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L'En Dehors


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EMEUTES : LA GRÈCE SATURÉE
A propos de la crise Grecque, j’avoue, pour le coup, je suis très pessimiste... Déjà parce que la réaction grecque n’est pas le fait des travailleurs, qui suivent encore, pour l’instant, un "pouvoir" syndical corrompu et distant de leurs intérêts,mais d’une jeunesse précaire qui, seul vrai point positif, je pense, a su se rallier aux plus précaires, c'est à dire aux immigrés et aux jeunes issus de l'immigration.

 

Ce mouvement là est le seul véritable mouvement anarchisant et ressemblant un peu à une réelle contestation d’un système à abattre (auquel j’adjoindrais l'extrême gauche grecque, bien plus à gauche que la notre) ! Côté travailleurs, si ceux-ci voient d’un œil plutôt bienveillant la pseudo violence jeune (les cassages de banque, les charges anti policières, qui ne sont pas réprimées, comme en France, par les manifestants défilant sous bannière, les SO, quoi) , on peut dire qu'ils sont encore bien laxistes, leurs défilés ressemblant encore bien trop, justement, aux défilés de casserole argentins où aux suppliques des défilés syndicaux fRançais ! Bref, le mouvement n’a pas encore pris suffisamment d’ampleur pour inquiéter réellement le pouvoir Grec, pour le secouer réellement, en tous cas...

 

Maintenant, il faut réellement espérer que ce mouvement des travailleurs dépassera les "appels" syndicalistes mous, et rejoindra réellement l'insurrection qui aurait tendance à venir, parce que, déjà, c’est la seule façon qu’auront les grecs d’empêcher une véritable saignée les laissant sur le pavé pour que ceux qui les ont mis dans cette situation puissent continuer à se bâfrer, et, ensuite, parce que la Grèce, pour l'establishment, n’est qu’un laboratoire servant à tester ce qui sera mis en place ailleurs, que ce soit en Europe comme dans d’autres pays (le Japon étant dans une situation économique bien pire que la situation grecque) ! Bref, si les travailleurs ne rejoignent pas la jeunesse et les précaires, si la situation grecque ne débouche que sur des défilés mou-du-bulbe ne servant, comme d’habitude, qu’à canaliser la colère, à la laisser s’exprimer afin d’emporter l’assentiment sans dégâts, le pire est à craindre !

 

Soit ça passe et nous avons tout à craindre de la suite, soit la révolution démarre en Grèce ! Aucun autre choix n’est possible !

 

A lire sur le sujet :les émeutes en Grèce de Théo Cosme (ed. Senonevero)

 

http://www.lessignets.com/signetsdiane/calendrier/images/dec/18/2/emeutes_grece-j13d.jpg



« Frédéric Lordon, dans le Monde Diplomatique qui vient de sortir, dit en effet que la dette du Japon est bien supérieure à la dette grecque (200 points de PIB au lieu de 113 pour 2009 et 130 prévus en 2010 pour la Grèce). Mais que cette dette est détenue à plus de 95% par les épargnants nationaux. Ce qui met le Japon à l’abri des pressions du terrible LÉMARCHÉ. » (« cultive ton jardin », en réponse, sur Article XI)



Pour en revenir un peu au Japon, je ne suis, pour ma part, pas persuadé que le fait que les épargnants nationaux détiennent la majorité de la dette soit un gage de sécurité... Quand la tenue des comptes est, à ce point, catastrophique, il est difficile de penser que ces comptes soient à l’abri... Je pense même que ce qui empêche encore une fois le Japon de s’écrouler, comme ça a été le cas lors des deux crises qu'il a traversé (celle des nouvelles technologies et surtout celle du marché asiatique qui, justement, a créée cette dette colossale), c’est sa forte industrialisation ! Comme en Europe où le pays le plus épargné par la crise a été l’Allemagne, d’ailleurs...

