Lu sur
@narlivres : "Avant les attentats de janvier, l’hebdomadaire était déficitaire et
menaçait de mettre la clef sous la porte ; ce ne fut pas toujours le
cas, en 2006 (année des caricatures du prétendu prophète) les bénéfices ont
atteint 968 501 euros et 85 % de cette somme fut distribué aux
actionnaires Philippe Val, Cabu, Bernard Maris et Eric Portheault (
« De la bande de copains à l'entreprise prospère »).
Après la tuerie, la manne des souscriptions et des abonnements submerge
le titre et crée la zizanie car les actionnaires actuels – Riss (40 %),
les parents de Charb (40 %), Portheault (20 %) – sont contestés par des
membres de la rédaction (
« Tensions à “Charlie Hebdo” sur le mode de gestion du journal ») qui réclament un « renouveau » (
« Pour la refondation de “Charlie Hebdo” »).
Afin d’obtenir plus de démocratie interne ou pour partager le gâteau ? Notons au passage que
Le Monde adore disserter sur les soubresauts et difficultés d’autres titres, beaucoup moins sur les siens (pour cela, il faut lire
Libération, et vice versa).
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