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Un manifestant entre la vie et la mort

Lu sur Libération : "Samedi soir, Cyril est arrivé place de la Nation, dans le cortège Solidaires, l'un des derniers de la manif. C'est vers 20 h 30, après les premiers tirs de gaz lacrymogènes, que les cordons de CRS commencent leur progression sur la place pour repousser les «groupes violents». Les manifestants sont encore très nombreux. Les témoins ne manquent pas. Les photographes non plus. Sur le terre-plein central, l'un d'eux, Alexandre Tsitouridis, voit un groupe de CRS resté en retrait. Deux hommes leur font face. Cyril est l'un d'eux. «Je l'ai vu assis devant les CRS, pacifique, raconte Alexandre Tsitouridis. Je ne sais pas ce qui lui passait par la tête. J'ai eu l'impression qu'il allait se relever. Les CRS sont autour de lui. Je ne le vois plus. L'image d'après, il est par terre.» Bruno Stevens, photographe lui aussi, est à dix mètres. «Devant l'arrivée des CRS, les gens s'éloignaient en éventail, explique-t-il. Lui a été attrapé. Il était plus lent. Il a pris un coup direct à la tête. Il s'est effondré comme une masse. Ils ont continué à le frapper alors qu'il était au sol. Mais vraiment fort ! Je me suis approché pour dire aux policiers : "Mais vous ne voyez pas qu'il est inconscient !"» «J'ai vu un CRS sortir du peloton, l'attraper et le mettre dans le cercle, confirme Pascal Charles, d'un collectif antirépression. Les CRS se faisaient caillasser en même temps qu'ils tapaient. J'ai eu l'impression qu'ils le piétinaient. Lorsqu'ils se sont éloignés, j'ai cru qu'ils laissaient un sac derrière eux.»

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Ecrit par libertad, à 12:27 dans la rubrique "Actualité".



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