Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

Pour nous contacter : endehors(a)no-log.org



D'où venons-nous ?


Nos références
( archives par thèmes )


Vous pouvez nous soutenir en commandant nos brochures :

Les éditions de L'En Dehors



Index des rubriques

Les collaborateurs et collaboratrices de l'En Dehors

Liens

A noter

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

L’insurrection qui vient
Chaque secteur spécialisé de la connaissance fait à sa manière le constat d’un désastre. Les psychologues attestent d’inquiétants phénomènes de dissolution de la personnalité, d’une généralisation de la dépression qui se double, par points, de passages à l’acte fou. Les sociologues nous disent la crise de tous les rapports sociaux, l’implosion-recomposition des familles et de tous les liens traditionnels, la diffusion d’une vague de cynisme de masse ; à tel point que l’on trouve dorénavant des sociologues pour mettre en doute l’existence même d’une quelconque « société ». Il y a une branche de la science économique - l’« économie non autistique » - qui s’attache à montrer la nullité de tous les axiomes de la prétendue « science économique ». Et il est inutile de renvoyer aux données recueillies par l’écologie pour dresser le constat de la catastrophe naturelle.

Appréhendé ainsi, par spécialité, le désastre se mue en autant de « problèmes » susceptibles d’une « solution » ou, à défaut, d’une « gestion ». Et le monde peut continuer sa tranquille course au gouffre.

Le Comité invisible croit au contraire que tous les remous qui agitent la surface du présent émanent d’un craquement tectonique dans les couches les plus profondes de la civilisation. Ce n’est pas une société qui est en crise, c’est une figure du monde qui passe. Les accents de fascisme désespéré qui empuantissent l’époque, l’incendie national de novembre 2005, la rare détermination du mouvement contre le CPE, tout cela est témoin d’une extrême tension dans la situation. Tension dont la formule est la suivante : nous percevons intuitivement l’étendue de la catastrophe, mais nous manquons de tout moyen pour lui faire face. L’insurrection qui vient tâche d’arracher à chaque spécialité le contenu de vérité qu’elle retient, en procédant par cercles. Il y a sept cercles, bien entendu, qui vont s’élargissant. Le soi, les rapports sociaux, le travail, l’économie, l’urbain, l’environnement, et la civilisation, enfin. Arracher de tels contenus de vérité, cela veut dire le plus souvent : renverser les évidences de l’époque. Au terme de ces sept cercles, il apparaît que, dans chacun de ces domaines, la police est la seule issue au sein de l’ordre existant. Et l’enjeu des prochaines présidentielles se ramène à la question de savoir qui aura le privilège d’exercer la terreur ; tant politique et police sont désormais synonymes.

L’insurrection qui vient nous sort de trente ans où l’on n’aura cessé de rabâcher que « l’on ne peut pas savoir de quoi la révolution sera faite, on ne peut rien prévoir ». De la même façon que Blanqui a pu livrer les plans de ce qu’est une barricade efficace avant la Commune, nous pouvons déterminer quelles voies sont praticables hors de l’enfer existant, et lesquelles ne le sont pas. Une certaine attention aux aspects techniques du cheminement insurrectionnel n’est donc pas absente de cette partie. Tout ce que l’on peut en dire ici, c’est qu’elle tourne autour de l’appropriation locale du pouvoir par le peuple, du blocage physique de l’économie et de l’anéantissement des forces de police.

