans les biens de consommation est aussi à l’ordre du jour et bientôt en passe d’être réalisée grâce aux groupes de pression des industriels et des lobbies nucléaires. Avec le vieillissement du parc nucléaire, les opérations de démantèlement deviennent de plus en plus nombreuses. L’attente des industriels va croissant et les groupes de pression tant au niveau français qu’international sont très actifs. D’énormes quantités de béton, de ferrailles et autres matériaux sont concernées et les implications financières sont considérables. La dissémination dans les biens courants résoudra pour une partie et à court terme le casse-tête de l’utilisation des déchets nucléaires. Pour le lobby nucléaire, l’essentiel est d’obtenir un seuil, même bas, car une fois la contamination radioactive admise dans notre environnement quotidien, il sera pratiquement impossible de contrôler le respect de ces limites. A titre d’exemple, nous avons l’amiante dont la nocivité était connue depuis le début du siècle, et nous aurons peut-être bientôt la banalisation de la radioactivité (aliments contaminés, biens de consommation tels que casserole, poussette, laine de verre, outillage radioactifs). Bien sûr, à court terme, les effets ne seront pas trop visibles, mais à moyen et long terme, bonjour les dégâts !
Plus de la moitié des membres du Codex Alimentarius sont directement ou indirectement salariés de l’industrie pharmaceutique. En ajoutant les politiciens qui en font partie et qui dépendent aussi de cette industrie par des biais plus ou moins officiels, 80% des membres de cette commission sont liés aux multinationales. Pour parfaire ce système, les groupes pharmaceutiques introduisent des organisations de « protection des consommateurs », telle la société allemande pour l’alimentation (DGE). Le Codex Alimentarius se réunit par exemple, en Allemagne, sous l’égide de l’Office fédéral pour la protection de la santé des consommateurs, organisme hermétiquement fermé. Tout est bon pour manipuler, désinformer, faire appliquer des lois dans tous les pays membres des Nations unies.
Des milliers d’informations existent sur la plus grande industrie d’investissement au monde (ouvrages, Internet), mais celles-ci sont peu diffusées auprès du grand public. L’industrie pharmaceutique actuellement pointée du doigt comme une industrie frauduleuse organisée et empêtrée dans des milliers de poursuites judiciaires s’est empressée de stimuler la création de lois tous azimuts afin de couvrir ses agissements. L’obstacle majeur à l’amélioration de la santé des populations de la planète est l’industrie pharmaceutique elle-même.
Jacinthe
Sources : ouvrages du Dr Rath, GrainVert, Criirad, Apl Votre Santé, Greenpeace.
1. L’introduction massive depuis 30 ans d’engrais chimiques censée augmenter la production agricole a appauvri considérablement les sols et la qualité nutritionnelle des aliments, et par ricochet a généré des carencés à la chaîne. 2. « Journal of the American Medical Association » du 15/4/98. 3. Magazine « AOK2 » 4/98.
video sur youtube : http://www.youtube.com/watch?v=LE2hodRFFgk&feature=related
Commentaires :
mirandawells |
DouteJe ne suis pas sûre que ce que raconte Rima E Laibow soit juste d'autant plus que le millepertuis est commercialisé par Arkopharma sous forme de gelules.
Répondre à ce commentaire
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mirandawells 20-05-10
à 03:55 |
DouteJe ne suis pas sûre que ce que raconte Rima E Laibow soit juste d'autant plus que le millepertuis est commercialisé par Arkopharma sous forme de gelules.
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à 03:53