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L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





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Qui sommes-nous ?
Qui sommes-nous qui écrivons aujourd'hui ce journal ?
Qui sommes-nous qui lisons aujourd'hui ce journal ?
Sommes-nous d'autres nous qui écrivons et qui lisons ? Sommes-nous d'autres nous qui vivons ensemble dans ce village, en Provence, en France, en Europe, dans le monde, sur une planète que nous appelons terre ?
Qui sont ces EUX qui ne vivent pas avec nous dans ce village, en Provence, en France, en Europe, dans le monde, sur une planète aue eux n'appelleraient pas terre ?
Qui sont ces EUX qui vivent avec nous mais qui ne sont pas ce NOUS qui vivons dans ce village, en Provence, en France, en Euurope, dans le monde, sur une planète qu'ils appellent aussi ?
Qui suis-JE dans ce NOUS qui ne me renvoie qu'à d'autres Je qui ne sont pas moi et avecc lesquels pourtant je vis dans le NOUS ?

Qui est ce NOUS ?
Moi et Toi ?
Quand nous nous aimons ?
Quand nous nous haïssons ?
Quand j'écris et que tu me lis ?
Quand tu écris et que je te lis ?

Qui est ce NOUS ?
Moi et Toi et Toi et Toi ?
dont je connais les visages ou au moins les noms, dont je connais le métier, la femme, le mari, les enfants, dont je connais la langue et les plaisirs et les envies et les peurs et les dégoûts et les faiblesses et les grandeurs ?
Moi et Toi et Toi et Toi ?
que je reconnais comme mes amis, ma famille, mes comapgnons, mes collègues, mes compatriotes, mes camarades ?

Qui est ce EUX ?
Quel est son visage ? son nom ? Quel est son métier ? Quelle est sa femme et quel son mari et quels ses enfants ? Quelle est sa languue et ses plaisirs et ses envies et ses peurs et ses dégoûts et ses faiblesses et ses grandeurs ?

Qui est ce EUX ?
Existe-t-il seulement ?

Et s'il n'y avait que NOUS ?
Ecrit par provisoire, à 23:40 dans la rubrique "Le privé est politique".

Commentaires :

  Anonyme
09-03-05
à 09:31

- ( I )

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
09-03-05
à 11:49

J’ai trouvé ça. J’aime bien...

Les fous,
les marginaux, les rebelles,
les anticonformistes, les dissidents...
Tous ceux qui voient les choses différemment,
qui ne respectent pas les règles.
Vous pouvez les admirer,
ou les désapprouver,
les glorifier,
ou les dénigrer.
Mais vous ne pouvez pas les ignorer.
Car ils changent les choses.
Ils inventent, ils imaginent, ils explorent.
Ils créent, ils inspirent.
Ils font avancer l'humanité.
Là où certains ne voient que folie,
nous voyons du génie.
Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser
qu'ils peuvent changer le monde, y parviennent.
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
09-03-05
à 14:45

le nous et le je...

« La conscience de soi est en soi et pour soi quand et parce qu'elle est en soi et pour soi pour une autre conscience de soi ; c'est-à-dire qu'elle n'est qu'en tant qu'être reconnu.»
Hegel (Phénoménologie de l'Esprit).
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
09-03-05
à 18:04

La barre est trop haute ?

Laisse Hegel, l’Anonyme, il est mort en 1831 et relis le texte, pour entrevoir la porte. Elle peut ne pas sembler logique, mais attention aux apparences

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 02:54

Re: La barre est trop haute ?

"Laisse Hegel, l'Anonyme, il est mort en 1831"

Il se trouve, comme de justice, que la citation est reprise de la société du spectacle, de Guy Debord, livre écrit en 1967 je crois. Ce n'est pas être pas encore assez comtemporain 1965... D'ailleurs, la fameuse "dialectique" chère à ce vieux Hegel n'est-elle pas encore utilisée de nos jours ?

Oui, parfois je mine le terrain ;)
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  Anonyme
10-03-05
à 08:25

Bonjour l’Anonyme,

Tu penses pouvoir la franchir, comme les autres, en prenant de l’élan ? Tu va la faire tomber. << Un pas à la fois suffit >>

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 10:07

Re:

Jusqu’ici vous bougiez pensant que c’était le Mouvement. Pourtant vous ne trouvez pas le Repos. Cherchez le Repos et vous trouverez le Mouvement.

Répondre à ce commentaire

  Yvan
10-03-05
à 10:07

La barre trop haute?

Tout est dans le titre!
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 11:58

Re: La barre trop haute?

Bonjour Yvan,

C’est pour cette raison qu’il faut porter son regard vers l’intérieur.

