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Libération : "C'était la parole d'un poète contre celle des flics. Et c'est le poète qui a gagné. Un soir d'avril 2004, en sortant d'un restaurant avec un ami, Brice Petit, agrégé de français et auteur de poésies, était tombé sur un groupe de policiers en train de s'acharner sur un homme à terre et en sang, dans une rue passante de Montpellier. Alors qu'une foule de badauds assistait à la scène sans rien faire, il avait demandé aux policiers de cesser de frapper leur victime. Furieux, les policiers l'avait alors menotté, emmené au poste, déshabillé entièrement, fouillé «dans tous les trous», puis renvoyé au bout de douze heures avec une plainte pour outrage à personnes dépositaires de l'autorité publique.
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à 22:40