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Casa negra, la mystérieuse « chambre noire »
--> Ce que révèlent les archives secrètes de l'agence américaine

Lu sur Ulaval : « Un massacre de 200 000 personnes : c'est le bilan des militaires au pouvoir au Guatemala entre 1966 et 1996. Un massacre perpétré avec la bienveillance, l'aide et parfois sur ordre des services spéciaux américains. Si on peut faire aujourd'hui le récit de cette collusion tragique CIA-colonels qui a fait plus de victimes qu'au Chili et en Argentine, c'est grâce aux archives officielles américaines livrées au public il y a quelques semaines. Avec en prime un mea culpa solennel du président Clinton. On n'en finirait pas de gloser sur cet incroyable pays, les Etats-Unis, qui a prêté main-forte à des bouchers par crainte d'un « danger castriste » et qui, quelques années plus tard, accepte de « déclassifier » les télégrammes secrets de la honte... Tenons-nous-en aux faits. Ils sont terribles

C'était une terre d'injustice, de torture et de massacres. Une terre d'Indiens révoltés et de colonels barbares. C'était le pays le plus peuplé, le plus pauvre et le plus cruel d'Amérique centrale, aux confins du Mexique, du Honduras et du Salvador, aux premières marches de l'empire américain. C'était le Guatemala de 1966 à 1996 - trente ans de supplices, organisés ou encouragés par la CIA.

Pendant ces trente années, les militaires guatémaltèques ont massacré plus de 200 000 personnes grâce aux armes, aux conseils et à la protection des services spéciaux américains. Pendant ces années de sang, Washington a clandestinement soutenu ces bouchers qui ont commis plus d'atrocités que les dictatures du Chili, de l'Argentine et de l'Uruguay réunies. Au nom de la lutte sacrée contre la subversion castriste - et pour défendre les intérêts de l'United Fruit Company -, la CIA, le Département d'Etat et le Pentagone ont laissé ou fait assassiner des guérilleros, des syndicalistes, des hommes politiques mais aussi des militants des droits de l'homme, des journalistes, de simples paysans, des femmes, des enfants. Nulle part ailleurs - Indonésie exceptée - le délire anticommuniste a poussé Washington à cautionner voire à organiser dans l'ombre autant d'actes barbares. 

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Ecrit par Mirobir, à 23:43 dans la rubrique "International".



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