Lu sur
anars 56 : "La
réalité est d'une clarté aveuglante... pour qui veut bien ouvrir les
yeux ! Depuis le néolithique, toute évolution des
sociétés s'accompagne d'une transformation du milieu, mais
jusqu'au 18e siècle, les blessures infligées aux écosystèmes demeurent
dérisoires. Après la révolution industrielle, les dégâts
vont s'accélérer de manière vertigineuse, au point
qu'aujourd'hui l'empreinte écologique de l'humanité, dans son ensemble,
dépasse de plus de 20 % les capacités de régénération de la
planète. C'est bien l'oeuvre du capitalisme auquel le
gaspillage est inhérent : pour que les profits se maximalisent, il
fallait une surproduction qui maintienne les prix le plus bas
possible pour consommer à outrance. A 100 dollars le baril de
pétrole, combien vaudra la vie humaine ?
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