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Austérisons-nous ? L’austérité, les hedge funds, les Indignés américains, et le bordel ambiant (2/2)
Lu sur le Monde libertaire : "On pourra toujours dire que ceux qui aujourd’hui occupent Wall Street ont mis du temps à démarrer, il reste qu’ils posent assez bien le problème, faute de proposer de bonnes solutions. Ils affirment représenter les 99 % de la population qui ne se livrent pas à la surconsommation et qui accumulent l’essentiel des richesses du pays. C’est dire qu’ils affirment représenter quasiment toute la population du pays. Ils s’en prennent à l’extrême concentration des richesses effectuée par le sommet de la société et la dénoncent comme le point central de la politique américaine.
Jusqu’à présent, on considérait que la politique économique, les réductions d’impôts pour les riches, les subventions aux sociétés pharmaceutiques, la dérégulation finan-cière, etc., étaient des choses trop compliquées pour les gens ordinaires. Désormais, il semble que le brouillard qui masquait ces réalités se soit levé, et c’est la légitimité même du capitalisme financier qui est en jeu. La question est de savoir si cette tendance va se pérenniser… et si elle débouchera sur un projet politique.
Les manifestants ont explicitement désigné Wall Street comme le cœur du capitalisme financier et comme leur ennemi. Ils ont accueilli dans leurs rangs les sans-abris, les exclus. En répétant le message « Nous sommes les 99 % », ils montrent que pratiquement tout le monde est la victime de la rapacité d’un très petit nombre.
Un organisme, le US Census Bureau, a établi qu’en 2011, 47 millions d’Américains vivent en dessous du seuil de pauvreté ; 19 millions vivent dans une extrême pauvreté. Et la situation va s’aggraver à l’avenir. Sont particulièrement victimes de cette situation les mères célibataires 1. Mais les chiffres officiels sont en dessous de la réalité. En effet, la détermination du seuil de pauvreté est calculée comme étant trois fois le budget minimal de nourriture tel qu’il a été défini en… 1959, et réajusté pour cause d’inflation dans le prix de la nourriture. Autrement dit, ne sont pas pris en compte les prix du logement, de l’essence, des transports, de la santé, qui ont augmenté beaucoup plus que le prix des produits alimentaires de base.
Lire la suite ici
Première partie : Austérisons-nous ? : l’austérité, les hedge funds, les Indignés américains, et le bordel ambiant (1/2)

Ecrit par libertad, à 10:38 dans la rubrique "Economie".

Commentaires :

  lepassant
26-11-11
à 14:02

« Je veux dire, vous l’aurez compris, pas d’alternative au capitalisme autre que le communisme ou, si le mot effraie pour avoir été longtemps usurpé, qu’un socialisme au sens où l’entendait Rosa Luxembourg, lorsqu’elle parlait de l’alternative « socialisme ou barbarie ».

Bonjour,

Après avoir réagi (désagréablement) avec ce que d’aucun qualifie de « cynisme complaisant », je persiste et signe en finissant mon commentaire sur l’article « Occupy : la résistance des consciences s’organise à Boston » par : Qu’ils s’en aillent tous
Ne vous trompez pas !
Ils sont moi, et je suis eux. La seule différence réside dans le fait que si l’on accepte de vivre dans le monde de César, il faudra lui rendre ce qui lui appartient. Ceci n’est pas une nouveauté !
Il est dommage que ce genre d’article, ou l’on met le doigt là ou cela fait mal, ne soit pas plus accessible au grand public.
Quoique, ce « grand public » ne cherche pas beaucoup, à croire qu’il n’en souffre pas trop.

(Je précise que je ne connais de Rosa Luxemburg que le nom, seul : « pas d’alternative au capitalisme autre que », retient mon attention.
Ce qui fut vrai pour une époque s’avère souvent être remis en question)
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