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Fin du pétrole : socialisme libertaire ou barbarie

Aucun projet historique ne semble mobiliser l’énergie. Nous vivons dans l’ère du vide. Pendant ce temps, presque en silence, dans l’apathie et la torpeur quasi générales, un drame s’accomplit : la fin du pétrole bon marché dans une société fondée essentiellement sur... le pétrole bon marché. En dépit du bluff, de la manipulation des données (évaluation surestimée des réserves), des déclarations optimistes, nous nous approchons du fameux pic de Hubbert, c’est-à-dire du moment où la production ne pourra plus satisfaire la demande (2010, 2012, 2015 ?). L’amélioration des technologies d’extraction du pétrole n’y changera rien. Le volume des découvertes décline depuis le milieu des années 1960. Il devient nécessaire de creuser de plus en plus de puits pour finalement découvrir de moins en moins de pétrole.

Par ailleurs, le remplacement du pétrole conventionnel par le non conventionnel (sables asphaltiques, huiles extralourdes...) ne satisfera qu’une partie dérisoire des besoins. Et il n’y a aucune alternative sérieuse au pétrole, étant donné les coûts écologiques, énergétiques et financiers. La conséquence directe est l’inflation des prix des produits pétroliers qui atteindra des secteurs vitaux de l’économie : agriculture, pêche, transport, tourisme. Il faudra globalement se déplacer moins vite, moins loin et moins souvent.

De graves conflits

Les gouvernements s’efforceront de retarder l’échéance en accordant des compensations financières face aux revendications des différents acteurs sociaux. Mais ce replâtrage sera de courte durée : la hausse des hydrocarbures sera brutale et irréversible (certains économistes prévoient un baril à 300 dollars en 2015 !). Notre grande dépendance au pétrole, des habitudes tenaces de consommation, la forte croissance asiatique maintiendront pendant encore longtemps une demande élevée pour des raisons quasi vitales. Aussi les dirigeants des pays industrialisés emploieront-ils tous les moyens pour garantir leur approvisionnement pétrolier. Nous risquons donc d’entrer dans une ère d’intensification (car ils existent déjà) de conflits internationaux, de guerres permanentes pour l’accès au pétrole et son contrôle (lieux de production et d’acheminement). Et aussi d’assister à une nouvelle forme de terrorisme, les conditions se trouvant souvent réunies.

La récente affaire du gaz russe montre assez bien ce qui pourra survenir dans un avenir proche. Pour punir l’Ukraine, Gazprom, le géant russe du gaz naturel, avait réduit ses livraisons de 100 millions de m3, occasionnant ainsi une chute d’approvisionnement en Europe (14 % en Pologne, 25 % en Italie et en France, 40 % en Hongrie). Un coup de gueule de l’Europe devait suffire à assurer un retour à la normale.

Jusqu’à quand ? Un exemple parmi d’autres de l’utilisation de l’énergie comme moyen de pression économique ou politique.

Un chaos social

La volonté des classes dirigeantes de protéger les intérêts de l’industrie pétrolière a conduit les gouvernements à éliminer les solutions qui se présentaient : réduction de la production, économies réelles d’énergie et de matières premières, développement des énergies renouvelables. C’est donc dans l’urgence que s’effectuera cette transition vers l’après-pétrole. Et ce sont, bien entendu, les classes les plus vulnérables qui subiront le plus lourdement cette flambée des prix qui concernera quasiment tous les secteurs. Après avoir souffert des conséquences du modèle économique fondé sur le pétrole (chômage, exclusion, délocalisations, précarité), ce sont ces mêmes catégories sociales qui vont connaître, avec le déclin du pétrole, des conditions de vie de plus en plus difficiles.

Restrictions imposées ou consenties dans l’accès aux biens et aux services, fragilisations, instabilités, affrontements, ruptures. Jusqu’où pourront aller ces « dynamiques sociales » à l’œuvre ? Quelle ampleur pourront prendre les émeutes populaires face aux pénuries ? Faudra-t-il parler d’effondrement économique et social, voire d’économie de guerre ?