 

Mais jusqu’à quel point l’industrialisation peut-elle tenir un pays dans un système qui favorise de plus en plus la capitalisation au détriment de l'innovation ? Là, pour le Japon, est la grande question... Je pense que ce pays est à la merci, du fait de sa faiblesse financière, du fait de son repli, du fait, aussi, de son besoin de matière première, de la prochaine grosse crise qui ne va pas tarder, celle des matières premières, là où les financiers qui ont spéculé avant sur l’immobilier ont placé maintenant leurs billes...


Ce n’est qu’une question de temps (mois où années, on peut déjà prendre les paris)...

 

Pour la Grèce, en particulier, et pour l’Europe, en général, on peut déjà dire que les carottes sont cuites, si il n’y a pas une réaction forte, et ce, pour plusieurs raisons :

 

Déjà, comme le dis « cultive » dans sa réaction, parce que la Grèce, comme une partie de l’Europe, est à la merci du marché boursier ! Les agences de notation et les traders parient pour où contre les pays comme ils l’ont toujours fait pour l’industrie ! Et là est la nouveauté ! Ainsi, la "crainte" d’un "effondrement" fait baisser la côte du pays, les boursicoteurs parient donc contre la survie de ce pays, ce qui provoque l’effondrement réel... la boucle est bouclée !

 

Et pourtant, quoi de plus sûr, dans l’absolut, qu’un pays ? Tant que la Grèce était maîtresse de sa monnaie, l’effondrement réel était impossible, puisqu’il suffisait, en cas de difficultés, de relancer la planche à billets (l’inflation) pour respirer un peu.

 

Maintenant, la Grèce est à la merci des autres pays Européens pour ça ! Et le refus du fédéralisme européen, seul gage de stabilité de l’Europe, permet la situation actuelle ! Le fédéralisme (la moins pire des plus mauvaises solutions) aurait permis à l’Europe de passer la crise quasiment sans encombre ! Encore aurait-il fallut que certains pays (l’Allemagne, par son industrialisation, mais aussi la fRance, pour ses rêves de grandeur passée et son illusion d’être encore une nation forte, entre autres) acceptent, dans cette solution, de partager avec les autres pays Européens aussi bien les bénéfices que les pertes (système social lissé, acceptation de "localiser" l’emploi -l’industrie en Allemagne, le social en fRance, le bâtiment en Espagne, pour schématiser-, mise en commun des prélèvements, etc...).

 

Ce serait, dans un système capitaliste, la seule possibilité pour une Europe confrontée à la montée en puissance des pays émergeant, mais aussi à la puissance boursière, de sortir économiquement la tête de l’eau sur du long terme, tout en évitant la casse sociale importante qui commence seulement à poindre son nez !

 

Mais ce fédéralisme veut dire l’abandon des prétentions absurde de "puissance" de l’état souverain ! Absurde parce que plus un seul état, Allemagne compris, n’a la possibilité de lutter efficacement de façon isolée...

 

Le deuxième problème lié à l’impossibilité vient des demandes suivies par l’Europe et portées par l’économie capitaliste : la suppression du système social... Parce que, en situation de crise, le pire, pour un pays dans ce système, c’est la crainte, le repli et surtout le manque d’afflux financier induit par une épargne importante ! Trop d’épargne tue le pays ! Or, quoi de plus effrayant que la crainte de perdre son emploi où la crainte de se retrouver, du fait d’un système social défaillant, en état de faiblesse financière importante, parce que la maladie où la vieillesse ne sont plus supportés par la solidarité ?

 

Le retrait de cette solidarité ne peut qu’induire, chez ceux qui peuvent encore le faire, une épargne importante ! Si cette épargne est bénéfique pour les spéculateurs, elle détruit le tissu économique du pays ! La tendance actuelle est donc "payticide", tout en favorisant le boursicotage !

 

On peut affirmer, donc, que nos dirigeants, et pas qu’en fRance, mais dans l’ensemble des pays dit "riches", jouent le jeu de la finance et de la globalisation au mépris de leurs pays !!!