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 17:43

Bonjour Provisoire,

Tu es la Douceur et je n’ajouterai pas : parce que tu es féminine. Je suis la Douceur mais elle est encore trop masculine.

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 17:44

Re: Re: La barre est trop haute ?

Toujours besoin de chaleur. N’est-ce pas ?

Seul le Vivant en a.

Alors, brûlez vos livres !

Comment voudriez-vous que des Cadavres puissent se tenir chaud ?

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 18:35

Je traversais un désert et j’étais assoiffé. Quelqu’un vint et partagea son eau. C’était une semeuse, je l’ai reconnu car je suis aussi un semeur. De doute.

<< La physique nucléaire nous apprend en effet qu’à chaque instant se manifestent des vibrations, des ondes énergétiques, dont l’origine se situe dans un vide, appelé vacuum physique. Ces vibrations sont créatrices de matière. Ainsi apparaissent d’abord des particules élémentaires, qui s’harmonisent et forment des atomes. Ceux-ci s’harmonisent à leur tour pour créer des molécules. S’harmonisant entre elles, celles-ci se manifestent par des structures de plus en plus complexes. Ainsi naissent nos cellules… La science nous apprend donc qu’en provenance d’un vide la vie se manifeste de façon continue par une expression harmonieuse d’énergie et de matière, de synthèse et de dissolution. La loi unique à l’origine de cette manifestation créative s’appelle harmonie. >>

Qui suis-je ?

Et s'il n'y avait que NOUS ?

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 19:10

<< Un vide est sans valeur, car absence de toute chose. Un vide qui contient la totalité du potentiel de la création est une merveille, qui dépasse tout entendement humain ! Pourtant, à ce vide là chaque être est uni, car chaque atome de son corps y trouve sa source. Ceci implique que chaque atome ou chaque cellule de notre corps est continuellement et spontanément à l’écoute d’une loi d’harmonie. Dans la prise de conscience d’une intégration individuelle dans cette loi absolue, qui constitue la cause même de notre existence, réside la finalité de notre vie : à l’exemple de la nature tout entière, transformer en harmonie les qualités qui, par une créativité harmonieuse, sont mises à notre disposition. >>

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 19:11

Re: la physique

Peut-être suis-je simplement ignare sur ce sujet, mais je pense autrement : il y a le principe d'entropie qui affirme que la tendance générale de la matière est d'aller vers le chaos, ou encore la fameuse équation d'Einstein qui indique un rapport entre énergie et matière (e=mc2). Aussi la création ex-nihilo de la vie me semble incompatible avec ma conception de la physique. Peux-tu donner la source de ta citation ?
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 19:47

Il importe toutefois d’être toujours conscient des limitations propres à tout savoir humain…

Fais comme moi. Tout à l’envers. Tu pars de ton Je ( surtout pas de ton Moi, celui-là tu l’ignores. C’est un fout la merde ! ) Ensuite, lorsque de ton Je, tu reviens dans ton Moi, il se trouve un peu con et il doute. Après, ben, comme j’ai pas de bouquin, je clique, je clique et je reclique. Pour l’instant je n’ai pas à me plaindre. C’est assez étonnant…

<< L’expression de l’harmonie dans nos pensées est appelée intelligence, la base de toute connaissance. L’harmonie dans nos sentiments, par laquelle s’exprime la bonté, est appelée amour. Tout savoir n’a de valeur que lorsqu’il sert. L’amour n’a de valeur que lorsqu’il se donne. L’harmonie des deux est nécessaire pour réaliser une action juste. Dans un repos, le silence du vide à l’intérieur de soi, chaque être peut recevoir une inspiration lui permettant d’exprimer harmonieusement intelligence et amour. >>

ARRÊTES DE LIRE ! ! !

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 20:02

J'oublais

"Notre monde est menacé par une crise dont l'ampleur semble échapper à ceux qui ont le pouvoir de prendre de grandes décisions pour le bien ou pour le mal.
La puissance déchaînée de l'homme a tout changé, sauf nos modes de pensées, et nous glissons vers une catastrophe sans précédent. Une nouvelle façon de penser est essentielle si l'humanité veut vivre. Détourner cette menace est le problème le plus urgent de notre temps."

{Citation, Albert Einstein}
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
10-03-05
à 21:46

Attention

Lorsqu’il est dit << Dans un repos, le silence du vide à l’intérieur de soi >> : c’est SILENCE. Pas d’image, pas de son ( pensée ) Pendant un moment Moi, il est mort. Un cadavre !

