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le Courrier : "Les règles du «libre» échange de l'OMC ont non seulement encouragé un pillage sans vergogne des forêts des pays pauvres, elles ont aussi rendu impossible la mise en place de législations environnementales, accusées d'être des «obstacles au commerce». Les accords de libre échange liquident aussi les droits – notamment les titres de propriété collective – des communautés paysannes, indigènes et afro-descendantes facilitant la saisie de leurs terres, forêts et sous-sols. C'est contre de tels accords de libre échange que les Zapatistes se sont révoltés au Mexique en 1994 et que les peuples de l'Amazonie péruvienne ont fait de même en juin dernier.
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