 

Que va-t’il en sortir ? J’ai du mal à penser qu’un retour nationaliste soit possible ! Déjà parce que les nations n’ont plus la possibilité de s’autosuffire, ensuite parce que, on l’a vu, la priorité du capitalisme globalisé n’est pas la nation, mais, au contraire, la globalisation...

 

Par contre, et c’est plutôt effrayant, une situation conflictuelle serait toujours bénéfique pour les nations les plus en difficulté (relire Marx) ! D’où ce besoin constant d’armement ne répondant absolument pas aux nécessité des conflits actuels (les guerillas actuelles, dans leurs formes, ne nécessitent pas vraiment l’utilisation de sous marins nucléaires où de porte avion...)...

 

Toutes ces solutions ne répondent, évidement, absolument pas aux besoins de redistribution des richesses de la population, mais voilà où en est le système actuel, et, à part un changement radical de système, difficile d’imaginer une issue favorable à l’homme...

 

On viendra, bien entendu, me parler de l'Amérique latine, des Chavez, Uribe, Lula et autres...

 

Leur solution, celle d'un semblant de socialisme à échelle nationale, si on peut critiquer ce conformisme tendant à se faire passer pour humaniste là où il n'est qu'un moyen de sauvegarde du capitalisme, n'est même pas applicable dans le cadre de l'Europe ! Et ce, pour une raison toute simple : ces pays sont bien plus proche de l'autosuffisance que nous ne le sommes...

 

C'est, d'ailleurs, ce qui avait provoqué la réaction américaine il y a une trentaine d'années, puisque ces pays connaissaient déjà une politique quasiment identique de replis socialisant, et que cette solution, loin de convenir alors que nous étions pourtant encore loin de la globalisation actuelle et de ses ramifications gouvernementales, avait provoqué l'intervention indirecte du voisin nordique et la mise en place, sous la férule du FMI, de dictatures non pas, comme j'ai pu le lire, nationaliste, mais bel et bien internationales, un Pinochet ayant permis, tout comme ce fut le cas en Argentine, la mainmise des entreprises nord-américaine sur les richesses et l'industrie Chilienne.

 

A nous, donc, de renverser ce système pour en mettre en place un plus humain, et à nous, surtout, de l’imaginer, ce système plus humain !!!

 

Reste à espérer que la réaction Grecque sera suffisamment importante pour mettre en place les conditions de révolte nécessaires à ce changement et que, surtout, l'ensemble de l'Europe, nous, quoi, saura prendre part à cette révolte !...

Ecrit par joshuadu34, à 10:11 dans la rubrique "International".

Commentaires :

  libertaria22
06-05-10
à 21:57

La solidarité avec les anarchistes grecs est un premier pas dans la direction de ce changement, et ce malgré le choc qu'a pu être le décès des 3 personnes de la banque à Athènes.
En effet, quitte à choquer, cette guerre sociale qui est bien présente, imparable comme le sous-entend l'article, laissera de sombres traces, fera verser des larmes ; comment pourrait-il en être autrement ? sauf à ne rien faire. Mais ne serait-ce pas plus criminel alors ? vis à vis de ceux qui souffrent et souffriront davantage à l'avenir des choix des porcs qui nous gouvernent. 
La violence, si elle ne doit exister pour elle-même, si elle ne doit être irréfléchie et sans fin (pour la liberté de chaque individu, d'une humanité meilleurs) , n'en reste pas moins une arme difficile à manier, mais qui offre pourtant une des réponses possibles en fonction des situations pour les exploités, face à une plus grande violence encore de la part des exploiteurs.
Le travail le plus urgent qu'il y a à mener aujourd'hui est sans doute celui de ne pas rester enfermé dans des principes qui risqueraient de nous faire passer à côté d'une juste compréhension des actes choisis et assumés, et ainsi de ne pouvoir les intégrer, quoiqu'en fussent les conséquences, au sein de la guerre sociale en cours.
Répondre à ce commentaire

