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L'En Dehors


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Face au miroir
Lu sur e-torpedo : L’esprit du monde ne sait manoeuvrer que dans l’enfermement et par l’enfermement. L’esprit du monde est un esprit carcéral. C’est un esprit de division ; division binaire, posant les contradictions par le conflit des deux faces d’une même pièce. Dans cette division, il n’y a pas de solution, sinon par la disparition du miroir. Le monde de la division est un monde à deux faces, sans relief, âpre, dure, qui repousse toutes les autres dimensions dans l’imagination, le fantasme, le cauchemar. Un au-delà défini comme fou, absurde, sordide. Dépasser les clivages, c’est tenter de faire descendre ce ciel de l’enfer sur la terre, afin, peut-être, de pouvoir y butiner quelques idées rafraîchissantes.

Dès le début de l’écriture officielle, est apparue la division.

Division entres les sexes, figeant chacun dans un rôle attribué par ses organes, contre la richesse de notre esprit.

La Genèse développe cette idée de la division, en définissant les rôles orientés hétérosexuellement, la femme se réservant le rôle de mère qui se charge des tâches ménagères, et l’homme, celui du père en charge de ramener par son labeur, de quoi nourrir la famille.

C’est ce schéma qui est toujours en application aujourd’hui, cimenté par des lois.

Contrairement à ce que veulent bien en dire les milieux de la contestation, ce n’est pas en ajoutant un sexe dans l’orthographie des mots, qu’on en finit avec cette question, parce qu’elle est une question pratique, et non théorique.

Casser la structure représentative du mâle et de la femelle ne se fait pas par simple volonté, mais doit cependant se faire par plaisir.

Il ne s’agit pas de renverser le sadisme véhiculé dans le couple hétérosexuel, en masochisme qui isole et détruit, mais de tenter une approche au bord de la falaise pour prendre son envol et aller au-delà.

La première question qu’il me semble important de soulever est la question des sexes.

Trop souvent, il est attribué à chacun, un sexe en fonction de ses organes.

Hors, il n’existe qu’un seul organe sexuel, c’est le cerveau.

Et il n’y en a pas d’autre. Le cerveau est le seul organe du plaisir sexuel. C’est par lui qu’est provoqué l’orgasme sexuel.

Tout de notre être trouve sa source dans la tête.

Le reste étant le moyen qu’à notre tête de réaliser ses divers désirs fantasmatiques. L’érection de la verge est la conséquence d’un mouvement complexe situé dans le cerveau, et non dans la verge elle-même. Si on veut en finir avec la division entre homme et femme, division qui ne fait qu’éloigner chacun dans des rôles, il faut, pour cela, restaurer la place centrale du sexe là où elle se situe.

Réduire le sexe à un organe, c’est faire le même type d’erreur de parallaxe que Ptolémée croyant la terre au centre du monde par sa simple observation du ciel, lui faisant croire que tout l’univers tourne autour. Il a fallu attendre Copernic et l’aide de ses instruments d’optique pour mettre à terre l’Astrolabe.

En ce qui concerne la nature sexuelle de l’homme, bien des Copernic sont intervenus. Mais aucun n’a été entendu à sa juste démesure, parce que le sujet touche au plus près de l’intimité, déstabilisant le bâti sur lequel se construit cette fausse identité, l’Homme, la Femme, le Père, la Mère, tenue pour fondatrice, cependant. Car l’identité de chacun est d’abord établie par l’organe visible que l’on tient pour le sexe. Mais, le sexe est vraiment dans sa nature par son érection, son gonflement, son excitation. Sinon, ce n’est qu’un organe pour uriner.

Cette distinction est essentielle.

La confusion entretenue entre l’organe et l’être, réduisant celui-ci à celui-là, engendre la division et la répression. Et c’est là dedans que les couples se constituent et arrivent à évoquer l’amour. Pas longtemps, toutefois, parce que l’artifice ne peut consolider les sentiments. C’est par cet artifice qu’apparaît le désir d’enfantement, censé consolider une relation.

Et, bien souvent, cela ne fait que provoquer un éclatement déjà bien entamé.

Quel triste chantage, au passage, que de prendre l’enfant comme moyen de pression afin de consolider une relation. Et quel vain espoir.

Notre être sexué est bien plus complexe que ne le laisse paraître les organes.

Comme être, nous ne sommes pas assujettis à nos organes, mais l’inverse, nous les soumettons à notre volonté.

Je dis bien comme être, et non comme mammifère plus près de la race bovine que de l’espèce humaine.

Ce n’est pas une question de morale, mais de responsabilité, c’est-à-dire de liberté.

Cette liberté qui, seule, peut trouver sur le terrain des sexualités, la force de se manifester, malgré la morale (qui puise sa source dans le christianisme) qui en freine l’élan.