Comment les grandes villes s’adapteront-elles aux difficultés d’approvisionnement ?

Les expérimentations positives, plus ou moins longues à mettre en œuvre (autoproduction pour certains, jardins familiaux, circuits courts, troc, réseaux d’entraide, coopératives alimentaires...), n’empêcheront pas un nombre important de familles, de ménages, de subir douloureusement ce choc, à commencer par la perte d’emploi due aux restructurations des secteurs les plus touchés ou à l’impossibilité financière de se déplacer, et toutes les conséquences prévisibles (restrictions sur l’alimentation, le chauffage, la santé, l’éducation, les loisirs...). De nombreuses galères en perspective : tragique dénouement d’une civilisation qui avait promis l’abondance pour tous.

Réussir la révolution

Les bouleversements sociaux considérables, que certains reprochent aux anarchistes de vouloir provoquer, vont se produire. Et c’est le système capitaliste lui-même, empêtré dans ses propres contradictions, qui les aura engendrés ! Notons au passage qu’il paraît hautement probable que les dirigeants passés et présents, parfaitement informés des conséquences de leurs décisions, ne paieront jamais pour l’impréparation coupable, la gabegie criminelle dont ils auront été les auteurs.

La révolte grondera, c’est la seule certitude. L’issue est aléatoire : socialisme libertaire ou barbarie. La mondialisation n’a pu se réaliser que grâce au pétrole bon marché ; par conséquent, en perdant l’or noir, le capitalisme se verra privé de son arme principale. Si nous ne sommes pas capables de profiter de cet affaiblissement considérable pour construire la gestion directe des ressources, la maîtrise collective de la production, le partage des richesses par la solidarité et l’imagination, attendons-nous à voir se développer les gangs, les mafias, la corruption, le crime ou à subir les mesures draconiennes d’États totalitaires au nom de la sauvegarde de la planète.

« Dès aujourd’hui, nous devons nous impliquer dans la vie municipale en participant aux élections, en assistant aux réunions du conseil... », voici tout ce que trouve à écrire Yves Cochet, docteur en mathématiques et ancien ministre de l’Environnement, dans un livre par ailleurs bien documenté Pétrole Apocalypse (Fayard). Coluche se serait écrié : « Quand on n’a que ça à dire, on devrait fermer sa gueule. » Il est toujours aussi navrant de voir un intellectuel, parfaitement lucide sur les conséquences dramatiques de l’après-pétrole (la lecture du livre le prouve), prôner une nouvelle fois le réformisme, le parlementarisme, c’est-à-dire la stérilité. Ceux qui détournent, par lâcheté, l’énergie des populations de la seule voie porteuse d’avenir - la révolution sociale et libertaire - portent une lourde responsabilité. J.-P. T.

Jean-Pierre Tertrais milite au groupe La Sociale de Rennes de la Fédération anarchiste

in le Monde libertaire # 1428 du 2 au 8 mars 2005

Le Monde libertaire, hebdomadaire de la Fédération anarchiste, adhérente à l’Internationale des Fédérations Anarchistes

Ecrit par CNT 63, à 17:24 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  lecathare
06-06-06
à 18:43

après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

donc la révolution c'est pour trés bientot si j'comprend bien ? ç pas trop tot.... (ç vrai que j'avais oublié que toute l'économie de cette société capitaliste industriel et totalitaire est basé sur le pétrole) ce qu'il faut craindre par contre c'est que la "bete" capitaliste aux aboies et tout ses serviteurs fachos et politiciens et autres industriels avec l'aide de leurs chiens de garde l'armée et la police ne voudront sans doute pas disparaitre et perdre leurs profits sans détruire le monde et entrainer toute l'humanité et la planéte dans leurs chute ? est ce que je me trompe ? si comme le texte le dit ont pourra enfin pratiquer l'autogestion ainsi que la solidarité entre les peuples, et la répartition des richesses, les fachos et les industriels eux choisiront certainememnt la barbarie et comme nous l'apprend l'histoire ils comploteront pour faire échouer l'insurection et pour briser les rebelles et retourner la perte de reperes des gens contre les révolutionnaires ... donc comment peut on s'organiser dès à présent pour empecher cette possible barbarie, faut il penser déja à l'après révolution pour assurer la réussite de la révolution ? il faudrait saboter dès le début  de toute révolution tout les moyens matériels barbares et inhumain que pourraient utiliser les fachos et les industriels pour qui la fin justifie les moyens ...
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  Anonyme
06-06-06
à 22:36

Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

Allez, puisque c'est l'heure du tiercé, voici mes prévisions (sans boule de cristal).
Retour de chefs de guerre locaux, héritiers plus ou moins légitimes de la clique de notables actuellement en poste dans toute l'europe.
Un fascisme local en quelque sorte. Pourquoi parler d'alternative libertaire ? Les moutons rejoindront un autre berger, armé et délimitant son territoire.
La seule question qui se pose encore, à mon avis, est: encore un pouvoir central ? Ou dissolution totale dans un régionalisme que De Gaulle n'imaginait surement pas comme ça.
Les fachos ont encore de beaux jours devant eux. Nous ferions mieux de nous y préparer (et devenir nous même des colonies fachos, faut pas rêver).
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  Tentacule verte
06-06-06
à 22:47

Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

Le nucléaire , les éoliennes , le solaire , la géothermie , le pétrle vert ... Chacune de ces énergies ne peut rivaliser avec le pétrole , mais toutes ensemble . Le pétrole n'est déjà plus qu'un mauvais souvenir . Désolé pour les futur-nostalgiques de la post apocalypse ....
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  Anonyme
07-06-06
à 12:57

Re: Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

Ce texte de la FA est pas mal. Ca change de celui sur les inondations de foutre en allemagne.

22:36 nous propose l'inévitable vision madmaxienne de l'avenir, mais ce que nous pouvons aussi faire c'est en proposer d'autres. En effet puisque plus personne ou presque ne renonce  à livrer sa lecture de l'apocalypse, pourquoi nous priverions-nous de parler aussi du Paradis ?  
Il est dit "socialisme ou barbarie", fort bien, nous connaissons  la barbarie, on peut la décliner sous toutes ses aspects, nous savons la prophetiser aussi , et personne ne s'en prive -en particulier dans les colonnes de ce noble journal -  mais n'aurions-nous pas quelque peu perdu notre entrain et notre savoir-faire à parler du "socialisme" ?

Fin du Pétrole ?  Par chance l'évenement est annoncé pour dans quelques décennies,et bien c'est justement le temps qu'il faut à un courant politique pour s'oxygener, et après avoir respiré un grand coup, dire : il n'y aura plus de pétrole, et bien voilà ce que nous , anarchistes adversaires de la barbarie, proposons.

Nous proposons.... (vous avez trois heures pour completer, on ramasse les copies à l'heure pile)

Tournesol    
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  Anonyme
07-06-06
à 13:19

Re: Re: Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

http://www.liberation.fr/page.php?Article=388139

«La réglementation nationale interdit l'utilisation des huiles végétales pures à la carburation en dehors du monde agricole» (article 265 ter du code des douanes)
Répondre à ce commentaire

  satya
07-06-06
à 19:04

Re: Re: Re: Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

oui et alors, si ma vieille voiture avait un moteur diesel, ça fait belle lurette que je ne fonctionnerai qu'à l'huile recyclée totalement gratos !!

la désobéissance ça se pratique !!
si quelqu'unE a un diesel et veut l'échanger contre la mienne, je suis prenante :D :D :D
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  CNT63
07-06-06
à 19:52

Re: Re: Re: Re: Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

En France la législation ne l'autorise pas en effet mais en Europe oui (nous sommes en europe!):

la directive européenne 2003/30/CE qui est
entrée en application et nous autorise à rouler avec divers
bio-carburants dont l'huile végétale et le bio-gaz. A nous de
les produire gratuitement, en circuit court et en respect de
notre environnement avant que l'Etat et les grandes compagnies
ne nous vendent ce qui nous appartient et continue à nous
asservir pour nous les faire payer.

