Lu sur Fakir : Rumeurologie. Le frère de Gilles? «Eh, j'ai un scoop, je crois. C'est un mec de la DDE qui me l'a raconté...» On a reçu ce message une fois: ouais, bof, rien de sourcé, méfiance. Puis deux, trois, quatre, cinq, dix fois, par courrier, par courriel, des lecteurs s'indignant de cette nouvelle. Reprise, au passage, par Marianne et Auto-Journal (suivis de démentis). Assez pour que Fakir recoupe ces informations et que l'on défende, fait inédit,l'honneur sali de Gilles de Robien...
Augustin Pantoix nous écrit
Alerte nucléaire: Villers prêt, pas Amiens!à
Monsieur Delarue, adjoint chef à la santé de la ville d'Amiens,
Je me permets de vous adresser cette lettre pressante juste pour
préserver l'avenir de notre ville, de ses habitants, de moi parmi eux,
et de vous aussi, qui me paraît bien en danger. J'ai pensé que le sujet
pouvait peut-être vous intéresser.
Notre saint-homme...
Sacrée rentrée!«J'ai
plein de choses à apprendre, à écouter, aussi bien les parents, les
enseignants, que les élèves, j'écouterais un million de personnes s'il
le faut.» C'est sous le signe du dialogue que Gilles de Robien, sur
Europe 1, inaugurait son ministère de l'Education. Mais plutôt que par
le collège Saint-Joseph de Cholet, son audition géante pourrait
démarrer, par exemple, par l'école Emile Lesot A d'Amiens...
Patrimoine
Ch'foéseux d'cabotansDans
son atelier de marionnettes, Jean-Pierre Facquier est un des derniers
irréductibles du Saint-Leu d'antan, qui n'existe plus que dans les
souvenirs...
(Saltim)Banque
Le Roy(al) est nu(l)La
fête dans la Ville, cette année, s'est résumée à un éléphant mécanique,
suivi d'une dépanneuse, sans émotion ni rire. A force de technique,
l'an prochain, c'est un Airbus qui défilera dans les rues de nos villes
en guise de «création artistique»...
Le Faillitaire
Des déficients aux déficits«Un
gros navire.» Voilà comment Jacques Estienne, son (contesté) président,
définit les PEP 80 (Pupilles de l'Ecole Publique).
C'est que l'association emploie trois cents salariés. Et surtout, elle
se charge de 450 enfants handicapés: le n°1 du secteur dans la Somme.
Mais depuis dix ans, les dettes s'accumulent et le «gros navire» coule
lentement. La faute à trop d'ambitions? Quand les invalides servent à
se transformer en Club Med de la Côte picarde...