Des sexualités, donc.

Non, de la sexualité.

Se définir comme être sexué, c’est tenter une approche multiple de notre être, et non s’enfermer dans les critères qui nous formatent pour la bonne marche de l’hétérosexualité du monde.

Il y a de multiples approches sexuées, en fonction de la sensibilité de chacun, et du degré d’acceptation que l’on retient de ses penchants. Par simplification, j’évoquerais l’homosexualité, dont la diversité contredit le terme, et le travestissement de l’homme hétéro-sexuel, dont la singularité apparente cache une multitude de comportements.

Les anglo-saxons ont un mot pour dire la diversité des sexualités : transgenre.

En effet, il s’agit bien d’aller au-delà de notre genre déterminé par nos organes. Découvrir une autre dimension de notre être, que la morale s’acharne à juguler dès l’enfance, pour le besoin de la reproduction de l’espèce en vue de garantir à un État sa pérénnité. Les lois qui encadrent le mariage et la maternité n’ont pas d’autre objet. La pyramide des âges, cette autre objectivité de la division, est cette courbe démographique que seul, retient l’intérêt de l’Etat.

La dimension poétique n’est, pour l’Etat, qu’une scorie.

Des sexualités, je place en saillie l’équivoque du travestissement. Une approche tangible, mais inaccessible. Le travestissement, parce que je veux évoquer ce qui peut s’élever à un art du raffinement, pourvu qu’il y ait élégance. Car, en matière sexuelle, le vulgaire, pour atteindre la dimension d’un art, doit devenir un style, bien que l’élégance est déjà, par elle-même, un style. Une certaine élégance dans le raffinement, voilà ce que j’essaie d’atteindre en évoquant le travestissement.

Le travestissement renvoie à la critique des rapports dominants ; la critique de la sexualité normée.

D’abord, il faut dire que rien n’est normal en matière sexuelle, sauf l’accouplement pour la reproduction, mais comme critère strictement biologique. Car telle est la fonction des organes sexuels. Dès l’instant où le plaisir intervient comme élément fondateur des relations humaines, alors plus rien n’est normal en ce domaine. Le travestissement ne saurait rentrer dans une norme.

Le travestissement, chez l’homme, a toujours été reconnu, mais pas toujours partout, et pas toujours de la même façon, selon la classe sociale à laquelle l’individu appartient, ou selon la tribu qui ne connaissait pas les rapports de classes.

Dans le prolétariat, seul le déguisement uniforme pour les besoins d’un métier est reconnu.

Non le travestissement, qui est vécu comme une violence, une négation des attributs masculins, une émasculation.

La femme prolétaire n’échappe pas à un tel rejet vis-à-vis du travestissement, parce qu’elle se voit spolier ce qu’elle prend pour une part de son être, son identité.

Le prolétaire -déjà privé de l’essentiel- se voit là, privé de ce qu’il prend pour son être propre, l’exhibition de ce qu’il pense être sa force, la masculinité manifestée par le port du pantalon, et qui est le symbole de la virilité.

Mais, il n’y a rien de viril là dedans, seulement le spectacle que constitue l’exhibition d’une masculinité, et qui se manifeste par un comportement autocrate et orgueilleux, comportement que partagent bien des femmes, trop souvent par désir mimétique.

Le travestissement n’est pas un comportement évident et facilement acceptable par la masse spongieuse de mes congénères.

Remettre en cause la légitimité de ses attributs, et rechercher en chacun de nous ce qui nous constitue à la fois comme homme et femme, non dans une opposition des genres, mais par leur unification, c’est là la signification que je mets dans l’idée du travestissement.

Chaque individu a exactement la moitié des gênes de la mère et la moitié de ceux du père. Chaque individu est constitué de cette apparente contradiction des deux sexes.

L’identité sexuelle est le produit d’une société, non celui de notre être propre.

Et cette identité se manifeste en rivalité plutôt qu’en unité.

Dépasser cette rivalité destructurante et mortifère, c’est rechercher la diversité des genres qui ne nous fixeraient plus dans le vieux modèle hétérosexuel qui place chacun en rival de l’autre. Le vieux modèle hétérosexuel est à l’image du vieux modèle racialiste, un système violemment exclusif, qui oblige le mâle à jouer son rôle de dominant face à d’autres prétendants, et à soumettre sa femelle pour qu’elle ne lui échappe pas, laquelle se blottit sans discussion contre cette force qui la protège, comme on le rencontre dans le règne animal, à l’identique du Blanc qui croit devoir protéger sa « race » face aux hordes de Noirs envahissantes.

Pourquoi le travestissement ?

Parce que je recherche la fragilité dans mes relations ; l’endroit de notre nudité.