Répondre à ce commentaire

  Anonyme
11-03-05
à 01:44

Re: Attention

On a tous nos petits trucs pour se sentir mieux, pas vrai ?
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
11-03-05
à 08:46

Re: Re: Attention

<< Or la tendance á utiliser en priorité la main droite traduit chez les modernes ces traits typiquement humains que sont la latéralisation prononcée de cerveau et la séparation fonctionnelle marquée des deux hémisphères cérébraux. Klein en conclut que cela " implique presque certainement des capacités cognitives et communicatrices humaines fondamentales ". >>

Il n'existe d'ailleurs pas de preuve définitive qui permette de croire que la pensée humaine est, du fait que nous pensons avec des mots, la plus évoluée - pour peu qu'on ait le culot d'apprécier universellement le degré d'achèvement d'une pensée. Il existe de nombreux cas de patients ayant perdu, á la suite d'une attaque ou autre dégradation du cerveau, le sens de la parole, y compris la capacité de se parler silencieusement á eux-mêmes, qui sont tout á fait capables de pensées cohérentes de toutes sortes. Ces données nous convainquent de ce que " l'aptitude intellectuelle humaine est d'une puissance extraordinaire, même en l'absence de langage ".

Lévi-Strauss a raconté sa surprise d'apprendre qu’une tribu particulière d'Amérique du sud pouvait voir la planète Vénus en plein jour, prouesse comparable á celle des Dogons d'Afrique du nord qui considèrent Sirius B comme l'étoile la plus importante - ayant ainsi connaissance, sans instruments, d'une étoile qu'on ne voit qu'avec les télescopes les plus puissants. Dans la même veine, Boyden a écrit la capacité des Bochimans de voir á l’œil nu quatre des lunes de Jupiter.

Dans The Harmless People, E. Marshall a relaté comment un Bochiman s'était dirigé avec précision vers un point situé au milieu d'une vaste plaine " sans buisson ni arbre pour marquer l'endroit ", et avait montré du doigt un brin d'herbe entouré d'un filament de liane quasi invisible, qu'il avait repéré plusieurs mois auparavant, á la saison des pluies, quand il était vert. Le temps étant devenu caniculaire, il avait creusé á cet endroit et mis au jour une racine succulente dont il avait étanché sa soif. Toujours dans le désert du Kalahari, Van der Post a médité sur la communion des San avec la nature, parlant d'un niveau d'expérience qu'on " pourrait presque appeler mystique. Par exemple, ils semblaient savoir ce qu’on éprouve quand on est un éléphant, un lion, une antilope, un steinbock, un lézard, une souris zébrée, une mante religieuse, un baobab, un cobra à crête jaune ou une amaryllis, pour ne citer que quelques-uns des êtres innombrables et colorés au milieu desquels ils évoluaient ". Il semble presque banal d'ajouter qu'on s'est sou- vent extasié devant I'habileté des cueilleurs- chasseurs á suivre une piste en défiant presque toute explication rationnelle. ( Futur primitif )

L’atome était connu bien avant Jésus Christ, et l’on devrait ‘’ disséquer un œil de ces primitifs pour voir s’il est vraiment différent. Bien qu’il soit certainement de meilleure qualité, n’ayant pas subi les agressions d’éclairages artificiels ou chimique de notre alimentation, je reste dubitatif sur le fait qu’il pourrait atteindre la puissance d’un de nos télescopes… Je reste dans la même perplexité devant la pensée du Tao fondée, d’après le peu que j ‘ai lu, sur le vide, bien antérieur aussi à ce même crucifié. Je ne sais pas grand chose, on peut même dire : rien. Je n’en éprouve aucune aliénation quand bien même le plus grand génie humain me fait une démonstration de ses connaissances ; parce qu’il ne sait rien. Du vide…

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  berue
11-03-05
à 10:56

Re: J'oublais

Une autre citation de ce cher Einstein (qui ne nous aurait peut être du en rester à la philosophie...) :

"Le monde n'est pas mauvais à cause de ceux qui font le mal, mais le monde est mauvais à cause de ceux qui regardent et laissent faire"

Répondre à ce commentaire

  duruti
11-03-05
à 11:47

RE : j'aime bien J'ai trouvé ça

J'ai passé 7 ans en HP quelques mois en prisons
Le monde est resté tel qu'il est avec ses céline ses aragon, éluard, ses desno, ses artaud

J'aime tellement la vie la vie que sans neuroleptique qu me tue le bide je suis poussé à l'autodestruction par relation
L'homme est un animal social ?

Cours camarade, le vieux monde est derrière toi
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  Anonyme
11-03-05
à 11:50

L’entrave à briser est d’abord celle de la transmission culturelle. Un être humain naît dans un monde qui s’impose à lui et qui, déjà, le soumet à ses objectifs en lui faisant perdre progressivement la conscience de son bonheur. La culture moderne dépossède l’individu de lui-même, l’éloigne de sa nature fondamentale qui voudrait qu’il vibre au rythme de la vie universelle, et non au rythme étroit des obligations sociales d’une culture trop particulière. Il existe une nature humaine, suggère Thoreau, un foyer dont il faudrait cultiver toutes les extensions possibles, pour une existence plus joyeuse.