 "L'ordre du travail fut l'ordre d'un monde. L'évidence de sa ruine frappe de tétanie à la seule idée de tout ce qui s'ensuit. Travailler, aujourd'hui, se rattache moins à la nécessité économique de produire des marchandises qu'à la nécessité politique de produire des producteurs et des consommateurs, de sauver par tous les moyens l'ordre du travail. Se produire soi-même est en passe de devenir l'occupation dominante d'une société où la production est devenue sans objet (...). De là le spectacle de tous ces jeunes qui s'entraînent à sourire pour leur entretien d'embauche, qui se font blanchir les dents pour un meilleur avancement, qui vont en boîte de nuit pour stimuler l'esprit d'équipe, qui apprennent l'anglais pour booster leur carrière, qui divorcent ou se marient pour mieux rebondir, qui font des stages de théâtre pour devenir des leaders ou de "développement personnel" pour mieux "gérer les conflits" (...). Le grouillement de tout ce petit monde qui attend avec impatience d'être sélectionné en s'entraînant à être naturel relève d'une tentative de sauvetage de l'ordre du travail par une éthique de la mobilisation. Être mobilisé, c'est se rapporter au travail non comme activité, mais comme possibilité. Si le chômeur qui s'enlève ses piercings, va chez le coiffeur et fait des "projets" travaille bel et bien "à son employabilité", comme on dit, c'est qu'il témoigne par là de sa mobilisation. La mobilisation, c'est ce léger décollement par rapport à soi, ce minime arrachement à ce qui nous constitue, cette condition d'étrangeté à partir de quoi le Moi peut être pris comme objet de travail, à partir de quoi il devient possible de se vendre soi et non sa force de travail, de se faire rémunérer non pour ce que l'on fait, mais pour ce que l'on est, pour notre exquise maîtrise des codes sociaux, nos talents relationnels, notre sourire ou notre façon de présenter. C'est la nouvelle norme de socialisation. La mobilisation opère la fusion des pôles contradictoires du travail: ici, on participe à son exploitation, et on exploite toute participation. On est à soi-même, idéalement, une petite entreprise, son propre patron et son propre produit. Il s'agit, que l'on travaille ou non, d'accumuler les contacts, les compétences, le "réseau", bref: le "capital humain". L'injonction planétaire à se mobiliser au moindre prétexte - le cancer, le "terrorisme", un tremblement de terre, des SDF -  résumé la détermination des puissances régnantes à maintenir le règne du travail par-delà sa disparition physique.

 L'appareil de production présent est donc, d'un côté, cette gigantesque machine à mobiliser psychiquement et physiquement, à pomper l'énergie des humains devenus excédentaires, de l'autre il est cette machine à trier qui alloue la survie aux subjectivités conformes et laisse choir tous les "individus à risque", tous ceux qui incarnent un autre emploi de la vie et, par là, lui résistent. D'un côté, on fait vivre les spectres, de l'autre on laisse mourir les vivants. Telle est la fonction proprement politique de l'appareil de production présent.

 S'organiser par-delà et contre le travail, déserter collectivement le régime de la mobilisation, manifester l'existence d'une vitalité et d'une discipline dans la démobilisation même est un crime qu'une civilisation aux abois n'est pas près de nous pardonner; c'est en effet la seule façon de lui survivre." 

- L'insurrection qui vient, Comité invisible, Ed. La fabrique, pp.34-37.

128 pages

7 euros


Ecrit par libertad, à 23:49 dans la rubrique "Pour comprendre".

Commentaires :

  Anonyme
26-06-07
à 12:43

Ecoutez moi bande d'asticots

Vous n'êtes pas exceptionnel, vous n'êtes pas votre travail, vous n'êtes pas votre compte en banque,
vous n'êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis, vous n'êtes pas un flocon de neige
merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique
pourrissante que tout le reste. Nous appartenons tous au même tas
d'humus en décomposition. Vous
êtes la merde de ce monde prête à servir à tout.

Répondre à ce commentaire

  Chiendent
26-06-07
à 19:47

Re: Ecoutez moi bande d'asticots

Oui, effectivement, ce bouquin est très dans l'esprit "Fight Club", avec tout le mal (et toute la pub aussi...) que ce film a fait à l'anarchisme et à un certain romantisme de l'action directe.

Voilà, le bouquin se lit, il y a pas grand chose à en retirer par contre. A part le côté vaguement conspirationniste, Blanqui tout ça, les sociétés secrètes... ça en fait bander certains, j'imagine. Ou certaines. Enfin pourquoi pas, c'est sans doute une forme littéraire comme une autre: le livre de conspiration.