pour plus d'infos voir le tract sur "Huile végatéla merde à total" ou sur le site http://leplacard.mecanique.free.fr publié en mai sur l'en dehors de la CNT63 Section des Travailleurs de la Terre et de l'Environnement

Répondre à ce commentaire

  satya
07-06-06
à 19:58

Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

vraiment très bien :)

je me demande ce que je fais encore dans mon trou gascon parfois ;)

satya
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  Anonyme
07-06-06
à 21:20

Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: après la révolution qu'est ce qu'on fait ?.....

CNT63,

Merci pour le lien. Que du bon avec retour d'expériences, tutoriels, communautés...

C'est dans mes signets ;)
Répondre à ce commentaire

  Hellios
07-06-06
à 21:45

Le moteur pantone

Lu sur : http://www.passerelleco.info/article.php3?id_article=310

Le moteur Pantone suscite bien des passions chez les bricoleurs. Des mécaniciens enthousiastes se penchent sur leur tondeuse ou leur tracteur pour y insérer des bidons remplis d’eau dans lesquels ils font barbotter les gaz d’échappement... Le but est de faire diminuer la consommation et la pollution du moteur ; et de prolonger sa durée de vie.

 

On prépare un mélange de 20% d’hydrocarbures (essence, fuel, etc.) et 80% d’eau, qui est chauffé dans un bac grâce aux gaz d’échappement du moteur qui y sont conduits. Les vapeurs dégagées par le réchauffage passent dans un réacteur chauffé également par les gaz d’échappement, avant d’être injecté dans le moteur à la place du mélange air+carburant habituel.


-  Les moteurs modifiés tournent. Les réglages sont plus faciles pour un groupe électrogène ou une tondeuse, dont les régimes sont à peu prés constants, que pour une voiture, dont le régime est amené à varier.
-  gaz d’échappements : les témoignages concordent sur le fait que les gaz sortant du pot d’échappement d’un moteur modifié sont plus propres. Les études de Christophe Marz, ingénieur, ont pu mesurer une diminution de la pollution.
-  Concernant la consommation, selon les témoignages, une économie de jusque 25% peut être réalisée. Christophe Marz estime qu’avec des réglages affutés, on peut espérer une diminution de la consommation de 20%. Ces mesures devraient être généralisées pour pouvoir apprécier l’intérêt du montage.

Et alors ?

On consultera avec intérêt le témoignage de montage avec mesures très favorables, avec un pantone installé sur une ZX Les conclusions sont en effet, concernant la consommation :

Concernant la pollution, le seul test réalisé, effectué avec un appareil homologué, est le test d’opacité des fumées à mi-régime et sans charge moteur.


Résultats : 1.8/m à 1.1/m, c'est à dire 40% de réduction (...) directement liée à une amélioration de la combustion dans le moteur.
Stage

"En avril 2004, l’association HEOL a organisé un stage théorique et pratique sur les moteurs propres.” explique Patrick Baronnet. “Près de soixante-dix personnes ont participé. Les injecteurs de 15 voitures diesel ont été optimisés et un réacteur Pantone a été installé sur une Ford Névada. Nous avons également parlé des huiles végétales comme carburant alternatif au gasoil. Enfin, nous avons visité une installation agricole produisant son huile végétale pour la consommation alimentaire, mais aussi comme carburant pour un puissant groupe électrogène équipé en Pantone. L’objectif est de sortir de nos dépendances pétrolières.”

A suivre...

Cette thématique est encore en chantier pour Passerelle Eco : nous avons publié un article dans la revue °15, et nous publions ci après, à titre de document mais avec une distance certaine, le compte rendu détaillé de ce stage, établi par Patrick Baronnet...

En effet, il est nécessaire de faire la part des choses, entre assertions extraordinaires et fantaisistes, et témoignages d’expériences réelles pouvant conclure à l’intérêt du montage Pantone.

