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L'En Dehors


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Tentative de réorganisation chronologique de l'affaire dite "de Tarnac"
Lu sur LE TIGRE : "Mars 2007.
Xavier Raufer, « spécialiste » de la criminalité, rend un rapport à Réseau Ferré de France (RFF) [1], en charge des lignes de chemin de fer. Il y écrit, sur un ton apocalyptique qui n’est pas si lointain de L’Insurrection qui vient : « Le réseau ferré — qui dépend lui-même d’autres réseaux, électrique, télécommunications et informatique — est à la fois crucial et attaquable. D’autant plus que nous avons, en fait, affaire ici à des écheveaux de réseaux imbriqués, tout spécialement fragiles à leurs interconnexions, branchements et points de rencontre. » Parmi toutes les menaces possibles, il liste les « coupures de câble ».

8 juin 2007.
Le Figaro évoque [2] l’intérêt de la police pour la « mouvance anarcho-autonome » : « La surveillance des groupes violents d’extrême gauche est redevenue une “priorité opérationnelle” pour les Renseignements Généraux [...] Qualifiés “d’anarcho-autonomes” par les services de police, ces militants sont plusieurs centaines en France dont une cinquantaine en Ile-de-France où ils occupent une demi-douzaine de squats “politiques”. S’y ajoute plus d’un millier de sympathisants actifs dont 150 à 200 à Paris. Leurs lieux d’implantation (Toulouse, Rennes, Nantes, universités parisiennes de Nanterre, de Tolbiac ou de Saint-Denis…) correspondent souvent à des bastions du mouvement anti-CPE au cours duquel ils ont commencé à faire parler d’eux. Ils ont ensuite redoublé d’efforts à l’occasion de la présidentielle. [...] Changeant de stratégie, ces partisans de l’action directe ont tout d’abord privilégié l’attaque de locaux de partis politiques toutes tendances confondues. En région parisienne, 35 permanences ont été prises pour cible : 21 pour l’UMP, 8 pour le PS, 3 pour les Verts et 2 pour le Parti communiste. »

Été 2007.
« Le criminologue Alain Bauer [3], raconte Le Monde du 4 décembre 2008, pianote un matin, comme à son habitude, sur le site Internet de la Fnac et Amazon.com en quête des nouveautés en librairie lorsqu’il tombe par hasard sur L’Insurrection qui vient. Le consultant en sécurité y voit la trace d’un “processus intellectuel qui ressemble extraordinairement aux origines d’Action directe” et, sans barguigner, achète d’un coup quarante exemplaires. Il en remettra un en mains propres au directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, assorti d’une petite note. » Lire la suite
Ecrit par Broutchoux, à 15:38 dans la rubrique "Actualité".



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