Volez-le plutôt que de l'acheter, les autres bouquins de La Fabrique valent quand même des détours plus conséquent que celui-là.




Répondre à ce commentaire

  Plus-debordiste-que-moi-tu-meurs
28-06-07
à 17:39

La nostalgie à 20 ans c'est mourrir à 20 ans

Si le titre est séduisant (pour les fans de petits et grands soirs), le contenu l'est beaucoup moins (ils auraient pu s'appeler "Comité illisible"). Rance, debordiste période pleurnichard nostalgique, mal écrit, confusionniste. Bref, plus que de ne rien apporter, il vous fait perdre du temps et utilise tous les ingrédients d'une mauvaise propagande (voir une propagande noire: vous savez celle qui ment pour faire croire qu'elle est des votres ).
Les auteurs auraient vécu un âge d'or squattiste, mais où ? Quand ? Comment ?
On ne peut que conseiller à ce comité de lire des bouquins sur les moyens qu'ont utilisé, par le passé, les autorités pour piloter des groupes autonomes, ils semblent mûrs pour cela.
Je n'ai pas posté suite à cet article car il m'a semblé que ce bouquin relevait du trollage littéraire. Une recherche de polémique autour de cet ouvrage ? Don't feed this troll !
Répondre à ce commentaire

  yann
01-07-07
à 14:38

Re: La nostalgie à 20 ans c'est mourrir à 20 ans

 
Répondre à ce commentaire

  yann
01-07-07
à 15:03

moémoémoé

Je trouve que ce livre a effectivement un caractère debordiste mais c'est vos critiques qui me font le plus penser à la pseudo-période situationniste ou lettriste.
Il apparait clairement que les mêmes qui dénigraient Debord il y'a 30 ou 40 ou même plus recemment sont les même emplis, jusqu'au débordement, de la puanteur gauchisto-bobo qui nous a plongé depuis au minimum 20 dans un socialisme folklorique de comptoir de café équitable.
Que l'insurrection qui vient propose, comme l'appel à sa publication, quelque chose d'a peu prés nouveau ou en tout cas de clair, explicite et conscit dérange les fonctionnaires libertaro-socio democrate de la FA à la CNT jusqu'au stalinien de la LCR en passant par tout les groupuskull militant nihiliste me choque qu'a moitié. La caractéristique de la (fausse) gauche actuelle est sans aucun la réaction dans l'action toujours renouveller de la destruction du langage.
Evidemment proposont donc au comité de lire les livres qui, gloire a nos glorieux ancêtre (les plus recents aussi), traitent et s'articulent autour de la notion d'infiltration. Voyons voir si le comité comme beaucoup d'autres qui s'organisent en dehors des carcans serrés des structures militantes en place se seriraient (en dehoirs de l'attrait purement culturel) d'écrit rédigés dans un contexte qui n'est plus le notre, selon des modes de représentation différents et où les confrontations aux réels ne sont plus d'actualité. On retrouve bien dans tes propos ce qui caractérise la gauche d'aujourd'hui : l'inaction, le traditionnalisme des moyens d'expression, l'eternelle pancarte rouge ou trone la tête d'un Che ou d'un autre.
Il me semble qu'en dehors de l'analyse c'est de détachement dont le livre cause. Aussi comment, vous, qui selon toutes apparence, ne tendez pas ce genre de cheminement pourriez amettre un livre qui jette a bas vos valeurs contemporaines, en soit le pansement social. "Nous sommes des anarchistes mais defendons le CDI, le contrat pour tous pendant 35 heures !". "Nous sommes des communistes révolutionnaires, aussi choisissons la solution électorale et parlementaire".
"nous sommes des communistes libertaires, luttons pour une réforme sociale démocrate avec les moyens que nous laisse à disposition la république bourgeoise que nous sommes cencés combattre"
Permettez moi un peu de caricature (quoique...) et de rire à gorge déployée.
Pour ce que j'en sais (j'habite dans un squatt et suis a peu prés au courant de ce qui se passe dans les autres) il est clair que "lâge d'or" des squatts est dépassé. Si des associations comme MACAQ, le DAL, ou les bourgeois de Jeudi Noir se posent commes les prometteurs immobiliers du squatt c'est certainement pas pour rajouter ou faire vivre la dose d'alternativité nécessaire mais soyons clair il s'agit purement et simplement d'un coup médiatique soutenue en grande pompe par le PS et les Verts (a Paris en tout cas). Heuresement que les alternatifs résistent encore, je pense aux Tanneries, au rockab et quelques autres.
Enfin... faut mieux en rire ou s'en battre les couilles...
Répondre à ce commentaire

