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Mathieu Léonard : la Première Internationale, « une réelle force de dépassement »

Lu sur Article 11:

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"Le terme d’ « Internationale » a beau être l’un des plus récurrents du « folklore » musical d’extrême-gauche, rares ceux qui en connaissent la genèse historique. Dommage : on retrouve dans les débats qui ont agité la création et les premières années de l’Association internationale des travailleurs (AIT) des lignes de force qui structureront le paysage idéologique des différents courants de la gauche socialiste


, communiste et anarchiste jusqu’à nos jours. La Première Internationale n’a peut-être duré que huit ans, de 1864 à 1872, mais elle a posé les bases des débats à venir chez les enfants de Proudhon, Marx, Blanqui et/ou Bakounine. Petite structure d’entraide ouvrière à sa création, elle n’a pas tardé à prendre de l’importance à l’échelle européenne, voire mondiale, suscitant parfois une frousse disproportionnée chez nombre de gouvernants/possédants...

L’auteur de L’émancipation des travailleurs, une histoire de la Première Internationale (Éditions La fabrique, 2011), l’ami Mathieu Léonard, a écumé les bibliothèques pour faire revivre les débats et problématiques de cet épisode charnière de l’extrême-gauche, sur fond de contexte historique chargé. Le résultat se lit comme un roman : écharpages récurrents entre Marx (stratège des coulisses) et Bakounine, manigances pour imposer telle ligne, blanquistes en maraude et proudhoniens en déroute, débats agités au sujet de La Commune de Paris, dévouement de personnalités injustement oubliées de l’historiographie du mouvement ouvrier (comme Eugène Varlin ou César De Paepe), congrès et grèves en pagaille... Au fil des réunions annuelles de l’AIT, le tableau se précise, se complexifie, se densifie. Jusqu’à la scission de 1872.

Il y a quelques semaines, Mathieu Léonard présentait son ouvrage au Lieu-dit (Paris, 20e) ; voici les grandes lignes de son intervention.

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Ecrit par libertad, à 09:05 dans la rubrique "Pour comprendre".



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