Le 1er février, le divorce entre les Métallos flamands et wallons de la FGTB a été acté. Cette scission ouvre une brèche dans le camp des travailleurs alors même que la Fédération des entreprise de Belgique lance une nouvelle offensive et que le secteur du métal se recompose.
Les ailes flamandes et wallonnes de la Centrale syndicale des métallos FGTB divorcent. Mercredi 1er février, le secrétariat national a acté "l’autonomie totale des deux entités pour offrir une issue à la situation de crise."
La bombe à retardement allumée en novembre par le magazine patronal Trends a ouvert dans le camp des travailleurs une brèche qui n’est pas prête à se refermer. A moins que les syndicalistes se ressaisissent. Flash-back.
Le 17 novembre 2005, Trends publie un portrait du président des métallos, Herwig Jorissen, qui y avoue avoir adhéré à 17 ans au Vlaamse Militante Orde, une milice flamingante et fasciste. Ce scoop explose au moment-même où la FGTB combat vigoureusement contre le "pacte entre les générations", un combat dont les métallos sont le fer de lance...
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A voix autre