Pas celui où il est bon de se blottir contre des bras virils, mais là où la force est contenue dans sa propre mise à nu de notre être. Déambuler publiquement travesti, provoque les certitudes établies par notre éducation. Là, il faut faire appel à ses propres ressources pour ne pas se laisser envahir par l’adversité, dites ou non-dites.

Qu’est-ce que le travestissement, au fond ?

D’aucuns y verront une perversion.

Ce n’est pas une perversion, ou alors il faut admettre que tout de notre être sexué est perversion, parce que la nature de la sexualité est la reproduction en vue de conserver et perdurer l’espèce, et non la recherche d’une identité et du plaisir. La sexualité de nos relations contient l’identité comme élément structurant notre être. C’est cela, fondamentalement, qui fait notre être sexué. Ce n’est pas la libido. La libido est comme l’essence qui fait avancer un moteur ; mais elle n’est pas le moteur.

Notre identité, comme être sexué, est multiple, et non unique.

Cela dépend des circonstances comme de sa propre sensibilité.

Chacun de nous a plusieurs identités, selon qu’il est en public, confronté à son travail, en couple, seul devant sa glace.... Dans chacune de ces circonstances, personne n’est à la fois tout à fait identique à lui-même, et tout à fait un autre. Bien des névroses apparaissent de ce qu’il n’est pas évident d’accepter en soi cette multitude qui nous bâtit, tant la pression sociale nous oriente vers un critère rigide de comportement, rejetant les autres faces de notre être dans la pathologie. Dans ces conditions de violence envers ses penchants, il ne me semble pas surprenant l’apparition de l’instinct de mort qui, partout, se manifeste avec violence, notamment par l’emploi des forces répressives de l’Etat, ce monstre froid, afin de juguler tout débordement charnel, toute expression du désir.

La recherche de notre intime le plus profond est un interdit.

L’Etat Civil impose à chacun une identité impossible à remettre en cause.

Alors, que reste-t-il sinon vivre en secret ce qui nous constitue, ou bien tout faire pour l’ignorer...

C’est de là qu’est vécu le travail comme un devoir envers les siens, mais contre la vie. C’est aussi une question de reconnaissance.

Aujourd’hui, le travail et la famille hétérosociale forment le socle sur lequel s’appuie le monde pour se reproduire sans obstacle critique. Figé dans des structures rigides hétéronormées, il n’y a plus qu’à fonctionner, comme l’aveugle dans les ténèbres.

Il faut, à l’espoir, la force de submerger les ténèbres.

Alors, rechercher l’entièreté de notre être, ramasser les morceaux éparses, les réunir en un seul être, cette idée incongrue encore de nos jours si triste... Dépasser l’opposition entres les genres, les unifier en un seul, qui est le genre humain, peut-être est-ce là un impossible horizon. La blessure est si béante, qu’il devient presque déplacé de vouloir colmater cette brèche entres les genres. Être blessé, c’est être en position de victime. Être victime est confortable parce que ça appelle à discourir. Ça justifie le discours par les sentiments. Tandis qu’inculpé, ça provoque l’exact inverse des sentiments.

Le coupable a toujours tort, même lorsqu’il a la raison.

Et cette raison renforce son tort plus que cela ne le disculpe. On a tort d’avoir raison lorsqu’il s’agit de moeurs. Revendiquer son désir de se vivre transgenre est coupable aux yeux du monde de la morale instituée. Non, dans les cercles à la mode du spectacle, lesquels sont inféodés au commerce, tant que le spectacle de cette mode peut s’en nourrir.

Je parle de l’être comme transgenre en dehors des modes, c’est-à-dire là où moi-même j’aime me retrouver, là même où je me trouve en abîme, à la limite du précipice, là où aucune séduction n’opère véritablement. A cet endroit précis, se définir par ses penchants est périlleux, parce que cela renvoie à sa singularité, laquelle n’est jamais comprise, et donc acceptée, sinon par courtoisie ou culpabilité.

Poser le problème de la différenciation des sexualités, c’est poser le problème des désirs, c’est-à-dire des non-désirs dans leur violente manifestation. Quel besoin de se dire, lorsque la vie va ? Inutile détour.

On respire sans devoir y réfléchir.

Or, entres les êtres, rien ne va. Tout, ou presque est faux, dissimulation, égoïsme, autorité, éloignement, appropriation... Et qui fait que l’entretien des relations se réduit à un usage, au lieu de s’augmenter de plaisir.

Il n’est que fort peu de plaisirs possibles, parce que l’isolement renforce le sentiment de concurrence entres les individus. C’est ce qui consolide le couple jusqu’à saturation. Il reste le plaisir factice apporté par l’orgasme, qu’une lassitude finit par transformer en mécanique ; copulation de travailleur exercée par devoir.

Partir à la recherche de la richesse de son intimité est une démarche volontaire.