La plupart du temps, les personnes témoignant de très bons résultats n’ont pas fait elles-mêmes les mesures. Mesurer les performance semble être le dernier des soucis des bricoleurs passionnés par le Pantone. Souvent les montages "doivent encore être réglés", c’est à dire que la non obtention des performances annoncées dans certains documents est mise au compte des mauvais réglages.

Il est possible que le phénomène Pantone soit en partie une rumeur folle qui se propage parcequ’elle répond à un inconscient besoin collectif de solution technologique écologique miraculeuse : si on est sensible à la pollution, il est plus facile de "croire au Pantone" que de renoncer à rouler en voiture. Cette croyance se répandrait ainsi à la manière des rumeurs ou "hoax" sur internet (cf http://www.hoaxbuster.com en général, et un exemple : "Nicolas et la Progeria").

De fait, il semble en fait que les partisans les plus passionnés du pantone n’aient pas fait de vérifications et les mesures annoncées.

Cependant, dans l’histoire du moteur à explosion, on a plusieurs fois eu recours à un dopage à l’eau pour améliorer la puissance du moteur, un peu à la manière d’un starter : pour des avions, pour des poids lourds ou pour des voitures de course. Pour cette raison, nous avons retenu pour la revue comme raisonnables les chiffres les plus modérés, et évacué les hypothèses révolutionnaires de l’article. Concrètement, nous avons retenu entre 10% et 20% d’amélioration plutôt que les 300% ou 3000% parfois cités. Nous n’avons pas retenu les hypothèses telles que la production d’hydrogène, ou les perspectives mentionnant la dépollution des déchets radioactifs.

Passerelle Eco recherche donc des résultats de mesures avant / après sur des montages réussis.

Lors d’une transformation réalisée, ou lors d’un stage, nous invitons les mécaniciens et organisateurs à prendre en compte la mesure des performance comme un élément constitutif de l’expérience. Sur ce sujet de la mesure des performances d’un moteur pantone, consultez au besoin notre page spéciale mesurer les performances d’un moteur pantone

En effet, le moteur Pantone ne sera réellement intéressant et ne justifiera les efforts qui s’investissent à son sujet que si il est intéressant du point de vue écologique ou économique.
-  Si c’est le cas, alors, il faudra tout mettre en oeuvre pour promouvoir et généraliser le Pantone.
-  Si ce n’est pas le cas, alors la passion des bricoleurs, libérée d’une illusion, pourra s’investir dans des technologies moins idéales mais certaines telles que l’éolien, le solaire ... ou le réglage optimisé des diesels classiques.


Le gain en consommation est donc de l'ordre de 20% (...). Nous atteignons les performances des moteurs diesel injection haute pression de type HDI ou autre pour un coût bien moindre et surtout une technologie adaptable aux moteurs industriels existant.(...)

Technique

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  antoaneone
07-06-06
à 22:58

Re: Le moteur pantone

c'est bien beau te trouver des alternatives, mais sa fonctionne toujour au petrole, et faut juste arreter de l'utiliser, c'est tout. Le monde changera radicalement quand il n'y en aura plus.
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  Anonyme
08-06-06
à 00:10

Re: Le moteur pantone

Par pitié, arrêtez un peu avec cette intox qu'est le moteur pantone.
C'est juste un recyclage du vieux principe d'injection d'eau pour enrichir le mélange (utilisé en aéronautique depuis des années). Ca pose de graves problèmes de corrosion, pourquoi à votre avis on a tant de mécanismes sur les diesels pour éviter la formation d'eau dans le gasoil ?
Demandez à n'importe quel mécano ce qu'il pense du pantone, il va vous rire au nez.
Et que dire du vocabulaire employé "bulleur", "plasma", "champs magnétique"...il ne manque plus que l'alignement des planètes.
On n'est même pas sûr que l'apport améliore la combustion.
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  Anonyme
08-06-06
à 13:57

Re: Re: Le moteur pantone

De plus l'eau n'est pas non plus une ressource inépuisable, non ?
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