  Broutchoux
07-05-10
à 19:27

Re:

Je suis d'accord avec toi libertaria22 mais ce genre d'action à des limites. Elle est facilement instrumentalisée, que ce soit par la police, l'état, les fascistes ou autres... Elle justifie la répression. Enfin, si derrière il n'y a pas une volonté populaire de s'auto-organiser, ce type d'action ne débouchera sur rien.
Répondre à ce commentaire

  libertaria22
07-05-10
à 19:40

Re:

Mais bien sûr Broutchoux ! C'est pourquoi il est nécessaire de toujours garder en tête, si je puis dire, les objectifs qui sont les nôtres : l'anarchie, donc une forme d'organisation entre des individus plus libres, élaborant ensemble une société plus humaine et surtout plus juste !
Les moyens employés, quels qu'ils soient, doivent engendrer il me semble, et ça me parait logique, une critique adéquate apte à en tirer des leçons. Mais, ce qui me semble important, c'est de faire, même si le résultat parait maigre comparé aux attentes. Le pire étant de rester en situation d'attente, d'attendre que .....peut-être........plus tard........le contexte soit plus favorable........NON ! Le but d'êtres vivants, vraiment vivants, c'est d'agir. D'agir selon une éthique aussi.....toujours ! (donc rejeter la violence aveugle et irrésonnée, et la rejeter tout court si elle n'est plus ou pas de mise bien sûr selon la situ vécue)

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  EricCartman
09-05-10
à 05:43

Re:

bonjour,
 le problème également, c'est la violence légale des états envers la population :
Si les CRS chargent, c'est du maintient de l'ordre.
Si le peuple charge les CRS , le peuple se place en situation de délinquance aux yeux de la loi.

D'ailleurs, si je ne m'abuse, l'article 2 du traité de Lisbonne permet aux états membres de l'UE d'administré la peine de mort en cas d'insurrection  ou émeutes.

http://sos-crise.over-blog.com/article-36247025.html

ah ça ira les aristocrates à la lanterne ! Ah ça ira , ça ira les aristos on les PEN... !!!!
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  joshuadu34
09-05-10
à 11:28

Re:

Pour aller dans le sens de ce que tu dis, ce petit article paru, en fRance, sur juralibertaire, et qui, bien entendu, n'a pas été reppris par la presse officielle puisque la violence ne serait, selon eux, que le fait des "méchants anars"...

La brutalité policière qu’on a pu voir dans les rues d’Exarchia hier soir après la fin de la manifestation du deuxième jour de grève générale à Athènes est inédite. On peut nourrir de sérieux doutes sur la nature du régime actuel en Grèce, qui laisse tomber son masque démocratique pour se montrer tel qu’il est réellement : la poursuite de la junte des colonels.

 

À l’issue de la manif des centaines de policiers antiémeute et voltigeurs ont fondu sur Exarchia, le quartier du centre d’Athènes qui est un bastion extrémiste depuis le début du XXe siècle. La police a travaillé à matraquer les passants et les gens aux terrasses des cafés, saccageant le vieux café de la place Exarchia [celui à l’angle des rues Stournari et Tsamadou] malgré le fait qu’il soit bondé de clients.

Les habitants ont naturellement gueulé des slogans antifascistes, rappelant le souvenir récent des années de junte militaire et assimilant les flics aux SS. La fureur policière a redoublé, frappant tous ceux qui se trouvaient sur leur passage et investissant un immeuble d’habitation. Ioanna Manoushaka était à l’entrée de chez elle criant que les flics avaient fait de la vie un enfer dans le quartier quand ces derniers l’ont attaqué, lui cassant le bras et des dents. Elle a couru se réfugier à l’étage s’enfermant chez elle, ce qui n’a pas empêché les policiers antiémeute de la suivre et d’essayer de forcer sa porte cinq minutes durant lesquelles elle et son mari, un compositeur célèbre, ont dû se barricader.

