Lu sur
le blog de Laurent Mucchielli :
"Pourquoi l’affaire DSK n’a-t-elle pas trouvé son épilogue lors du
non-lieu prononcé par la justice américaine le 23 aout 2011 ? Pourquoi
au contraire la plupart des médias français (et, disons-le, l’opinion
publique) se sont-ils attachés à
dénoncer cette innocence arguant qu’elle n’avait pas été
prouvée et que nul ne saurait jamais
ce qui s’est véritablement passé dans la suite 2 806 de l’hôtel Sofitel de Manhattan ? Et pourquoi au final ce supposé
déni de justice
ne cacherait-il pas au fond la culpabilité de l’ancien patron du FMI ?
C’est à son œil sagace que Marcela Iacub soumet ces interrogations dans
un petit livre (
Une société de violeurs ?, Fayard) rapidement écrit après la fin du volet pénal de l’affaire DSK.
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