Face à un pouvoir totalement arquebouté sur des options purement idéologiques et des forces de l'ordre clairement appelées à faire du gourdin le premier des instruments de dialogue social de ce pays, je ne peux que souscrire à la réponse des étudiants et lycéens qui occupent chaque pouce carré de terrain politique.
La force n'est pas dans le bâton du CRSS, mais dans les bras tendus de nos gosses, dans leurs mines réjouies et déterminées, dans leur quête d'autre chose que la mauvaise soupe à la grimace que l'on prétend leur faire bouffer à toute force.