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Le double-discours de Strauss-Kahn en Argentine

Lu sur Amerikenlutte : "Bien que reconnaissant que pour un pays comme l'Argentine le FMI avait été "le diable", le futur président de l'organisme international, le français Dominique Strauss-Kahn a insisté sur le fait que le gouvernement argentin a deux possibilités de renégocier la dette de plus de 6 milliards de dollars avec le Club de Paris : payer la dette avec des réserves ou accepter l'intervention du FMI dans le refinancement, comme l'établit le statut du Club de Paris lui-même. Les deux possibiltés sont rejetées par le gouvernement.

Le président Néstor Kirchner a révélé hier que, pendant sa rencontre de lundi avec Strauss-Kahn, celui-ci avait reconnu que "l'Argentine avait raison" dans ses reproches à l'organisme.

"Aujourd'hui même les personnes qui veulent conduire le Fonds viennent nous dire que cette conduite du Fonds a été comme le diable lui-même pour l'Argentine", a affirmé Kirchner (...) 

De son côté, pendant une entrevue accordée au canal de câble Todo Noticia, Strauss-Kahn a admis que "dans un pays comme l'Argentine l'intervention (du Fonds) a été catastrophique, avec des conséquences dramatiques pour des  millions de personnes et ceci est ce qui doit changer". S'il restaient des doutes, il a ajouté que "dans un pays comme l'Argentine le FMI, pour beaucoup de personnes, est le diable, et il y a de bonnes raisons pour que l'opinion en soit ainsi".

Toutefois, au moment de parler de la dette que maintient l'Argentine avec le Club de Paris, le français n'est pas sorti de son petit livre. D'une part, il a fait comprendre que l'Argentine devrait payer avec ses réserves, comme le prétendent les pays européens : "Le niveau de dette par rapport aux réserves qu'a le pays n'est pas un grand problème pour l'Argentine". D'un autre côté, il a clairement précisé qu'en en cas de renégociation, "il y a des règles du Club de Paris qui ne permettent pas d'éviter la discussion avec le FMI".

Pagina/12, 06 septembre 2007. Traduction: http://amerikenlutte.free.fr

Ecrit par libertad, à 09:18 dans la rubrique "International".



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