  Plus-debordiste-que-moi-tu-meurs
01-07-07
à 16:27

Les comiteux illisibles ou le spectacle de l'autonomie

Yann, tu es à côté de la plaque quant aux personnes que ciblent tes critiques. Je fais partie d'un certain "maquis", je critique tout autant les orgas tradou libertaires que le comité invisible, mais je ne mélange pas tout et surtout ne prétend pas comme le fait ce CI renouveller la critique alors qu'il ne réinvente que l'eau chaude et qui plus est saumatre, l'eau. C'est juste un écrit de poseur qui ne peut servir à personne qu'à ce CI. On y retrouve justement toutes les vieilles rengaines rhétoriques de ceux qui jouent aux plus autonomes. Le discours creux (redondance) fait penser à un écrit de Patrick Mignard version autonome.
Si ce CI est pour une action invisible, il ferait mieux de ne pas claironner "youhou ! On est là avec notre invisibilité", ça sert à quoi d'être invisible quand on n'est pas silencieux ? Juste jouer au propagandiste ? Mais de la propagande pour quoi ? Il n'y a aucune proposition dans cet écrit, juste une vague idée de "commune" dont seul ce CI connait semble-t'il les tenant et aboutissants ("la commune, c'est ce qui se passe quand des êtres se trouvent, s'entendent et décident de cheminer ensemble...blabla...).
Ils mettent dans le même panier la FA, Attac (qu'ils disent trotskyste !), les communistes de conseil et l'UMP  (dans l'appel je crois)! Pratique, il reste plus que le CI qui va nous déverser sa grande vérité à coup de fascination pour les armes dans le plus pur style des proto-fascistes de 1909, car ils le disent, "Dans la distance qui nous sépare, les armes ont acquis ce double caractère de fascination et de dégoût, que seul leur maniement permet de surmonter. Un authentique pacifisme ne peut pas être refus des armes, seulement de leur usage."  Vivement le retour du service militaire, ils seront comblés ! Et comment ils font pour ne pas s'en servir ? Ils ne mettent pas de munitions ? Discours, oh, beau discours ! Quand aux objecteurs ils n'ont qu'à bien se tenir, le CI sait mieux qu'eux ce qu'est un "authentique pacifisme".
Bref, je m'arrête là, on retrouve ce genre de simplisme à coup d'écriture ronflante tout au long du livre. Alors, c'est sûr, ça en jette "t'as vu comment que je cause bien, comme Debord, des émeutes, du lancer de cocktail molotov, des black bloc...radicale moi ? tu plaisante, ce n'est pas suffisant !" Pouah, ça pue la camaraderie rance de l'activiste qui roule des mécaniques et qui rêve de médailles!
Le CI fait indéniablement partie du spectacle de la contestation, le debordisme dont il transpire ne fait que confirmer qu'on a bien sous les yeux un éloignement de la critique dans une représentation de la critique.
Quand on veut agir sans être vu, on tient sa langue.
Répondre à ce commentaire

