Lu sur
Veg Mag : "Malgré la multitude de groupes locaux actifs et l’éclosion
d’associations spécialisées, force est de constater que loin d’évoluer
la condition animale n’a fait qu’empirer, en France en particulier.
Qu’on en juge entre l’inscription de la corrida à l’inventaire du
patrimoine immatériel de l’UNESCO, le récent décret obligeant la
restauration collective à proposer de la viande, du poisson et produit
laitiers, de lourdes amendes pour les « perturbateurs » de chasse.
Citons encore les promesses non tenues comme les poules pondeuses qui
devront continuer à se contenter de leur surface A4 pour survivre ou
encore les tests sur animaux qui continueront après 2012 pour les
produits cosmétiques.
Ces défaites successives montrent à l’évidence que le welfarisme ou bien-être animal est dans une impasse car,
refusant d’aborder la vraie question ; celui du droit que nous nous arrogeons à utiliser les animaux,
à les maintenir dans une position d’esclaves et,, par conséquent,
position où ils ne peuvent jouir de leurs droits fondamentaux : liberté
et respect de leur vie.
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