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libertad |
Les réseaux de François Fillon : http://www.lexpansion.com/economie/les-reseaux-de-francois-fillon_19546.html
Si, au printemps dernier, Fillon rêvait du portefeuille de la Défense, il a vite comblé ses lacunes en matière sociale. Il a d'abord profité de son expérience de ministre délégué à la Poste, aux Télécommunications et à l'Espace entre 1995 et 1997, où il avait noué de précieux contacts dans les milieux syndicaux pour gérer en douceur l'ouverture du capital de France Télécom. Notamment avec Marc Blondel, avec qui il entretient des relations directes et cordiales. Pendant les grèves de 1995, il avait déjeuné à plusieurs reprises avec le leader de Force ouvrière, jugé alors « infréquentable » par l'équipe d'Alain Juppé. C'est aussi à cette époque qu'il a noué une relation de confiance avec Nicole Notat, qui fut d'ailleurs l'une des premières à citer son nom à Jacques Chirac. Mais c'est le sénateur Gérard Larcher, le président RPR de la Commission des affaires économiques, qui lui sert de poisson pilote dans le monde syndical. Complices, ils ont déjà des interlocuteurs solides et bien ciblés, comme Jean-Marie Toulisse, secrétaire national de la CFDT, et Jean-Christophe Le Duigou, secrétaire confédéral de la CGT, l'économiste « moderniste » de la centrale. En quelques mois, Fillon a fait vite : son réseau est plus étoffé dans le monde syndical que dans celui des patrons ! Thibault-Sarkozy : histoire d'un deal http://www.lepoint.fr/content/economie/article?id=212260 Entre les hommes du président et ceux de la CGT, il ne s'agit pas de collusion, mais de respect mutuel. Sans qu'aucun ait jamais à renier ses convictions, et bien avant que Sarkozy soit à l'Elysée, les deux camps ont déjà travaillé ensemble. Et trouvé des solutions permettant à chacun de sortir la tête haute des conflits. Tout a commencé en 2004. Nicolas Sarkozy est à Bercy. Il veut réformer le statut d'EDF et de GDF et ouvrir le capital des deux entreprises publiques au privé. Patron de la fédération CGT des mines et de l'énergie, Frédéric Imbrecht ferraille à coups de grèves massives. Mais le fil n'est jamais rompu et la discussion ne cesse pas. Au tout début de juillet 2004, Nicolas Sarkozy et son directeur de cabinet, Claude Guéant, organisent une rencontre avec Bernard Thibault, Frédéric Imbrecht et Jean-Christophe Le Duigou. L'échange est direct : l'affaire du comité d'entreprise d'EDF (emplois fictifs, surfacturation de prestations...) prend une très mauvaise tournure judiciaire pour la CGT, qui le gère depuis des années. Sarkozy explique qu'il fera tout pour limiter les dégâts. A une condition : que la CGT mette de l'eau dans son vin et accepte la négociation sur le changement de statut de l'entreprise. Dans la balance, il a d'ailleurs beaucoup à offrir : il ne touchera pas aux avantages acquis des salariés et l'Etat demeurera à jamais majoritaire dans le capital des deux entreprises. Avec la bénédiction de Thibault, Imbrecht et Sarkozy concluent un deal « gagnant-gagnant », très généreux pour les salariés d'EDF-GDF. Grand prix du CHEA : (association des diplomés du centre des hautes études d'assurance, présidé par Denis KESSLER ) le Grand Prix du Livre à William CRIST et Jean-Christophe LE DUIGOU pour leur ouvrage "Pour ou Contre les Fonds de Pension" Confrontations Europe : http://www.confrontations.org/spip.php?rubrique19 Le Conseil d’Administration Philippe BERTRAN, Inspecteur Général, France Télécom.
Les partenaires de Confrontations Europe : http://www.confrontations.org/spip.php?rubrique5 Alcatel-Lucent, Areva, Arcelor, Axa, Biomérieux, BNP-Paribas, Bouygues, Danone , EADS, Peugeot, Renault, Vinci Répondre à ce commentaire
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à 22:23