  Plus-debordiste-que-moi-tu-meurs
01-07-07
à 16:41

Re: Les comytheux illisibles ou le spectacle de l'autonomie

Chut !
Répondre à ce commentaire

  yann
01-07-07
à 20:06

Re: Les comytheux illisibles ou le spectacle de l'autonomie

 
Répondre à ce commentaire

  yann
01-07-07
à 20:20

Re: Les comytheux illisibles ou le spectacle de l'autonomie

justement en aucun cas le livre prone l'action, le militantisme, l'activisme, le livre s'articule autour d'un thème simple, celui de la séparation, du détachement. Construire au lieu de contredire mais en partant d'une analyse cohérente. Il ne s'agit pas de critique traditionnelle au sens "educationationaliste", le style mélange pamphlet (un style bien perdu tellement la critique est devenue convenu) et analyse personnel. Du reste il aurait pu ne rien ecrire et continuer leur action comme desormais beaucoup d'autre groupe en auvergne, pyrénée, etc (et je parle pas des hyppikipu planté dans une yourt a coup de joint en mattant des dvd comme on en voit en ardéche), peut être ils auraient du faire ça. En tout cas il me semble clair que ces gens s'adressent à ceux qui les écoutent. Pour ma part je suis beaucoup trop individualiste pour croire à une autre démarche. Quant au passage sur le pacifisme il me semble tellement plein de bon sens que tu aurais du en contredire un qui prete plus a discussion. c'est toujours le même schéma les gens croyent que l'histoire ne se fait ni a coup de sang ni a coup de larmes sur les barricades... quelle naïvité ! et tout ça répandu par la propagande humaniste et jacobine bien pensante et politiquement correcte du "tolérons tout ! ouvre toi à l'autre !".
je trouve ce livre frais au même titre que je trouve intelligent (pas dans tout) et dangereusement renversant ceux qui chouent les consciences : dantec, meyronnis ou autres
mais désolé, quand je traine a publico, je ne vois pas grand chose qui apporte un tant soit peu de solution nouvelle. Non pas pour la société (je m'en branle) mais pour survivre au changement de civilisation. Ce livre est une petite pierre de cet édifice a mon avis.
Aprés le style c'est une question de gout, j'aime qu'il soit lyrique, que cela soit bien écrit (que ce qui comprenne pas fassent la démarche d'y accéder, et pourtant c'est ni du deleuze ni du heidegger). encore question de gout le ton ironique, cynique souvent et arrogant.
Répondre à ce commentaire

  Mucho Muchacho
01-07-07
à 20:48

Re: Les comytheux illisibles ou le spectacle de l'autonomie

c'est quoi de la "propagande humaniste jacobine bien-pensante" ?
Répondre à ce commentaire

  La Rabah-Joie
02-07-07
à 15:52

Les incultes et leurs antifascismes de retard

C'est ce qui dominait la gauche jusqu'à il y a 20 ans. Aujourd'hui, nous sommes dans l'Idéologie du capitalisme mondialiste libéral-sécuritaire .Toujours une génération de retard dans les analyses, ces chers libertaires de l'extrême-gauche du Capital qui voudraient revenir au bon vieux capitalisme libertaire des Trente Glorieuses. Attitude contestataire confortable et inconséquente au possible...
Répondre à ce commentaire

  libertad
13-11-08
à 22:02

Re: Les incultes et leurs antifascismes de retard

A relire aujourd'hui en fonction de l'actualité. Les commentaires sont également intéressants.
Répondre à ce commentaire

  Rakshasa
14-11-08
à 11:22

Les comytheux prévisibles ou le spectacle de l'autonomie

Oui, et bien à la relecture, je penserais que cet ouvrage tient effectivement du spectacle de la contestation. A l'époque de sa sortie, chez un éditeur bien connu, il avait été déjà pas mal médiatisé par la presse bourgeoise (le monde, Libération, nouvel obs....) Aujourd'hui, un an et demi après, on le retrouve sur TF1... peut mieux faire pour des "blanquistes" censés être invisibles.
 
Après, souhaitons-leur une sortie rapide des griffes de ceux qui ont besoin de pantins épouvantails, pour justifier la politique de répression.

Répondre à ce commentaire



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom