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Côte d'Ivoire : la FIDH et la LDH demandent une commission d'enquête parlementaire
--> Rôle de l'armée française dans la répression des manifestations du 9 novembre
Lu sur Hacktivist news service : La FIDH et la LDH ont exprimé à plusieurs reprises leur inquiétude face à la situation qui prévaut en Côte d'Ivoire http://www.fidh.org/article.php3?id_article=2079 

Les violences commises contre les populations civiles sont insupportables et le gouvernement de Côte d'Ivoire doit tout mettre en œuvre pour que soient recherchés et juger ceux qui ont commis des pillages, des viols ou des destructions à l'encontre des communautés étrangères installées dans ce pays.

La xénophobie manifestée par les « jeunes patriotes », avec la complicité, voire à l'instigation de certaines autorités ivoiriennes, n'a pu qu'exacerber ces manifestations de haine.

Sans méconnaître la nécessité de protéger les populations civiles, la FIDH et la LDH s'interrogent sur les conditions d'intervention de l'armée française dont le mandat est défini par le Conseil de Sécurité.

Lors de la répression des manifestations d'Abidjan, le 9 novembre, les forces françaises ont tiré à balles réelles à partir d'hélicoptère ou au sol sur les manifestants installés sur les deux ponts de la Lagune Ebrié et aux abords de l'hôtel Ivoire. Ces tirs auraient fait, selon une série de sources concordantes, une soixantaine de morts et plus d'un millier de blessés.

Tirer ainsi sur des populations civiles ne disposant pas d'armes à feu dépasse très largement les nécessités du maintien de l'ordre ainsi que le mandat qui a été confié aux forces armées françaises.

On ne saurait passer sous silence ces faits et encore moins les minimiser.

La FIDH et la LDH demandent au gouvernement français d'ouvrir une enquête de commandement et au Parlement de décider de la création d'une commission d'enquête chargée d'examiner les conditions d'intervention de l'armée française depuis le bombardement inadmissible qu'elles ont subi jusqu'à ce jour.

Source/auteur : http://www.fidh.org
Ecrit par libertad, à 12:45 dans la rubrique "International".

Commentaires :

  Anonyme
01-12-04
à 16:31



Encore un massacre néo-colonial. Il faut que ce soit le dernier.

Pour cela,l'armée française doit quitter l'Afrique.

N'oublions pas que cette armée a été formée par des Massu et des Aussaresses. Toutes les armées doivent être dénoncées. Celle là a théorisé la guerre contre révolutionnaire au Vietnam et en Algérie. Elle a, dans un passé récent, été maître dans l'art de torturer son semblable. Elle a commis d'innombrables crimes contre l'humanité dont les auteurs n'ont jamais été punis.

Massu a pu tranquilement continuer à former ses successeurs.

Aussaresses de même. Il a d'ailleurs été l'un des principaux dirigeants du service action de la DGSE. Un service qui doit être hyper-actif aujourd'hui en Côte d'Ivoire.

A bas l'armée. Vive l'anti-militarisme.
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
01-12-04
à 17:57

Exact !

A lire ou à relire : http://endehors.org/news/6311.shtml

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