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lu sur bellaciao : " Le scandale des indemnités attribuées aux députés vu la moyenne d’âge de nos parlementaire , n’ont plus de cv à envoyer. Il faut plutôt s’occuper du statut des attacher parlementaire qui eu sont très jeune et en situation précaire. Les cinq ans d’indemnités c’est un scandale, dans ce pays ou il y a des intermittents du spectacle, des intérimaires. Et des million de chomeurs qui bénéficie du par, pour mon cas apres 5 ans au smic (licenciement économique) j’ai droit à 24 euros par jour sur une dure de 24 mois et ont me convoc une fois par semaine .
Leurs “indemnité chômage” est totalement inconditionnelle, et l’heureux bénéficiaire de cette jolie rémunération de 4 ans et demi, n’est tenu à aucun engagement quelconque, comme par exemple justifier de la recherche d’un nouvel emploi, d’une visite mensuelle auprès d’un conseiller ANPE, ou d’une activité justifiant cette “aide sociale”, bref, tout ce qui est demandé à des chômeurs ordinaires.
En chiffre
Député non réélu en France = 60 mois x 6 952 euros d’indemnités !
Le total de 60 mois d’inactivité en brut mensuel coûtent 417.180 euros par député non réélu !
Et ont fait la chasse au soit disant faux chômeurs
Pourquoi 60 mois ?
Cela permet à nos chers députés d’attendre bien au chaud la prochaine élection ! Ce n’est pas un parachute, c’est le viaduc de Millau
Je ne vais pas pleure sur le sort de quelque privilegies
Votre avis me ferait plaisir
L.mourad
laffittemourad@hotmail.com
Commentaires :
Anonyme |
INFO Et debat pour sortir de cette europe ultra-liberale du traite de nice Typique,
le le relais est passé à un porte-parole de José
Bové, défenseur du Non, Raoul-Marc Jennar. Il pose la bonne question :
« Faut-il accepter cette situation qui progressivement a amputé la
souveraineté populaire de son effectivité ? » Non, bien sûr… Mais
quelle solution propose-t-il ? Lisons, relisons son interview, on ne la
trouvera pas. il faut la rechercher dans L’Humanité du 13 juillet dernier. Jennar
est contre toute réforme de l’Union européenne par une consultation
démocratique, car la majorité des peuples n’est pas suffisamment à gauche pour
lui : « Je n’ai pas du tout le sentiment que pourrait émerger une
majorité favorable à une Europe européenne, attachée à réaliser une alternative
politique, économique, sociale et écologique au système que nous subissons. Il
me paraît suicidaire de proposer que le prochain Parlement européen soit
constituant. » La question, finalement, c’est :
« Voulons-nous une Europe politique ? Voulons-nous que la
souveraineté populaire s’exprime aussi à ce niveau, pour contrôler les marchés
et la course aux profits, dorénavant déployés à l’échelle
européenne ? » Pour
certains, c’est impossible : il n’y a pas de peuple européen. Ils oublient
que 1789, 1848, 1917, Mai 68, le rejet de la guerre d’Irak, furent des
mouvement politiques européens. Leur Non masque mal la volonté d’en rester là,
à Maastricht-Nice, à des Etats nationaux, face à un marché continental.
C’est-à-dire à une politique
impuissante : définition même libéralisme.(*) Logique, de la part des
« dirigeants du Non » libéraux et sociaux libéraux, du Financial
Times à Laurant Fabius… Dès 1992,
des Verts (dont Dominique Voynet, Marie-Christine Blandin, René Dumont et
moi-même) s’étaient opposés au traité de Maastricht, parce qu’il unifiait
économiquement l’Europe sans la doter d’un espace de contrôle politique. Les
Verts furent le seul parti dont tous les élus rejetèrent les traités
d’Amsterdam et de Nice. C’est pourquoi ils ont appelé à voter Oui au TCE, pas
en avant limité mais substantiel (démocratique, social, écologiste, féministe),
par rapport à Maastricht-Nice :élargissement considérable du pouvoir des
élus directs, en particulier sur l’agriculture, les OGM, les services publics,
la Charte des droits fondamentaux, etc. mais nous ne renonçons pas. Avec les Verts européens.
L’eurodéputé Vert autrichien Johannes Voggenhuber a fait adopter par le
Parlement une plan pour nous sortir de la nasse : associer les parlements
nationaux au Parlement européen et, à partir de ce que les Oui trouvaient de
positif dans le TCE, en ajoutant ce que les Non n’y trouvaient pas, réviser le
projet de traité. Le vice président Vert du Parlement, Gérard Onesta, a rédigé
une proposition regroupant en une Constitution ce qui faisait consensus chez
les Oui et les Non progressistes (la démocratisation, les droits fondamentaux,
les services publics ), et mettant à part ces fameuses politiques libérales
héritées de Maastricht et de Nice, en prévoyant des procédures distinctes pour
les réformer. Mais
les ennemis de ce projet sont nombreux. L’extrême droite et les anti-européens
de toujours, les libéraux et les sociaux libéraux, ont désormais leur plan B,
défendu par l’allemande Angela Merkel et le français Nicolas Sarkozy :
concocter entre gouvernements quelques réformes de fonctionnement du Conseil
des ministres, éliminer tout ce que le TCE contenait de social, de
démocratique, d’écologiste ou de féministe. Elle sera sans doute tranchée par les élections de
2009. La grande majorité des pays, qui ont voté Oui, que ce soit par la voie
parlementaire ou par référendum (les Européens consultés par référendum ont
voté Oui à 55% !) est décidée à aller de l’avant. Car
nous avons besoin d’Europe, d’une meilleure Europe, de plus d’Europe. Parce que
la pollution n’a pas de frontières. Parce que l’effet de serre ne peut être
jugulé que par des politiques au moins continentales. Parce que, pour éviter
les délocalisations, les travailleurs de l’Europe de l’est doivent avoir les
mêmes droits fondamentaux que nous. Parce que seule une Europe démocratique
pourra s’opposer à la dictature de l’agro business qui veut nous imposer les
OGM, pour nourrir le bétail et faire rouler les voitures. Parce que le Tiers
monde a besoin de l’Europe, face à l’hyper puissance américaine. -Source blog : D’Alain LIPIETZ Vidéos :
http://blog.voynet2007.fr/index.php?2007/04/06/297-toute-la-mutu Répondre à ce commentaire
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sebiseb 07-04-07
à 15:31 |
Entièrement d'accord mourad, comment se fait-il que ceux qui nous imposent leurs lois scélérates ne se les imposent pas à eux-mêmes ? Bref, que les donneurs de leçons montrent l'exemple, ou ferment leur g..
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Anonyme 08-04-07
à 12:19 |
Re:Les privilégiés qui nous pondent des lois se situent bien au dessus de celles çi .La différence entre l'ancien régime et maintenant c'est que les maitres sont élus par les adeptes de la servitude volontaire.
Que se vayan todos !!!! Répondre à ce commentaire
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à 13:36