 

 

Gueulant «ce soir on vous nique», la police a ensuite envahi et dévasté le centre social Diktio qui accueille les immigés, le Réseau des droits sociaux et civils, un collectif de gauche actif contre le terrorisme d’État depuis plusieurs décennies. Selon le communiqué de Diktio, «le gouvernement du FMI et de la junte du marché tente d’exploiter le geste criminel de la banque pour imposer un régime de terreur dans le pays. L’orgie de gouvernance policière par l’usage d’armes chimiques et de matraquages de masse a atteint son paroxysme cet après-midi à Exarchia.»

 

Au même moment une armada de forces de police entourait le squat anarchiste de la rue Zaimi au-dessus de Polytechnique, pour l’envahir et évacuer ses occupants l’arme au poing. Le fait qu’un policier ait tiré en l’air pendant cette opération n’a pas été confirmé. Tous les occupants ont été raflés.


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  Rakshasa
09-05-10
à 22:31

Re:

"D'ailleurs, si je ne m'abuse, l'article 2 du traité de Lisbonne permet aux états membres de l'UE d'administré la peine de mort en cas d'insurrection  ou émeutes."
Sauf qu'en France la peine de mort est anticonstitutionnelle même en cas de guerre (depuis Chirac). Et en faisant quelques recherches on s'aperçoit qu'il y a quelque chose d'hoax dans cette affirmation sur la réintroduction de la peine de mort par le traité de Lisbonne. A vérifier de toute urgence donc !

(j'ai trouvé ça par exemple: "En réalité, seul la Russie et l'Azerbeidjan ont signé l'article 2-2.
Les autres pays, dont la France, ont signé l'article 8 ( pas sur du chiffre), interdisant la peine de mort, même en temps de guerre.")
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  eve196809
10-05-10
à 14:00

Re:

La confrontation avec le facisme financier était à prévoir.

Mais on peut essayer cette nouvelle tactique : le DELTA KRATOS en l'honneur du Peuple Grec et du Génie Grec dont nous sommes les héritier(e)s. VOICI : Copier coller  Traduire SVP.

___________________________________________________________

FRANCAIS

Puisque le Peuple de Grèce est mobilisé à ce point il peut paralyser la Bête capitaliste à son talon d’Achille : l’énergie.

Voici comment : à heure minute et seconde fixe, donnée par exemple par l’apparition d’une image ou d’un son sur un système médiatique du Capital lui-même, IL ( le Peuple à travers chacun de ses éléments) coupe le courant à l’interrupteur, une seconde, puis remet le courant. Chaque individu crée simultanément un signal appellé DELTA, d’autant plus ravageur qu’il est bref et synchronisé.

Seul un peuple en insurrection pacifique et voulant créer une rupture ( DEMOS KRATOS) dans sa propre histoire peut effectuer une telle figure.

Alors le système électrique ( distribution et appareils) du système capitaliste reposant sur la circulation de l’électricité à ce stade de sa révolution industrielle est détruit en plusieurs endroits qui finissent par imploser tout le système en peu de temps.

Mais il faut savoir ce qu’on veut faire de cette situation qui est une rupture et en même temps contre-carre toutes les tentatives de création et exploitation de scènes de violence qui accompagne la forme "manifestation dans la rue".

CECI EST UNE ARME NOUVELLE. QU’ELLE SERVE LA VIE CONTRE L’ENERGIE BELLIQUEUSE.


ENGLISH

As the people of Greece is volonteer to that point IT can paralyse Capitalist Beast at the Achille foot part : energy.

How to proceed : at a fixed hour minute and second, for example an image or sound at media mainstream , IT cut electrical power for a second and then put it on.

that signal is called a DELTA. All the more efficient as it is short and synchronized.


Only a  people  wish disrupt in its history without  exploitation of violence scenes  can do that.

Thus the capitalist industrial plants go down seperately at begining then collapse.


THIS IS A NEW WEAPON. SHOULD IT SERVE LIFE AGAINST WAR ENERGIES.


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