Mais, tout d’abord, dire " je ". Pourquoi ?

Qui suis-je ? Quelqu’un qui s’en doute comme vous a devant lui un vaste puzzle dont l’assemblage semble impossible. Quelqu’un qui se révolte parce qu’il ne peut accepter l’inacceptable. Quelqu’un qui veut s’affirmer libre et qui sait comme Bakounine, que cette liberté serait illusoire si l’autre n’était pas libre. Quelqu’un qui goûte la vision de Kropotkine, mais qui la juge incomplète parce que manquant de quelque chose. De l’essentiel, de ce Qui suis-je ? Quelqu’un qui a ses idées, des idées qu’il puise au fond de lui-même et qui les compare à celles de l’autre, des autres. Quelqu’un qui conclu parfois, mais de façon toute relative. Quelqu’un qui s’efforce de rester en éveil, qui est prêt à changer parce qu’il change constamment au fil de sa propre expérience tout en ne quittant pas de l’œil celle de l’autre, des autres. Quelqu’un qui aussi, au milieu de ses solitudes, ne se sent jamais vraiment seul, parce qu’il se sent relié à l’autre, à d’autres, quelle que soit la distance, par quelque chose. Quelque chose qui ne l’effraie pas, dont il n’en ferait pas comme d’aucuns, un dieu, dont la perversité est trop semblable à l’homme lui-même lorsqu’il ne pense et ne sait dire que MOI. Quelqu’un qui apprécie d’autant plus la recherche d’homme tel que Thoreau qui en inspira d’autres. Des maillons d’une chaîne qui n’est pas une entrave, mais un lien indissociable formant un tout. – ( I )



Il s’agit en fait de ne pas être un nous, et d’amorcer un mouvement de séparation vis-à-vis de toute communauté, par définition centrée sur elle-même et tendant vers trop d’homogénéité.

Le " je " est en fait la marque d’une opposition au social, l’affirmation du solitaire qui s’apprête à tenter quelque chose de radicalement autre : une " extravagance " en marge de la vie collective, une ligne inédite sortie des cercles coutumiers. Tout changement social, énonce Thoreau, s’origine dans un " je ", parce que chacun doit être à lui-même le conducteur vers la source, afin de découvrir l’être véritable qui, lui, dépasse largement la simple portée individuelle puisqu’il irrigue tout, est irrigué par tout, jusqu’à la nature la plus sauvage. Prendre conscience de soi est indispensable en un monde où la société, par ses tournures culturelles et une reproduction sociale trop efficace, empêche l’accès à la " vraie vie ". Sortir de l’héritage générationnel, c’est prendre conscience de l’irréductibilité de soi comme de son destin. C’est l’éloge d’une différenciation qui doit passer outre, vers davantage d’universalité. Voici encore un paradoxe, mais aussi une épreuve : ne pas demeurer figé en soi-même, ou ce qu’on croit qu’on est. Si chaque être humain s’avère irréductible à un autre, ceci ne renvoie guère à une apologie de la séparation fragmentaire, mais au contraire à la capacité de chacun de devenir lui-même un monde complet, non aliéné par une majorité qui s’imposerait à lui de façon aveugle.

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  Anonyme
12-03-05
à 19:20

On a tous nos petits trucs pour se sentir mieux, pas vrai ?

Bonjour L’Anonyme,

Mon système binaire est fatigué, il fait encore des siennes, c’est pourquoi je ne t’ai pas répondu. Je ne lui en veux pas, au contraire, cela me repose, car bien souvent j’éprouve de la fatigue lorsque je reste trop longtemps à l’écoute de l’autre, des autres.

Tu penses que j’ai trouvé un remède, un truc, une façon comme une autre d’échapper aux tourments, de ne pas trop en souffrir ? Pourquoi pas le jeûne, l’abstinence et la prière ? Il y en a qui s’en contente ! Je ne les vois pas plus éveillé pour ça… De plus ayant parlé de révolte, d’inacceptable, ayant donné des noms, tu crois sans doute que cela m’importe. Tu te trompes ! Ce n’est que la part du lion. J’en ai un aussi, il faut bien qu’il mange, - tant qu’il ne mange que des mots…

Crois-tu que j’ai la naïveté de penser que les hommes sont égaux ? Crois-tu que je sois partageur ? Partager quoi ? Tout le monde en a, mais il est toujours endormi…

Je ne fais que déposer quelque chose qui ne m’appartient pas. Vous piétinez dessus !

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