Particulièrement décrié pendant la manif, le «contrat première embauche» (CPE) examiné cette semaine à l'Assemblée nationale. Pour beaucoup d'enseignants, il décrédibilise le travail de l'école : «On passe du temps à expliquer à nos élèves qu'ils doivent travailler pour réussir, que c'est en s'investissant qu'ils vont y arriver mais ce qui les attend à la sortie c'est un contrat de précarité!»
Plutôt satisfait de la mobilisation, un responsable Île-de-France de l'UNEF (Union Nationale des étudiants de France) prévient que cette manifestation « n'est qu'un avant-goût de mardi prochain !» Le 7 février, les syndicats appellent à la mobilisation générale contre le CPE.
à 19:28