Mais, cela se construit trop souvent à travers l’adversité, sous la pression d’un fort sentiment de culpabilité.

Combien, qui s’y essaient, succombent... trop, certainement. C’est ce que le monde démontre de par sa cruauté quotidienne.

Oser s’abandonner à son être érotique, et le monde tournerait probablement dans l’autre sens.

S’ouvrir à l’insoupçonnable dimension transgenre ; que les hommes dévoilent leur nature féminines, et les femmes, leur nature masculine, dans un renversement des rôles attribués à chaque sexe - je dis renversement, je ne dis pas échangisme - afin de trouver l’unité de notre espèce comme être humain, et non plus vivre divisé en deux genres humains distincts, c’est là, le sens véritable de la révolution.

Toutefois, renverser la rigidité des moeurs ne se fait pas par décision, mais avec passion. Il faut y ajouter de la volonté. Une passion sans volonté est comme un avion sans pilote. Il faut vouloir s’aimer. Cette direction est justement la plus difficile à trouver et à emprunter, parce qu’elle n’existe pas au départ. Au départ, il y a soi. Et c’est en avançant que le chemin se fait. On commence par emprunter un chemin qui n’existe pas. Première difficulté ; premier obstacle ; envie de retourner au point de départ. Mais, le point de départ s’est perdu dans le passé. On avance. Et plus on avance, plus le passé s’épaissit, de sorte que tout retour en arrière devient impossible, même en imagination. Entre regret et nostalgie, l’oubli est de rigueur. Là dedans, faire émerger son être sexué est provoquant. Le plus souvent, en public, ce que l’on montre, c’est notre être asexué, bridé, conforme, conventionnel, normé, avec cette petite touche de distinction qui fait croire à une note singulière, non ce que la pudeur juge pour de la fantaisie, et que d’aucun ressente comme une perversion. Les images habituelles de l’homme et la femme ne traduisent qu’une représentation plastique, mais non réelle de ce que sont les individus en leur intime. En leur intime, rien ne permet de diviser en deux genres distincts, homme et femme. Nous ne sommes pas réductibles à nos organes. Et pourtant, chacun, ou presque s’évertue à paraître conforme. En matière sexuelle, aucune dissidence n’est reconnue, parfois seulement tolérée. Cette conformité trahit l’asservissement des désirs aux conventions, plus qu’un respect des convenances. Et le refus du désir est reconduit en permanence. Chacun reste prudemment à la place qui lui est assigné par son identité officielle. De sorte que la remise en cause des moeurs apparaît comme une sorte d’expérimentation provoquée intentionnellement, non comme un élan vers la découverte d’une part intime de soi dans un rapport à l’autre.

Tout ce qui va à l’encontre des comportements urbains est violemment vécu, et rejeté comme scandaleux, y compris chez ceux que leur contradictoire morale fait dire l’inverse. Parce que, rien de ce qui est de la morale peut subvertir. Précisément, la subversion, c’est tenter renverser l’ordre moral, forcément dominant, non s’accommoder d’un aménagement qui ne fait que s’installer dans le confort de son esprit. On peut m’objecter qu’il n’y a aucune raison de refuser un tel confort.

C’est vrai pour qui aime demeurer en son tombeau, non pour qui cherche à voir au-delà de l’horizon.

Nous vivons au coeur du monde de la division, en plein coeur du cyclone, d’où l’impression de calme, car au coeur du cyclone, un silence étonnant donne l’impression d’un grand calme.

Nous arrivons à cette époque redoutable qui fait que nous naviguons dans un inconscient collectif envahissant.

Nous ne sommes plus au temps du mépris, source de bien des révoltes, mais à celui de l’ignorance, source de bien des soumissions.

Toutes les divisions sont agissantes, mais avec l’impression de les avoir dépassées. Homme/Femme, Jeune/Vieux, Blanc/Noir, Marié/Célibataire, Rmiste/Diplômé, Salarié/Chômeur....

Et la raison est impuissante à contrarier ces divisions. Nous sommes soumis à nos affects, qui fait que rien n’est possible s’il ne rencontre pas une affinité sélective.

- Le temps est-il venu de mettre un grand coup de pied dans ce tissu de mensonges ?

- Ou bien, le mensonge est-il encore suffisamment convaincant ?

Tant que durera les convictions avec lesquelles nous bâtissons notre être, rien ne sera possible. Mais qu’advienne ce temps, et le péril sera grand de tout remettre en cause, parce qu’il est à craindre qu’il sera trop tard.

Individuellement, nous ne pouvons que nous vivre clandestinement.

On ne se révolte pas par famine, mais par désir.



Publié le 20 juillet 2008 par Gilles Delcuse



Ecrit par satya, à 14:55 dans la rubrique "Pour comprendre".



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